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  • La France, homme malade de l’Europe ?

    Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2020

    Ce n’est pas très agréable mais c’est une évidence ! La France est « l’homme malade de l’Europe » ! Depuis que le Tsar Nicolas 1er avait employé cette expression à l’encontre de l’Empire Ottoman, elle a fait florès. Elle désigne l’Etat qui s’enfonce, qui se noie, qui est à la veille de disparaître : les empires turc ou autrichien se sont ainsi disloqués après que ce diagnostic les eut visés . On n’imagine pas qu’un tel destin puisse advenir à notre pays… Et pourtant, des décennies de mauvaise gouvernance, une économie en capilotade, des finances vérolées, des services publics de moins en moins performants, une nation qui « s’archipélise », un peuple qui s’éloigne avec dégoût des isoloirs et des urnes… Les symptômes du mal sont nombreux et envahissants, mais l’oligarchie politique, administrative, financière et médiatique qui publie les bulletins de santé se veut rassurante. Un cancer ne peut pas être un bon médecin.

    45 ans de déficits budgétaires, un endettement qui croît d’année en année, des prélèvements obligatoires qui atteignent des sommets, une dépense publique de moins en moins maîtrisée, un commerce extérieur déséquilibré à notre détriment, une industrie qui joue les peaux de chagrin, un chômage qui gangrène la population active, une atmosphère politique qui désespère les citoyens. Plus personne n’ose parler du « modèle français » qui ressemble de plus à un épouvantail : la caricature de ce qu’il ne faut pas faire ! Les Français, en bons catholiques croyants ou non attendaient tout du Dieu-Etat, plutôt que d’eux-mêmes. Une élite reconnue pour sa compétence dirigeait tout depuis Paris, se procurait en impôts les moyens d’une providence inégalitaire auprès des Français assistés. La redistribution compensait royalement les inégalités. Les Français, par coutume, râlaient, mais oscillant entre une gauche « généreuse » avec l’argent factice et une droite élue avec des promesses de matamore et rejetée après un bilan timoré, ils accumulaient les avantages, la diminution du temps de travail, dans la vie, dans l’année, dans la semaine, les emplois publics hyper-sécurisés, comme si l’heure des comptes ne viendrait jamais. Le peuple souverain avait, puisqu’il était le roi, fait sienne la maxime prêtée sans doute à tort à Louis XV : « Après moi, le déluge » ! L’explosion des familles considérée comme un « progrès », et la déconstruction systématique de l’enseignement de notre histoire ont brisé la chaîne générationnelle. « Carpe Diem », « Cueille le jour présent », ce précepte hédoniste d’Horace est sympathique chez les poètes, disparus ou non, mais devrait conduire les politiciens qui s’en réclament devant le tribunal du peuple. Gouverner, c’est prévoir… prévoir, non sa réélection, mais les mesures qui peuvent assurer le salut public, le bien commun au moins à moyen terme….

    Lorsque la dépense publique atteint 57% du PIB d’un pays (Allemagne : 44%), que les prélèvements obligatoires vampirisent sa production de richesses à hauteur de 46% ( Allemagne 37%), on peut espérer que le socialisme au pouvoir garantisse au moins des services publics irréprochables, une formation performante des enfants, une protection de tous les habitants, ou au moins des nationaux, face au aléas de l’existence, comme les maladies, les catastrophes naturelles, les accidents, et la délinquance, présente dans tous les pays, mais à des degrés divers. La Scandinavie est souvent donnée en exemple de ce choix politique. Ce n’est déjà plus tout-à-fait vrai pour la Suède qui a entrepris des réformes il y a des décennies quand elle était au bord du gouffre. Le Danemark fait encore bonne figure, mais il est désormais derrière la France pour la dépense publique et les prélèvements… et il a gardé sa monnaie et bénéficie d’une fiscalité qualitativement très différente de celle que nous subissons, notamment en ayant mis en oeuvre la TVA sociale depuis très longtemps.

