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france - Page 58

  • Emmanuel Macron déclare que la France restera en Irak avec ou sans les Américains

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

     

    Emmanuel Macron en voyage officiel en Irak s’est exprimé lors d’une conférence de presse sur la situation dans la région. Selon le chef de l’État, « quels que soient les choix américains », la France restera en Irak.

    « Quels que soient les choix américains, nous maintiendrons notre présence pour lutter contre le terrorisme en Irak, aussi longtemps que l’Irak le demandera », a déclaré Emmanuel Macron, ce 28 août, lors d’une conférence de presse à Bagdad au cours de son voyage officiel dans le pays.

    « Nous avons les capacités opérationnelles pour assurer cette présence », a-t-il ajouté à l’issue d’un sommet régional consacré à la lutte contre le terrorisme et à la souveraineté de l’Irak.

    L’Irak, où Daech continue de mener des attentats quatre ans après sa défaite militaire, et la France « sont des partenaires clés dans la guerre contre le terrorisme », a par ailleurs déclaré le chef du gouvernement irakien. Paris fournit en effet à l’Irak un appui militaire, notamment aérien, avec en moyenne 600 hommes sur place dans le cadre de la coalition internationale qui continue de livrer bataille contre le groupe djihadiste.

    À l’occasion de ce sommet, le président français veut montrer que la France conserve un rôle dans la région, poursuit la lutte contre le terrorisme, et soutient les efforts de médiation de l’Irak, « pays pivot, essentiel à la stabilité du Moyen-Orient », explique l’Élysée. Emmanuel Macron se rendra le 29 août au Kurdistan irakien, où il saluera la lutte des Kurdes contre Daech, puis à Mossoul, symbole de la victoire contre le groupe islamiste qui a occupé cette ville de 2014 à 2017.

    L’Afghanistan évoqué aussi par le chef de l’État

    Sur l’Afghanistan, le président français Emmanuel Macron a annoncé lors de cette même conférence de presse que des « discussions » avaient été entamées avec les talibans afin de « protéger et rapatrier des Afghanes et des Afghans » menacés depuis le changement de régime à Kaboul, le 15 août.

    Ces évacuations sont planifiées conjointement avec le Qatar qui, dans le cadre de ses discussions avec les talibans, a la possibilité d’« aménager des opérations de pont aérien », a précisé le chef de l’État.

    La France a évacué d’Afghanistan 2 834 personnes, dont 142 Français, 17 Européens et plus de 2 600 Afghans menacés depuis le 17 août, deux jours après que les talibans se sont emparés du pouvoir à Kaboul, a-t-il aussi précisé.

    Ces évacuations ont eu lieu grâce à « une quinzaine de vols » à travers les Émirats arabes unis, a précisé le chef de l’État au lendemain de la fin du pont aérien mis en place par Paris.

    Source : francais.rt.com via lesmoutonsrebelles

  • France : 5 Afghans tout juste accueillis déjà sous surveillance pour risque terroriste, ils seraient en lien avec des Talibans identifiés

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2021

    INFO VA – Les policiers sont habitués à voir passer des ordres ou décisions contradictoires, mais quelques jours après la promesse de prudence migratoire du président de la République, l’information est difficile à encaisser. Ce dimanche 22 août au matin, les instructions du ministère de l’Intérieur sont très claires : la police nationale doit, après la police aux frontières (PAF), notifier une « micas » à cinq Afghans dès leur arrivée sur le territoire français. Quatre sont arrivés dimanche, un dernier dans la nuit de dimanche à lundi.

    Qu’est-ce qu’une « micas » ? Une mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance, qui désigne donc les assignations à résidence prononcées afin de prévenir la potentielle commission d’actes de terrorisme.

    […]

     

    Concrètement, le ministre prend cet arrêté à partir d’informations transmises par les services de renseignements français. Et il a des conséquences très concrètes : assignation à résidence donc, interdiction de sortir de la commune de résidence sans sauf-conduit, un pointage quotidien et à heure fixe au commissariat, et l’interdiction d’entrer en contact avec des personnes désignées. Jusqu’à aujourd’hui, les policiers ont pris l’habitude : s’ils entendent « micas », il s’agit de profils liés à la radicalisation et au terrorisme islamiste. Quelle n’a pas été la surprise des destinataires de ces instructions, donc, de découvrir que la France venait de faire entrer sur le sol français cinq hommes Afghans déjà pointés pour leur potentiel islamiste.

    A chaque arrêté, le ministère de l’Intérieur doit motiver sa décision. Ils ont été vus avec des armes à Kaboul, sont en lien avec des talibans identifiés, et l’un d’eux a même tenu un check-point taliban, dans Kaboul, ces derniers jours. La raison pour laquelle la France les accueille malgré ces profils jugés dangereux par l’administration elle-même n’est, en revanche, pas motivée. A l’heure qu’il est, ils sont en quarantaine Covid à l’hôtel, aux frais du contribuable français. Tous en région parisienne. A peine arrivés, et déjà dans le viseur des services de renseignement. Droit d’asile ? Devoir humanitaire ?

