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france - Page 62

  • La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite !

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2021

    synthesenationale

    Marc Rousset

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    La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses publiques gigantesques devront être budgétées dans le secteur des hautes technologies et plus particulièrement dans l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, les batteries et les puces électroniques. La France « cigale » qui gaspille depuis 40 ans avec une politique socialiste de dépenses de fonctionnement inacceptables (âge de la retraite, 35 heures, régimes spéciaux, invasion migratoire, 2 millions de fonctionnaires en trop…) risque de caler beaucoup plus vite qu’espéré, rattrapée par ses dettes passées, de ne plus pouvoir emprunter en raison de la hausse des taux, ce qui l’empêcherait alors d’investir dans les investissements d’avenir.

    Le budget 2022 de Bercy est une plaisanterie irréaliste, un conte de fées qui se paie de mots. Alors que les dépenses publiques ont augmenté de 1,9 % en 2019, 1,3 % en 2020, 2,3 % en 2021, Olivier Dussopt veut nous faire croire qu’elles n’augmenteront plus chaque année, à partir de 2022, que de 0,7 % jusqu’en 2027. On vient d’apprendre que la seule assurance maladie, en équilibre ces dernières années, connaîtra en 2021, après 2020, de nouveau un déficit substantiel de 31 milliards d’euros ! Le déficit public et la dette publique en 2022 seront bien supérieurs aux 5,3 % et 116,3 % du PIB annoncés. La réforme des retraites du technocrate Macron, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel basé sur l’impôt de l’année précédente, devrait se limiter à une simple augmentation de l’âge du départ à la retraite et à la fin immédiate des régimes spéciaux, sans vouloir chambouler pour autant, d’une façon injuste, tout le système.

    La dette publique française à la fin mars 2021 représente déjà 2.739,2 milliards d’euros et 118,2 % du PIB. L’endettement de la France représente donc le double de l’autorisation maximale de 60 % du PIB. Bruno Le Maire est obligé de changer le texte de sa chansonnette : il reconnaît que la croissance ne suffira pas pour rembourser la dette, qu’il faudra (mais demain, toujours demain) des réformes de structure, diminuer fortement les dépenses publiques sans rien décider pour l’instant avec Macron. Les taux finiront un jour inéluctablement par remonter ; les marchés, ce que reconnaît la Cour des comptes, peuvent décider d’arrêter de prêter du jour au lendemain.

    Tandis que les autres pays vont voir leur taux d’endettement diminuer, la France gardera au mieux son taux démentiel et la moindre hausse des taux d’intérêt sera le coup de grâce qui la conduira au tapis ! Les perspectives d’inflation aux États-Unis pourraient faire connaître au monde d’ici un an ou deux, avec ces gigantesques masses monétaires déjà créées par les banques centrales, une situation semblable aux années 1970 avec des taux d’intérêt qui s’étaient élevés au-delà de 20 % dans les premiers jours de 1981 ! Le système occidental ne supporterait pas aujourd’hui une augmentation de taux d’intérêt au-delà de 3 %. Dans ces conditions, l’inflation a de beaux jours potentiels devant elle. En Angleterre, l’inflation vient déjà de dépasser les 3 %. Une augmentation rampante non temporaire de l’inflation est pour l’instant plus que probable partout dans le monde.

    La dernière réunion du G7 n’était qu’une exhortation à poursuivre la fuite en avant de la création monétaire et de l’augmentation des dépenses publiques ; Mario Draghi a alors déclaré qu’il était absolument nécessaire de rassurer les investisseurs avec un « ancrage budgétaire à long terme », pour éviter une hausse des taux d’intérêt. Faut-il encore que cet ancrage budgétaire soit sérieux, ce qui n’est pas le cas de la France… Draghi, de son côté, a fait son possible pour favoriser, dans ses budgets, l’investissement en Italie, mais il n’a pas encore gagné la partie pour autant. La situation de la France et de l’Italie ne tient en fait qu’à un fil, et le moindre nouveau cygne noir déclencheur d’une hausse des taux d’intérêt conduira inéluctablement ces deux pays à la faillite officielle, au retrait de la zone euro afin de pouvoir dévaluer la lire et le franc, ce qui créera une gigantesque hyperinflation.

     
    Boulevard Voltaire cliquez ici
  • Pour Macron, tout le monde doit être Européen

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2021

    Pour Macron, tout le monde doit être Européen

    Décidément, aux temps des alertes graves lancées par des membres d’institutions encore les plus respectables de la France sur les dangers qui menacent la nation, il semblerait que ça fumât fort chez M.Macron.