    La maladie française se traduit par le fait que justement, dans notre pays écrasé de taxes, de réglementations, et pourvu d’une armée de fonctionnaires (qui confirme la boutade de Clémenceau : “La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts.”), les administrations fonctionnent mal, les services ne sont plus assurés au public, et cela d’autant plus qu’ils sont plus nécessaires. L’Etat régalien ne remplit plus, ou très mal, ses missions : c’est avec effroi que les Français ont appris que Dijon avait été abandonnée pendant plus de deux jours à un règlement de comptes entre Tchetchènes et Maghrébins, armés ! Mais depuis, une gendarme ( Mélanie Lémée), un chauffeur de bus (Philippe Monguillot), et bien d’autres victimes soulignent « l’ensauvagement » d’un pays qu’on a transformé en un vaste terrain vague en forme d’hexagone destiné à accueillir tout la misère du monde. Partout, aux yeux de tous, une économie de trafics se répand, les zones de non-droit prolifèrent, et ce sont désormais les gendarmes, les policiers, mais aussi les pompiers, les personnels des urgences qui ont peur ! Pasqua disait qu’il fallait terroriser les terroristes ? Maintenant, la peur du gendarme, c’est la peur de celui qui dit à ses enfants : « surtout, à l’école, ne dîtes pas que papa ou maman sont gendarmes ou policiers ! La Justice est toujours à la portion congrue, mais contaminée par l’idéologie et la politique, elle étale au grand jour son impuissance et parfois sa nocivité. Qu’en pensent les parents de Thomas qu’un délinquant libéré trop tôt a assassiné ? L’école dont nous étions si fiers descend une à une les marches du classement PISA. C’est l’extrême-Orient qui brille désormais, comme c’est le cas aussi en matière de santé. Sans doute ce domaine est-il le mieux placé pour que les Français prennent conscience de la maladie. Nous pensions avoir le meilleur système de santé du monde : il a été terrassé par le Covid-19 !

     

    Source : ndf

  • 5000 églises en souffrance en France

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    5000 églises en souffrance en France

    Édouard de Lamaze, président de l’Observatoire du patrimoine religieux, estime dans la Revue des deux mondes que sur environ 35 000 églises et chapelles en France non subventionnées, 5 000 sont en état de souffrance, et que les collectivités locales, chargées de leur entretien, n’ont pas les moyens de les entretenir.

    Amer constat devant des églises du XIXe siècle détruites, où faute de travaux d’entretien, il est devenu impossible de réparer des ans l’irréparable outrage, et partout dans nos villages de campagne des clochers tombés, des tuiles arrachées, des charpentes affaissées, ici la mérule qui s’est infiltrée, là c’est l’eau de pluie qui a fait ses ravages, parfois c’est le système électrique qui est défectueux, partout la même désolation des habitants et l’impuissance des pouvoirs publics locaux.

    Certes, l’incendie de Notre-Dame de Paris a été une sorte d’électrochoc et aura permis de mettre en lumière la situation dramatique de nombre d’églises à l’abandon ou en danger, de réveiller les consciences… Pour autant, si les 86 cathédrales de France (plus les deux basiliques de Saint-Denis et Saint-Nazaire de Carcassonne, ainsi que l’église Saint-Julien de Tours) qui appartiennent à l’État depuis la loi de séparation de 1905 bénéficient à la fois de l’attention particulière des DRAC et de la vigilance des touristes qui les visitent souvent en grand nombre (Strasbourg, Chartres, Amiens, Metz, Albi…), le contraste est saisissant lorsqu’on observe le sort des innombrables églises des villes, et celui des communes rurales.

     

    Source : lesalonbeige

  • Coronavirus : la France accorde une aide de 800 millions aux pays d’Amérique latine et des Caraïbes

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2020

    Par  le 10/07/2020

    L’Europe et l’Amérique du Sud vont renforcer leur coopération dans la lutte contre le Covid-19. La France va ainsi mobiliser 800 millions d’euros d’aide, qui profiteront notamment au Brésil et à la République dominicaine.

    La France a annoncé vendredi l’octroi d’une aide de 800 millions d’euros aux pays d’Amérique latine et des Caraïbes afin de répondre à l’épidémie de Covid-19, dans le cadre d’une coopération renforcée entre l’Europe et ce continent face aux États-Unis et à la Chine.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Ouest-France  via fdesouche

  • Faire plier la Turquie.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Marine-turque.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    L'agression opérée le 10 juin par la marine turque contre une frégate française en mission au large de la Libye pour le compte de l'organisation atlantique, constitue bel et bien  un acte de guerre. En se contentant de dénoncer un "incident qui met en lumière la mort célébrale de l'OTAN", Emmanuel Macron tente d'égarer  les esprits par une réaction verbale sans portée, dérivative et hors sujet.
     