    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • La France n'a pas à présenter d'excuses pour ses essais nucléaires effectués en Polynésie

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2021

    La France n'a pas à présenter d'excuses pour ses essais nucléaires effectués en Polynésie car la France ne doit pas s'abaisser — jamais — à la mortification de la repentance.
    Pour autant, l'accession à marche forcée à la détention de l'arbre atomique voulue par De Gaulle — mais déjà largement préparée par la IVème République dont on oublie qu'elle est à l'origine de bien des grandes réalisations des années 60 — s'est faite dans le cynisme habituel du Général et le mépris des populations locales comme des militaires, savants et techniciens dont beaucoup ont souffert par la suite dans leur chair du fait des retombées ce qui ne serait pas arrivé si De Gaulle n'avait pas abandonné le Sahara au FLN. Elle s'est faite aussi en bien des aspects au détriment de nos forces classiques déjà largement affaiblies après le bradage de l'Algérie et la réorganisation de nos armées qui a suivi.
    La France n'a pas une dette envers les Polynésiens comme vient de l'affirmer Macron. Mais le régime gaulliste, lui, en à bien une.
    JFT.
    Peut être une image de debout, feu, plein air et texte
     
     
     
     
     
     
     
  • Un étranger en situation irrégulière est interpellé en France toutes les 4 minutes !

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2021

     

    C’est un chiffre – en provenance de données publiées par la Direction centrale de la Police aux frontières – qui donne le tournis !

    Ministère de l’Intérieur via La Direction centrale de la Police aux frontières (Chiffres de 2021)
    Les indicateurs présentés sont annuels et vont jusqu’à 2019, année la plus récente pour laquelle des résultats sont disponibles.

    Mais alors, si on en interpelle un toutes les 4 minutes… combien d’autres sont en vagabondage dans le pays ?

     

    Extrait de: Source et auteur

  • La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite !

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2021

    synthesenationale

    Marc Rousset

    faillite,france,macron,reprise

    La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses publiques gigantesques devront être budgétées dans le secteur des hautes technologies et plus particulièrement dans l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, les batteries et les puces électroniques. La France « cigale » qui gaspille depuis 40 ans avec une politique socialiste de dépenses de fonctionnement inacceptables (âge de la retraite, 35 heures, régimes spéciaux, invasion migratoire, 2 millions de fonctionnaires en trop…) risque de caler beaucoup plus vite qu’espéré, rattrapée par ses dettes passées, de ne plus pouvoir emprunter en raison de la hausse des taux, ce qui l’empêcherait alors d’investir dans les investissements d’avenir.

    Le budget 2022 de Bercy est une plaisanterie irréaliste, un conte de fées qui se paie de mots. Alors que les dépenses publiques ont augmenté de 1,9 % en 2019, 1,3 % en 2020, 2,3 % en 2021, Olivier Dussopt veut nous faire croire qu’elles n’augmenteront plus chaque année, à partir de 2022, que de 0,7 % jusqu’en 2027. On vient d’apprendre que la seule assurance maladie, en équilibre ces dernières années, connaîtra en 2021, après 2020, de nouveau un déficit substantiel de 31 milliards d’euros ! Le déficit public et la dette publique en 2022 seront bien supérieurs aux 5,3 % et 116,3 % du PIB annoncés. La réforme des retraites du technocrate Macron, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel basé sur l’impôt de l’année précédente, devrait se limiter à une simple augmentation de l’âge du départ à la retraite et à la fin immédiate des régimes spéciaux, sans vouloir chambouler pour autant, d’une façon injuste, tout le système.

    La dette publique française à la fin mars 2021 représente déjà 2.739,2 milliards d’euros et 118,2 % du PIB. L’endettement de la France représente donc le double de l’autorisation maximale de 60 % du PIB. Bruno Le Maire est obligé de changer le texte de sa chansonnette : il reconnaît que la croissance ne suffira pas pour rembourser la dette, qu’il faudra (mais demain, toujours demain) des réformes de structure, diminuer fortement les dépenses publiques sans rien décider pour l’instant avec Macron. Les taux finiront un jour inéluctablement par remonter ; les marchés, ce que reconnaît la Cour des comptes, peuvent décider d’arrêter de prêter du jour au lendemain.

    Tandis que les autres pays vont voir leur taux d’endettement diminuer, la France gardera au mieux son taux démentiel et la moindre hausse des taux d’intérêt sera le coup de grâce qui la conduira au tapis ! Les perspectives d’inflation aux États-Unis pourraient faire connaître au monde d’ici un an ou deux, avec ces gigantesques masses monétaires déjà créées par les banques centrales, une situation semblable aux années 1970 avec des taux d’intérêt qui s’étaient élevés au-delà de 20 % dans les premiers jours de 1981 ! Le système occidental ne supporterait pas aujourd’hui une augmentation de taux d’intérêt au-delà de 3 %. Dans ces conditions, l’inflation a de beaux jours potentiels devant elle. En Angleterre, l’inflation vient déjà de dépasser les 3 %. Une augmentation rampante non temporaire de l’inflation est pour l’instant plus que probable partout dans le monde.

    La dernière réunion du G7 n’était qu’une exhortation à poursuivre la fuite en avant de la création monétaire et de l’augmentation des dépenses publiques ; Mario Draghi a alors déclaré qu’il était absolument nécessaire de rassurer les investisseurs avec un « ancrage budgétaire à long terme », pour éviter une hausse des taux d’intérêt. Faut-il encore que cet ancrage budgétaire soit sérieux, ce qui n’est pas le cas de la France… Draghi, de son côté, a fait son possible pour favoriser, dans ses budgets, l’investissement en Italie, mais il n’a pas encore gagné la partie pour autant. La situation de la France et de l’Italie ne tient en fait qu’à un fil, et le moindre nouveau cygne noir déclencheur d’une hausse des taux d’intérêt conduira inéluctablement ces deux pays à la faillite officielle, au retrait de la zone euro afin de pouvoir dévaluer la lire et le franc, ce qui créera une gigantesque hyperinflation.

     
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