    Il y a eu bien sûr le jeu youtoubisé de l’Elysée.

    Il y a aussi, moins souligné, le tweet envoyé par le locataire actuel à propos du concours de l’Eurovision. Nous ne soulignerons pas son attrait sans doute poétique pour une jeune fille aux yeux noirs… Non, c’est plutôt une nouvelle pièce dans la machine à déconsidérer la souveraineté française et à souligner une inexistante souveraineté européenne. M.Macron parle de vibrer ensemble en Européens !

    Quelqu’un dans sa cellule communication pourrait-il lui rappeler que le concours de l’Eurovision rassemble, au-delà des pays de l’Union européenne, également les Israéliens (depuis 1973), les Russes (depuis 1994), les Turcs (depuis 1975), les Ukrainiens (depuis 2003), les Arméniens (depuis 2006), les Géorgiens (depuis 2007) et même les Australiens (depuis 2015) ?

    D’un autre côté, c’est vrai qu’en Macronistan, les frontières ne servent que pour les attestations de déplacement obligatoires en périodes de confinement.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bachaga Boualam, Mon pays la France

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2021

    "Quand les Français débarquèrent sur nos côtes, le mot Algérie n’existait pas. Notre histoire commence en 1845 comme celle de la France, en tant que peuple, a commencé avec les Capétiens. 1830, en cette terre d’Afrique du Nord, c’est le chaos, deux millions d’esclaves rançonnés par les pillards ou les féodaux, rongés par la syphilis, le trachome, le choléra, la malaria ; des déserts, des marais pestilentiels, plus rien de ce qui avait été la paix romaine."
    Bachaga Boualam, Mon pays la France (1963)
  • La FNSEA : “La France importe de plus en plus son alimentation : 60 % des fruits et 40% des légumes consommés en France sont importés”

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2021

    Il n’y a pas eu de salon de l’agriculture cet hiver à Paris, remplacé par une semaine de l’agriculture qui s’achève demain mardi 18 mai, avec un grand colloque auquel doit participer le président Macron. A cette occasion, France Inter propose une journée spéciale sur les innovations et les défis qui se posent au monde agricole.

    “C’est important d’expliquer l’évolution du secteur agricole en ces temps de crise”, explique Christiane Lambert, présidente de la FNSEA qui estime que la souveraineté alimentaire de la France reste un thème majeur : 

    “La France importe de plus en plus son alimentation : 60 % des fruits et 40% des légumes consommés en France sont importés” 

    Elle rappelle que la France a perdu 14% de surface cultivés en légumes : “L’agriculture, présentée comme une pépite, voit ses performances se dégrader alors que les Français plébiscitent l’alimentation de proximité. Par exemple, nous importons 2/3 des fraises mangées chez nous. 75% de l’alimentation est achetée en grande distribution, les circuits courts en temps normal, représentent moins de 20 % de l’alimentation des Français“, même si d’autres habitudes ont vu le jour lors du confinement de l’année dernière. ..

    La commande publique a un rôle a jouer” estime Christiane Lambert, “c’est 8% du PIB, quand on recherche les produits les moins chers pour les hôpitaux, les cantines, les prisons, ce sont plutôt les produits étrangers qui se retrouvent dans les assiettes, ça nuit à notre possibilité de garder des emplois en France“. …

    France Inter via fdesouche

  • Vaccination : un décès pour 700 vaccinés en France et dans le monde, montre une analyse de corrélation

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2021

    Vaccination : un décès pour 700 vaccinés en France et dans le monde montre une analyse de corrélation
     
    Auteur(s): Philippe Pradat et Véronique Malard, pour FranceSoir
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    Ce 13 mai 2021, l’ingénieur Philippe Pradat et la toxicologue Véronique Malard ont adressé un courrier aux sénateurs et sénatrices sur une analyse de corrélation entre l’augmentation du nombre de morts labellisés covid et l’augmentation du nombre de vaccinés. Leur conclusion est simple :

    Cette analyse de corrélation a été d’abord faite au niveau de la France, puis répliquée au niveau des données du monde entier. Les résultats sont identiques.

    Les auteurs du courrier se permettent de conclure :

    « Au regard de ces faits, il est urgent d’arrêter la vaccination, et de bloquer la mise en place du passeport sanitaire, qui au-delà d’être liberticide, ne servira à rien, car les vaccinés sont porteurs du virus et le disséminent. »

    Attention : cette analyse devra sans nul doute être regardée de près et suivie dans le temps pour la compléter et en démontrer la pertinence s’il y a. 