    Dérivative, parce que l'OTAN dont la Turquie demeure un membre choyé par la pseudo-communauté occidentale, loin d'être au bord de l'agonie reste, malgré les prises de position distanciées de Donald Trump, un instrument majeur de la domination américaine et continue de pousser ses pions à l'est de l'Europe.
     
    Hors sujet, car ce que l'on attendrait d'un Président de la République française serait une mise en garde sévère, naturellement suivie d'effets si cet avertissement ultime n'était pas entendu, adressée à la Turquie contre toute nouvelle action touchant des éléments militaires ou civils de notre souveraineté nationale.
     
    La Turquie a enclenché une offensive globale visant à terme à la reconstitution de l'empire ottoman. Offensive économique au Maghreb, identitaire dans les Balkans, militaire en Libye ou Ankara soutient et arme le GNA islamiste et s'oppose frontalement au Maréchal Aftar qui bénéficie quant à lui de l'aide de l'Egypte qui reste pour la Turquie un objectif majeur à abattre. La proximité d'Erdogan avec les frères musulmans éradiqués par le Président Al Sissi et la volonté d'Ankara de peser durablement et profondément sur l'avenir de la région contiennent les ferments d'un conflit programmé.
     
    La France doit choisir son camp. 
     
    Si la France était un État national, la Turquie se verrait avertie que tout nouvel "incident" maritime mettant en cause un de nos bâtiments se traduirait par une riposte immédiate et que tout navire hostile serait coulé.
     
    La Turquie serait prévenue que toute intrusion politique visant à mobiliser sa diaspora contre les intérêts français entraînerait la rupture des relations diplomatiques et l'expulsion sans délais de tous ses ressortissants hors du territoire national.
     
    La Turquie saurait que tout chantage à l'ouverture des voies nationales serait sanctionné par des rétorsions économiques drastiques. Mais il est vrai que dans un État national, le rétablissement des frontières et la volonté d'en finir par tous les moyens avec la déferlante avant de l'inverser par la rémigration,  rendraient toute tentative en ce sens d'Ankara nulle et non avenue.
     
    Dans un État national, enfin, la France, étant sortie de l'OTAN et s'étant dotée des moyens diplomatiques et militaires de sa politique, serait libre de ses actions extérieures et de ses alliances nécessaires.
  • EN FRANCE, AUJOURD’HUI, DES ENFANTS ONT FAIM

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2020

    POSTÉ LE JUIN 02, 2020, 3:23

    Une dame vient de me raconter une petite histoire que je trouve triste et belle. La voici. On peut en tirer des conclusions sur l’actuelle situation de notre pays.

    Cette dame qui « fait le catéchisme », comme on dit, à de jeunes enfants a remarqué que, parmi ses jeunes auditeurs, certains, garçons et filles, se tenaient dans un coin, calmes, silencieux, un peu amorphes, comme s’ils cherchaient à ne pas exister. Elle finit par leur demander s’ils se sentaient bien et les enfants, intimidés, osant à peine répondre, confièrent à cette dame qu’ils avaient faim. Ils étaient un peu honteux de l’avouer. Le matin, ils n’avaient pas de petit-déjeuner. Ils partaient au catéchisme le ventre creux. Par négligence des parents ou indigence. La dame, bien sûr, fit aussitôt en sorte que ces enfants n’aient plus faim et il lui arrive souvent de recommencer. Ces petits, sortant alors de leur mutisme, lui dirent tout simplement : « Merci, Madame », avec un charmant sourire. Cette dame en fut tout heureuse, m’a-t-elle dit. Qu’y a-t-il de plus beau, en effet, que le sourire d’un enfant reconnaissant ?

    Cette anecdote bien simple pose des questions qui vont bien au-delà du catéchisme et de l’anecdote elle-même.

    La France compte maintenant un grand nombre d’enfants, mais aussi d’adultes, qui ont faim, alors que la France officielle et généreuse dépense chaque année, assure-t-on, 750 milliards d’euros dans le social, pour l’essentiel à destination des défavorisés venus d’ailleurs qui désormais se comptent par millions sur notre sol. Ce sont ces migrants que nos responsables politiques ont fait venir par idéologie mondialiste ou socialiste et par démagogie, provoquant de ce fait une fiscalité écrasante. Mais comment cette manne est-elle distribuée ? C’est une question difficile. Pour s’y reconnaître dans cette étonnante complexité, il faut être inspecteur des finances et être en mesure de faire l’inventaire de l’aide au « tiers monde intérieur », à ne pas confondre avec le « tiers monde extérieur » qui, de son côté, absorbe un certain nombre de milliards d’euros – de votre poche.

