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france - Page 68

  • Les Marocains, première communauté étudiante en France

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

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    12% de tous les étudiants internationaux en France au cours de l’année universitaire 2018-2019 venaient du Maroc. Des données publiées par Campus France ont montré qu’au cours de la même période, le nombre d’étudiants internationaux en France s’élevait à 358 005 et ils viennent au total de 196 pays. 46% de ces étudiants internationaux venaient d’Afrique, tandis qu’un sur quatre venait d’ailleurs en Europe.

    […]

    En dehors des Marocains classés comme étant la plus grande communauté d’étudiants étrangers en France au cours de l’année universitaire 2017-2018, de récentes statistiques ont montré que les étudiants algériens sont également parmi les premiers sur la liste, avec 31 196 étudiants. Le nombre d’étudiants tunisiens en France a atteint 13 025 au cours de l’année universitaire 2018-2019. Les données parlent également des étudiants sénégalais, ivoiriens, camerounais.

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    L’article dans son intégralité sur Bladi via fdesouche

  • Vaccin ou pas, banqueroute à venir pour la France !

    Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2020

    banqueroute,france,vaccin

    Marc Rousset

    La Bourse de Paris s’est envolée de 7,57 %, lundi, après l’annonce d’une « efficacité à plus de 90 % » d’un vaccin contre le Covid-19 des groupes Pfizer et BioNTech. Il est possible d’obtenir, un jour, un bon vaccin suite aux nombreux travaux en cours, mais avec Pfizer, nous sommes en pleine « exubérance irrationnelle ».

    Ce vaccin innovant, parmi les quatre grandes catégories de vaccin, est à ADN ou ARN messager sans aucun recul technologique, d’où des effets secondaires possibles inconnus pour l’instant. Il doit être conservé à très basse température (-70 °C), suite à son instabilité thermique, nécessite deux injections à trois semaines d’intervalle et personne ne connaît, à ce jour, sa durée d’efficacité. Le Chinois Sinovac vient de suspendre ses essais au Brésil après un « incident grave ». La seule chose de certaine, c’est que le PDG Albert Bourla, en vendant 5,6 millions de dollars d’actions, le jour de l’annonce de l’efficacité du vaccin, tout comme la vice-présidente Sally Susman, ont effectué une excellente opération financière et s’en sont mis plein les poches.

    L’annonce du laboratoire Eli Lilly, avec son traitement aux anticorps pour patients non hospitalisés, paraît plus prometteuse, avec moins de risques. Et même si le virus devait disparaître, cela ne signifierait pas que la croissance économique se rétablirait du jour au lendemain. L’économie mondiale devra toujours faire face à la situation pré-catastrophique de l’hyper-endettement avant la crise du Covid-19, en mars 2020, à laquelle sont venus partout s’ajouter des milliers de milliards de dollars.

    La réalité actuelle, c’est que nous assistons, en France, à une explosion record du chômage, soit 2,7 millions de personnes (9 % de la population active). Le nombre de personnes privées d’emploi a bondi de 628.000 personnes, au troisième trimestre. Le pire est à venir, avec un taux de chômage à 9,7 %, fin 2020, selon l’INSEE. Selon le Secours catholique, la France est en passe d’atteindre les 10 millions de pauvres, et une fois déduites les dépenses contraintes, la moitié vit avec moins de neuf euros par jour.

    81 % des Français sont inquiets pour leurs enfants qui risquent de connaître la pauvreté. 43 %, seulement, sont partis en vacances, en 2020. Un Français sur quatre en arrive à se restreindre sur ce qu’il mange pour des raisons financières. La lourde erreur de ce gouvernement, concernant les petits commerces, précipitant les faillites, ne peut qu’ajouter à des drames humains du confinement pires que le décès accéléré de personnes âgées dans les EHPAD souffrant d’autres affections graves.

    L’autre réalité, sur le plan économique, c’est que l’inflation en France, suite à la faiblesse de la demande, aux capacités inemployées et à la concurrence internationale, est nulle. Les ménages, au lieu de consommer, épargnent car la population vieillit et parce qu’ils ont peur du lendemain. Si l’absence d’inflation devait perdurer, ce qui est improbable, les impôts viendraient encore peser davantage sur les classes moyennes afin de stabiliser la dette.

    Une inflation minimale de 7 à 8 % apparaîtra alors assez rapidement, ce qui permettrait de diminuer la dette, comme ce fut le cas pendant les Trente Glorieuses afin de pouvoir rembourser la dette publique de 1945. Le Système et la BCE feront tout pour maintenir artificiellement des taux bas, comme aujourd’hui, bien qu’un peu plus élevés. Mais si l’inflation devient plus substantielle, le Système ne pouvant plus contrôler l’augmentation des taux d’intérêt, nous vivrons alors la banqueroute de l’Italie, de l’Europe du Sud et de la France, avec explosion inévitable de la zone euro.