    Les agences de santé n’ont jusqu’à présent pas ou peu attribué des causalités de décès au vaccin sauf dans des cas « très rares », cependant les agences nationales norvégiennes et danoises ont été plus précautionneuses dans leur choix en suspendant puis arrêtant le vaccin Astra Zeneca ou Johnson. Rappelons qu’en Inde, le régulateur avait demandé des informations supplémentaires à Pfizer pour les spécificités de la population indienne – le laboratoire Pfizer avait en conséquence retiré sa demande de mise sur le marché.

    Aux Etats-Unis, les essais des vaccins sur les enfants ont commencé. La position de la FDA (Federal Drug Administration) a donc changé depuis la déclaration de son ancien directeur Dr Stephen Hahn Oncologue et radiothérapeute qui avait déclaré : « la FDA n’autorisera pas ou n’approuvera pas un vaccin que nous ne nous sentirions pas à l’aise de donner à nos familles. Au nom des plus de 17.000 employés de la FDA, je souhaite aujourd’hui prendre les engagements suivants envers le public américain et cette commission. La FDA n’autorisera ou n’approuvera aucun vaccin COVID-19 avant qu’il n’ait répondu aux attentes rigoureuses de l’agence en matière de sécurité et d’efficacité. Les décisions d’autoriser ou d’approuver de tels vaccins ou thérapeutiques seront prises par le personnel de carrière dévoué de la FDA. Nos décisions seront guidées par nos processus d’examen approfondi et par la science. La FDA ne permettra à personne de faire pression pour changer cela. Je me battrai pour la science, Monsieur le Président. Je me battrai pour l’intégrité de l’agence et je ferai passer les intérêts du peuple américain avant toute autre chose. » 

    En décembre 2020, le Dr Hahn avait été mis sous pression par le président Trump sur Twittter « Sortez les vaccins contre les barrages maintenant, Dr Hahn @SteveFDA », « Arrêtez de jouer à des jeux et commencez à sauver des vies!!! » Depuis, sa remplaçante Janet Woodcock directrice par intérim a pris une toute autre position : « l’élargissement par la FDA de l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech aux adolescents âgés de 12 à 15 ans est une étape importante dans la lutte contre la pandémie de COVID-19 ».

    En France, le gouvernement est engagé dans une course effrénée à la vaccination en utilisant comme mesure d’efficacité, le risque relatif (95% d’amélioration) qui est importante en apparence, mais contestée, car certains, dont le Pr Raoult, avancent que ce chiffre serait plus proche de 50% voire 30%. En utilisant la mesure d’efficacité du risque absolu individuel (moins de 1% d’amélioration), certains se posent la question de savoir si le patient prendrait la même décision de se faire vacciner en voyant ce chiffre.

    Certains des organes scientifiques français se prêtent même à de la désinformation sur les vaccins pendant que des citoyens et des médecins travaillent à comprendre la véritable balance bénéfice risque en s’interrogeant sur les risques réels des moins de 50 ans pour cette maladie. Tout cela forme la base de la validité du consentement éclairé qui est remis en cause par le Dr Umlil et expliqué dans ses interviews.
     

    Courrier reproduit

    La France met en place depuis quelques mois une campagne de vaccination Covid intense et nous voulons vous alerter sur les effets de cette campagne vaccinale.

    En premier, il convient de rappeler que les essais cliniques de phase 3 sont en cours, et ne seront terminés qu’en 2022 voire 2023. La sécurité des vaccins Covid n’est donc pas connue à ce jour. En ce qui concerne les effets à long terme, il est impossible de savoir quelles pourraient être les conséquences de la vaccination. Il est nécessaire de rappeler qu’aucun vaccin à base d’ARN messager ou de construction génétique dans un adénovirus n’a jamais été injecté à grande échelle sur une population saine.

    En revanche, il est possible d’analyser les premiers résultats des vaccinations déjà réalisées.

    • 1/ Les effets indésirables et les décès suite à la vaccination elle-même : les rapports hebdomadaires de l’ANSM (Accueil – ANSM (sante.fr)) recensent les effets indésirables à court terme des vaccinations. L’analyse des données montre que trois décès surviennent pour 100 000 vaccinations, ce qui est très supérieur à ce qui a été observé dans le passé pour une vaccination « population entière ». De plus, 31893 effets indésirables ont été provoqués à de jour par la vaccination, soit 148/100 000 vaccinés. Parmi ces effets indésirables, 25% sont déclarés comme graves, soit 37 pour 100 000 vaccinés. Sachant que dans la population des 0-39 ans, il y a eu depuis le début de la pandémie 322 décès, soit 1/100 000 personnes (La démographie des décès par COVID-19 – France (ined.fr)), il parait évident qu’il est criminel de vacciner les plus jeunes. En résumé, le rapport bénéfice / risque n’est absolument pas en faveur de la vaccination.
       
