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france - Page 72

  • Coronavirus : la France accorde une aide de 800 millions aux pays d’Amérique latine et des Caraïbes

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2020

    Par  le 10/07/2020

    L’Europe et l’Amérique du Sud vont renforcer leur coopération dans la lutte contre le Covid-19. La France va ainsi mobiliser 800 millions d’euros d’aide, qui profiteront notamment au Brésil et à la République dominicaine.

    La France a annoncé vendredi l’octroi d’une aide de 800 millions d’euros aux pays d’Amérique latine et des Caraïbes afin de répondre à l’épidémie de Covid-19, dans le cadre d’une coopération renforcée entre l’Europe et ce continent face aux États-Unis et à la Chine.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Ouest-France  via fdesouche

  • Faire plier la Turquie.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Marine-turque.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    L'agression opérée le 10 juin par la marine turque contre une frégate française en mission au large de la Libye pour le compte de l'organisation atlantique, constitue bel et bien  un acte de guerre. En se contentant de dénoncer un "incident qui met en lumière la mort célébrale de l'OTAN", Emmanuel Macron tente d'égarer  les esprits par une réaction verbale sans portée, dérivative et hors sujet.
     
    Dérivative, parce que l'OTAN dont la Turquie demeure un membre choyé par la pseudo-communauté occidentale, loin d'être au bord de l'agonie reste, malgré les prises de position distanciées de Donald Trump, un instrument majeur de la domination américaine et continue de pousser ses pions à l'est de l'Europe.
     
    Hors sujet, car ce que l'on attendrait d'un Président de la République française serait une mise en garde sévère, naturellement suivie d'effets si cet avertissement ultime n'était pas entendu, adressée à la Turquie contre toute nouvelle action touchant des éléments militaires ou civils de notre souveraineté nationale.
     
    La Turquie a enclenché une offensive globale visant à terme à la reconstitution de l'empire ottoman. Offensive économique au Maghreb, identitaire dans les Balkans, militaire en Libye ou Ankara soutient et arme le GNA islamiste et s'oppose frontalement au Maréchal Aftar qui bénéficie quant à lui de l'aide de l'Egypte qui reste pour la Turquie un objectif majeur à abattre. La proximité d'Erdogan avec les frères musulmans éradiqués par le Président Al Sissi et la volonté d'Ankara de peser durablement et profondément sur l'avenir de la région contiennent les ferments d'un conflit programmé.
     
    La France doit choisir son camp. 
     
    Si la France était un État national, la Turquie se verrait avertie que tout nouvel "incident" maritime mettant en cause un de nos bâtiments se traduirait par une riposte immédiate et que tout navire hostile serait coulé.
     
    La Turquie serait prévenue que toute intrusion politique visant à mobiliser sa diaspora contre les intérêts français entraînerait la rupture des relations diplomatiques et l'expulsion sans délais de tous ses ressortissants hors du territoire national.
     
    La Turquie saurait que tout chantage à l'ouverture des voies nationales serait sanctionné par des rétorsions économiques drastiques. Mais il est vrai que dans un État national, le rétablissement des frontières et la volonté d'en finir par tous les moyens avec la déferlante avant de l'inverser par la rémigration,  rendraient toute tentative en ce sens d'Ankara nulle et non avenue.
     
    Dans un État national, enfin, la France, étant sortie de l'OTAN et s'étant dotée des moyens diplomatiques et militaires de sa politique, serait libre de ses actions extérieures et de ses alliances nécessaires.
  • EN FRANCE, AUJOURD’HUI, DES ENFANTS ONT FAIM

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2020

    POSTÉ LE JUIN 02, 2020, 3:23

    Une dame vient de me raconter une petite histoire que je trouve triste et belle. La voici. On peut en tirer des conclusions sur l’actuelle situation de notre pays.

    Cette dame qui « fait le catéchisme », comme on dit, à de jeunes enfants a remarqué que, parmi ses jeunes auditeurs, certains, garçons et filles, se tenaient dans un coin, calmes, silencieux, un peu amorphes, comme s’ils cherchaient à ne pas exister. Elle finit par leur demander s’ils se sentaient bien et les enfants, intimidés, osant à peine répondre, confièrent à cette dame qu’ils avaient faim. Ils étaient un peu honteux de l’avouer. Le matin, ils n’avaient pas de petit-déjeuner. Ils partaient au catéchisme le ventre creux. Par négligence des parents ou indigence. La dame, bien sûr, fit aussitôt en sorte que ces enfants n’aient plus faim et il lui arrive souvent de recommencer. Ces petits, sortant alors de leur mutisme, lui dirent tout simplement : « Merci, Madame », avec un charmant sourire. Cette dame en fut tout heureuse, m’a-t-elle dit. Qu’y a-t-il de plus beau, en effet, que le sourire d’un enfant reconnaissant ?

    Cette anecdote bien simple pose des questions qui vont bien au-delà du catéchisme et de l’anecdote elle-même.