    La BCE devrait augmenter ses rachats d’actifs le mois prochain ainsi que les opérations TLTRO. Christine Lagarde a averti, mercredi, que même avec un vaccin contre le Covid-19, la reprise économique en zone euro risquait d’être instable, car dépendante du rythme de déploiement des traitements. Selon Éric Woerth, « nous allons en 2020 vers 11 % de récession, 11 % de déficit, 11 % de chômage, avec des recettes fiscales qui couvrent 50 % des dépenses : cette situation n’a jamais existé ! Elle nous met en risque absolu face aux marchés financiers. » Dès que la BCE cessera d’acheter la totalité des titres émis de la dette française comme de la dette italienne, les taux d’intérêt remonteront à la verticale et ces deux dettes publiques se révéleront insoutenables.

     

    Source : synthesenationale

  • Hausse massive de la pauvreté en France.

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2020

    france,pauvreté

    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Dans son rapport annuel, le Secours catholique indique que la France se prépare à franchir la barre des dix millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, soit un million de plus qu'en 2018.
     
    Ce chiffre déjà dramatique ne mesure pas encore totalement les ravages économiques et sociaux que va inévitablement induire la gestion aberrante de la crise sanitaire, avec pour conséquences l'explosion des faillites dans les secteurs de la restauration, du tourisme et du commerce, la fermeture de milliers de petites et moyennes entreprises, la mise au chômage prochaine de centaines de milliers de nos compatriotes et la précarisation d'un nombre incalculable de familles. Elle ne prend pas non plus en compte la réduction drastique du pouvoir d'achat de ceux qui auront la chance de conserver leur travail ni des retraités lorsque viendra le temps de rembourser les dettes, ce qu'il faudra bien, quoiqu'en disent les "rassuristes" financiers, faire un jour.
     
    Dans cette tragédie sociale qui vient, la responsabilité de Macron est pleinement engagée, lui qui n'a ni su ni voulu réduire les dépenses de l'Etat hors devoirs régaliens, en finir avec les coûts exorbitants des fraudes, du gaspillage et de l'immigration, autant de dépenses indues qui auraient pu être consacrées à la diminution des taxes, à la relance de l'emploi et à un vrai effort social en direction des plus défavorisés de nos compatriotes.
     
    Mais le désigner comme seul coupable serait oublier les vraies causes de cet effondrement: la désindustrialisation de la France voulue par le système financier international, acceptée par les dirigeants français et mise en oeuvre docilement par le régime; les délocalisations massives exigées par le patronat; l'ouverture totale de nos frontières dans une concurrence faussée et déloyale; le coût ruineux pour nos finances publiques de l'immigration ; la soumission de tous nos gouvernements depuis quarante cinq ans à la doxa mondialiste et, depuis deux décennies, au globalisme absolu; la logique mortifère du capitalisme mondial, spéculatif, vorace et cupide tel que nous venons de le voir à l'œuvre avec la fermeture de l'usine de pneus Bridgestone de Béthune dans le Pas-de-Calais et la destruction de 863 emplois dans l'indifférence gouvernementale.
     
    Notre libéralisme à nous est national et européen. Il suppose la libre concurrence, mais dans la protection de nos marchés. Un libéralisme entrepreneurial tempéré par le rôle stratégique de l'Etat et le souci constant de l'équité pour tous les Français, des équilibres territoriaux et de la sauvegarde des services publics. Un libéralisme social, enfin, avec pour ligne de référence magnétique la recherche constante de l'intérêt général guidée par l'affirmation des principes de préférence et de priorité nationales.
  • La France en passe d’atteindre 10 millions de pauvres selon le Secours catholique

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2020

    Bientôt plus de 10 millions de pauvres en France, selon le Secours catholique

    […]

    Dans une interview au Parisien, la présidente de l’association, Véronique Fayet, affirme : “La France franchira la barre des 10 millions de pauvres en 2020.”

    “La situation est dramatique”

    Dans son rapport compilant des données de 2019, et donc d’avant la crise du Covid-19, le Secours catholique a étudié “en détail” le budget de 3 000 familles suivies par l’association, a expliqué à l’AFP Véronique Fayet. Une fois déduites les dépenses contraintes (loyer, factures d’eau et d’énergie, assurances…), la moitié des personnes vit avec moins de neuf euros par jour. Ce “reste pour vivre” doit financer nourriture, vêtements, produits d’hygiène, etc.

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    L’article dans son intégralité sur France Info via fdesouche

  • La pénurie de médicaments s’aggrave en France

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2020

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    Il y avait en effet 405 pénuries en 2016 et presque trois fois plus en 2019. En 2020, 2 400 ruptures devraient être constatées, “six fois plus qu’il y a quatre ans”, note l’étude, citant l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

    Une situation d’autant plus alarmante que ces pénuries concernent des médicaments dits “d’intérêt thérapeutique majeur” (MITM), “pour lesquels une interruption de traitement peut être susceptible de mettre en jeu le pronostic vital des patients”.

    […]

    Dans 12% des cas, les producteurs orientent “vers des solutions de derniers recours”, comme la diminution de la posologie. Enfin, dans près d’un cas sur cinq (18%), les laboratoires “ne proposent tout simplement aucune solution de substitution”

    […]

    L’article dans son intégralité sur France Info via fdesouche