    On apprend d’abord qu’une partie de cette aide va au distributeur, des fonctionnaires payés qui font penser beaucoup plus à Kafka qu’à saint François d’Assise. L’étude fait apparaître également qu’en France, maintenant, pratiquement la polygamie existe et que le prénom le plus donné dans les mairies est celui de Mohamed. Migrations et naissances expliquent que désormais, les migrants, toutes générations confondues, représentent quelque 25 % de la population dite française.

    Dans certains quartiers des villes allemandes, on est en Turquie. En France, on est au Maghreb. Ces populations font la loi. C’est l’anarchie. Boulangeries, pharmacies, épiceries françaises ont déménagé. Là, les Français n’ont plus leur place en France.

    Le hasard a fait qu’il y a quelques jours, j’ai rencontré à Paris un Paraguayen d’Asuncion, flanqué d’un Colombien qui servait d’interprète : « Que venez-vous faire en France ? lui ai-je demandé. Vous n’avez pas de travail chez vous ? – Il y a du travail, m’a-t-il répondu, mais il y en a peu et il est mal payé. En France, pas de besoin de travailler et on est bien payé. Les amis et les organisations nous disent ce qu’il faut faire pour obtenir des “allocations”. Pas de problème ! » Cet aimable Paraguayen était un Indien guarani. Il manquait à ma collection, qui est déjà fort belle. La rue en France, en effet, c’est le musée de l’Homme ! Inutile d’acheter un billet pour le musée du Trocadéro. Ainsi ai-je croisé des Danakils d’origine hamitique venant d’Abyssinie, à ne pas confondre avec les Hamaras qui sont chrétiens et qui donc sont combattus par les précédents, musulmans. De la sorte, s’ajoutant aux autres, nous pourrions avoir des combats entre coptes et musulmans. L’Afrique, on le voit, se reconstitue chez nous. Mais la collection étant très variée y figurent également des Chinois. À toutes fins utiles, je précise que les prostituées chinoises viennent plutôt de la province du Liao-ning et aussi du Hei Lung Kiang, au nord de la Chine, mais le million de Chinois en France vient d’un peu toutes les provinces, du Kuan Tong, du Kuan Ksi, du Yunan, etc. – plus les nombreux Coréens qu’il ne faut pas oublier.

    Vous pouvez demander à ces Chinois dans leur langue leur origine. Ils vous répondront volontiers en chinois. Il faut noter que ces Chinois ne sont pas à la charge du contribuable. Ils se débrouillent très bien tous seuls, surtout dans l’alimentation. J’en connais un qui était assujetti à l’ISF et j’en connais autre qui tient un grand et excellent restaurant.

    Oui, la France est devenue un musée ethnique et l’idée fait son chemin d’imposer une taxe à ceux qui le visitent. On sait en effet qu’il n’y a pas un seul problème en France qui ne soit résolu par une taxe. Des fonctionnaires, postés à chaque coin de rue, seraient chargés de la percevoir, éventuellement en donnant des explications ethniques : « Vous voyez sur votre gauche : vous avez un Bambara de Sikasso, brachycéphale, c’est-à-dire que le diamètre transverse est presque égal au diamètre antéro-postérieur du crâne. Et, sur votre droite, un Amérindien du Nebraska, également brachycéphale. Un peu plus loin, vous trouvez un groupe de Néo-Papous. » Tout cela me remet en mémoire un souvenir ancien. Débarquant en Amérique latine, je fus accueilli par un groupe d’Indiens patagons qui, habillés en costume local, tapaient sur des calebasses pour soutirer quelques sous aux touristes de passage. Ainsi avaient-ils chaque jour leur bol de riz. C’était pitoyable.

    Un jour viendra, je le crains, où les derniers Français seront regroupés à Roissy pour jouer de la flûte et obtenir des touristes de quoi acheter leur pain. Leur pain ! Que dis-je ? L’assiette de couscous devenue le plat national !

     

    Source : les4verites