    • 2/ La mortalité covid induite par la vaccination : l’analyse des données publiques officielles (mortalité et vaccination, https://coronavirus.jhu.edu/map.html et Our World in Data) permet de réaliser un graphique simple et très éclairant. Pour chaque jour, entre le 1er mars et le 5 mai, nous avons tracé un graphique avec en abscisse (axe des x – horizontal) le nombre total de personnes vaccinées au moins une dose et en ordonnée (axe vertical des y) le nombre total de décès. Il y a donc un point par jour sur le graphique (ci-dessous).

    analyse_01.png

     

    On s’aperçoit très facilement que ces points sont quasi parfaitement alignés. On peut, grâce à un logiciel banal comme Excel, tracer la droite qui suit au plus près la totalité des points, cela s’appelle une droite de régression. Le calcul de cette droite permet d’obtenir un coefficient de corrélation (r2 En statistique, le coefficient de détermination linéaire de Pearson, noté R2 ou r2, est une mesure de la qualité de la prédiction d’une régression linéaire. il est compris entre 0 et 1 et plus il est proche de 1 plus cela signifie de la puissance de la correlation).

    Plus les points sont proches de la droite plus le coefficient est proche de 1. Ici nous obtenons un r2 supérieur à 0.99 ce qui démontre que la droite décrit parfaitement les points du graphique.

    Cela veut dire que le nombre de décès covid en France est proportionnel au nombre de personnes vaccinées.

    Les paramètres de cette droite permettent de calculer le nombre de décès (y) correspondant à un nombre de vaccinations (x). Les résultats sont effarants. Chaque fois que 700 personnes sont vaccinées, une personne de plus décède de la Covid. Si l’on vaccine 80% de la population française (l’objectif pour atteindre la soi-disant immunité collective), plus de 76 500 décès seront à déplorer. Cette observation permet de comprendre pourquoi le nombre journalier de décès Covid reste stable en France autour de 250 / jour depuis des semaines.

    Tant que l’on vaccinera, des décès Covid seront à déplorer.

    La même analyse peut être faite au niveau mondial (voir figure ci-dessous) et les résultats sont identiques : la pente de la droite est la même.

     

    Au regard de ces faits, il est urgent d’arrêter la vaccination, et de bloquer la mise en place du passeport sanitaire, qui au-delà d’être liberticide, ne servira à rien, car les vaccinés sont porteurs du virus et le disséminent.

    Pour finir, il est frappant de relire la déclaration du ministre de la Santé le 31/03 dans le Figaro : Pourquoi le Conseil d’État vient de refuser de déconfiner tout de suite les personnes vaccinées

    Les souches sud-africaines et brésiliennes «peuvent notamment occasionner des réinfections chez des personnes qui ont déjà été contaminées au Covid-19, ainsi qu’un risque d’échappement vaccinal», soulignait le ministère.

    «L’efficacité des vaccins n’est que partielle», ajoutait-il : «dès le stade des essais […] il n’y avait donc pas de garantie d’immunité» pour les personnes vaccinées. Les vaccins présentent aussi une «efficacité moindre» contre les variants et des incertitudes subsistent quant à la protection offerte par les doses contre la transmission du virus aux tiers. Également, les personnes vaccinées «sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès», si le vaccin ne fonctionne pas ou en cas de «réinfection post-vaccinale».

    «Les personnes vaccinées peuvent développer des formes peu graves, voire ne pas être symptomatiques, et diffuser tout de même le virus», relevait le ministère. Toute différenciation serait «prématurée» : «il n’y a pas de justification à exempter les personnes vaccinées» des restrictions en vigueur, concluait-il.

    Vous avez bien lu…. les personnes vaccinées «sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès», si le vaccin ne fonctionne pas ou en cas de «réinfection post- vaccinale». Et aussi «Les personnes vaccinées peuvent diffuser tout de même le virus».

    Etre vacciné présente des dangers, c’est le ministre lui-même qui le déclare… On peut donc s’interroger sur la motivation du gouvernement à poursuivre de façon acharnée cette campagne mortifère.

    Le pass sanitaire qui permet aux vaccinés d’aller partout sans contrainte est dangereux et doit être stoppé de toute urgence. Il est aberrant d’imaginer que de très nombreux jeunes gens en bonne santé vont aller se faire vacciner pour pouvoir aller au concert ou assister à un événement sportif.

    Enfin, pour sauver des vies, des traitements très efficaces et non toxiques pourraient être utilisés.