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La France n'a pas à présenter d'excuses pour ses essais nucléaires effectués en Polynésie car la France ne doit pas s'abaisser — jamais — à la mortification de la repentance.
Pour autant, l'accession à marche forcée à la détention de l'arbre atomique voulue par De Gaulle — mais déjà largement préparée par la IVème République dont on oublie qu'elle est à l'origine de bien des grandes réalisations des années 60 — s'est faite dans le cynisme habituel du Général et le mépris des populations locales comme des militaires, savants et techniciens dont beaucoup ont souffert par la suite dans leur chair du fait des retombées ce qui ne serait pas arrivé si De Gaulle n'avait pas abandonné le Sahara au FLN. Elle s'est faite aussi en bien des aspects au détriment de nos forces classiques déjà largement affaiblies après le bradage de l'Algérie et la réorganisation de nos armées qui a suivi.
La France n'a pas une dette envers les Polynésiens comme vient de l'affirmer Macron. Mais le régime gaulliste, lui, en à bien une.
C’est un chiffre – en provenance de données publiées par la Direction centrale de la Police aux frontières – qui donne le tournis !
Ministère de l’Intérieur via La Direction centrale de la Police aux frontières(Chiffres de 2021) Les indicateurs présentés sont annuels et vont jusqu’à 2019, année la plus récente pour laquelle des résultats sont disponibles.
Mais alors, si on en interpelle un toutes les 4 minutes… combien d’autres sont en vagabondage dans le pays ?
La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses publiques gigantesques devront être budgétées dans le secteur des hautes technologies et plus particulièrement dans l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, les batteries et les puces électroniques. La France « cigale » qui gaspille depuis 40 ans avec une politique socialiste de dépenses de fonctionnement inacceptables (âge de la retraite, 35 heures, régimes spéciaux, invasion migratoire, 2 millions de fonctionnaires en trop…) risque de caler beaucoup plus vite qu’espéré, rattrapée par ses dettes passées, de ne plus pouvoir emprunter en raison de la hausse des taux, ce qui l’empêcherait alors d’investir dans les investissements d’avenir.
Le budget 2022 de Bercy est une plaisanterie irréaliste, un conte de fées qui se paie de mots. Alors que les dépenses publiques ont augmenté de 1,9 % en 2019, 1,3 % en 2020, 2,3 % en 2021, Olivier Dussopt veut nous faire croire qu’elles n’augmenteront plus chaque année, à partir de 2022, que de 0,7 % jusqu’en 2027. On vient d’apprendre que la seule assurance maladie, en équilibre ces dernières années, connaîtra en 2021, après 2020, de nouveau un déficit substantiel de 31 milliards d’euros ! Le déficit public et la dette publique en 2022 seront bien supérieurs aux 5,3 % et 116,3 % du PIB annoncés. La réforme des retraites du technocrate Macron, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel basé sur l’impôt de l’année précédente, devrait se limiter à une simple augmentation de l’âge du départ à la retraite et à la fin immédiate des régimes spéciaux, sans vouloir chambouler pour autant, d’une façon injuste, tout le système.
La dette publique française à la fin mars 2021 représente déjà 2.739,2 milliards d’euros et 118,2 % du PIB. L’endettement de la France représente donc le double de l’autorisation maximale de 60 % du PIB. Bruno Le Maire est obligé de changer le texte de sa chansonnette : il reconnaît que la croissance ne suffira pas pour rembourser la dette, qu’il faudra (mais demain, toujours demain) des réformes de structure, diminuer fortement les dépenses publiques sans rien décider pour l’instant avec Macron. Les taux finiront un jour inéluctablement par remonter ; les marchés, ce que reconnaît la Cour des comptes, peuvent décider d’arrêter de prêter du jour au lendemain.
Tandis que les autres pays vont voir leur taux d’endettement diminuer, la France gardera au mieux son taux démentiel et la moindre hausse des taux d’intérêt sera le coup de grâce qui la conduira au tapis ! Les perspectives d’inflation aux États-Unis pourraient faire connaître au monde d’ici un an ou deux, avec ces gigantesques masses monétaires déjà créées par les banques centrales, une situation semblable aux années 1970 avec des taux d’intérêt qui s’étaient élevés au-delà de 20 % dans les premiers jours de 1981 ! Le système occidental ne supporterait pas aujourd’hui une augmentation de taux d’intérêt au-delà de 3 %. Dans ces conditions, l’inflation a de beaux jours potentiels devant elle. En Angleterre, l’inflation vient déjà de dépasser les 3 %. Une augmentation rampante non temporaire de l’inflation est pour l’instant plus que probable partout dans le monde.
La dernière réunion du G7 n’était qu’une exhortation à poursuivre la fuite en avant de la création monétaire et de l’augmentation des dépenses publiques ; Mario Draghi a alors déclaré qu’il était absolument nécessaire de rassurer les investisseurs avec un « ancrage budgétaire à long terme », pour éviter une hausse des taux d’intérêt. Faut-il encore que cet ancrage budgétaire soit sérieux, ce qui n’est pas le cas de la France… Draghi, de son côté, a fait son possible pour favoriser, dans ses budgets, l’investissement en Italie, mais il n’a pas encore gagné la partie pour autant. La situation de la France et de l’Italie ne tient en fait qu’à un fil, et le moindre nouveau cygne noir déclencheur d’une hausse des taux d’intérêt conduira inéluctablement ces deux pays à la faillite officielle, au retrait de la zone euro afin de pouvoir dévaluer la lire et le franc, ce qui créera une gigantesque hyperinflation.
Décidément, aux temps des alertes graves lancées par des membres d’institutions encore les plus respectables de la France sur les dangers qui menacent la nation, il semblerait que ça fumât fort chez M.Macron.
Il y a aussi, moins souligné, le tweet envoyé par le locataire actuel à propos du concours de l’Eurovision. Nous ne soulignerons pas son attrait sans doute poétique pour une jeune fille aux yeux noirs… Non, c’est plutôt une nouvelle pièce dans la machine à déconsidérer la souveraineté française et à souligner une inexistante souveraineté européenne. M.Macron parle de vibrer ensemble en Européens !
Quelqu’un dans sa cellule communication pourrait-il lui rappeler que le concours de l’Eurovision rassemble, au-delà des pays de l’Union européenne, également les Israéliens (depuis 1973), les Russes (depuis 1994), les Turcs (depuis 1975), les Ukrainiens (depuis 2003), les Arméniens (depuis 2006), les Géorgiens (depuis 2007) et même les Australiens (depuis 2015) ?
D’un autre côté, c’est vrai qu’en Macronistan, les frontières ne servent que pour les attestations de déplacement obligatoires en périodes de confinement.
"Quand les Français débarquèrent sur nos côtes, le mot Algérie n’existait pas. Notre histoire commence en 1845 comme celle de la France, en tant que peuple, a commencé avec les Capétiens. 1830, en cette terre d’Afrique du Nord, c’est le chaos, deux millions d’esclaves rançonnés par les pillards ou les féodaux, rongés par la syphilis, le trachome, le choléra, la malaria ; des déserts, des marais pestilentiels, plus rien de ce qui avait été la paix romaine."