    La France compte maintenant un grand nombre d’enfants, mais aussi d’adultes, qui ont faim, alors que la France officielle et généreuse dépense chaque année, assure-t-on, 750 milliards d’euros dans le social, pour l’essentiel à destination des défavorisés venus d’ailleurs qui désormais se comptent par millions sur notre sol. Ce sont ces migrants que nos responsables politiques ont fait venir par idéologie mondialiste ou socialiste et par démagogie, provoquant de ce fait une fiscalité écrasante. Mais comment cette manne est-elle distribuée ? C’est une question difficile. Pour s’y reconnaître dans cette étonnante complexité, il faut être inspecteur des finances et être en mesure de faire l’inventaire de l’aide au « tiers monde intérieur », à ne pas confondre avec le « tiers monde extérieur » qui, de son côté, absorbe un certain nombre de milliards d’euros – de votre poche.

    On apprend d’abord qu’une partie de cette aide va au distributeur, des fonctionnaires payés qui font penser beaucoup plus à Kafka qu’à saint François d’Assise. L’étude fait apparaître également qu’en France, maintenant, pratiquement la polygamie existe et que le prénom le plus donné dans les mairies est celui de Mohamed. Migrations et naissances expliquent que désormais, les migrants, toutes générations confondues, représentent quelque 25 % de la population dite française.

    Dans certains quartiers des villes allemandes, on est en Turquie. En France, on est au Maghreb. Ces populations font la loi. C’est l’anarchie. Boulangeries, pharmacies, épiceries françaises ont déménagé. Là, les Français n’ont plus leur place en France.

    Le hasard a fait qu’il y a quelques jours, j’ai rencontré à Paris un Paraguayen d’Asuncion, flanqué d’un Colombien qui servait d’interprète : « Que venez-vous faire en France ? lui ai-je demandé. Vous n’avez pas de travail chez vous ? – Il y a du travail, m’a-t-il répondu, mais il y en a peu et il est mal payé. En France, pas de besoin de travailler et on est bien payé. Les amis et les organisations nous disent ce qu’il faut faire pour obtenir des “allocations”. Pas de problème ! » Cet aimable Paraguayen était un Indien guarani. Il manquait à ma collection, qui est déjà fort belle. La rue en France, en effet, c’est le musée de l’Homme ! Inutile d’acheter un billet pour le musée du Trocadéro. Ainsi ai-je croisé des Danakils d’origine hamitique venant d’Abyssinie, à ne pas confondre avec les Hamaras qui sont chrétiens et qui donc sont combattus par les précédents, musulmans. De la sorte, s’ajoutant aux autres, nous pourrions avoir des combats entre coptes et musulmans. L’Afrique, on le voit, se reconstitue chez nous. Mais la collection étant très variée y figurent également des Chinois. À toutes fins utiles, je précise que les prostituées chinoises viennent plutôt de la province du Liao-ning et aussi du Hei Lung Kiang, au nord de la Chine, mais le million de Chinois en France vient d’un peu toutes les provinces, du Kuan Tong, du Kuan Ksi, du Yunan, etc. – plus les nombreux Coréens qu’il ne faut pas oublier.

    Vous pouvez demander à ces Chinois dans leur langue leur origine. Ils vous répondront volontiers en chinois. Il faut noter que ces Chinois ne sont pas à la charge du contribuable. Ils se débrouillent très bien tous seuls, surtout dans l’alimentation. J’en connais un qui était assujetti à l’ISF et j’en connais autre qui tient un grand et excellent restaurant.

    Oui, la France est devenue un musée ethnique et l’idée fait son chemin d’imposer une taxe à ceux qui le visitent. On sait en effet qu’il n’y a pas un seul problème en France qui ne soit résolu par une taxe. Des fonctionnaires, postés à chaque coin de rue, seraient chargés de la percevoir, éventuellement en donnant des explications ethniques : « Vous voyez sur votre gauche : vous avez un Bambara de Sikasso, brachycéphale, c’est-à-dire que le diamètre transverse est presque égal au diamètre antéro-postérieur du crâne. Et, sur votre droite, un Amérindien du Nebraska, également brachycéphale. Un peu plus loin, vous trouvez un groupe de Néo-Papous. » Tout cela me remet en mémoire un souvenir ancien. Débarquant en Amérique latine, je fus accueilli par un groupe d’Indiens patagons qui, habillés en costume local, tapaient sur des calebasses pour soutirer quelques sous aux touristes de passage. Ainsi avaient-ils chaque jour leur bol de riz. C’était pitoyable.

    Un jour viendra, je le crains, où les derniers Français seront regroupés à Roissy pour jouer de la flûte et obtenir des touristes de quoi acheter leur pain. Leur pain ! Que dis-je ? L’assiette de couscous devenue le plat national !

     

    Source : les4verites

  • Accueil, séjour, visas, asile… La lente reprise de la gestion de l’immigration en France

    Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2020

    Par  le 31/05/2020

    Les autorités n’ont délivré que quelques centaines de ces sésames en avril, contre 300.000 par mois en moyenne avant la crise.

    Bouleversée par la crise du Covid-19, la gestion de l’immigration en France reprend doucement avec le déconfinement. À la Direction générale des étrangers en France (DGEF), sur les 80 % d’agents actuellement au travail, la moitié collabore encore à distance. Les préfectures fonctionnent aussi en mode un peu moins «dégradé», tandis que la police aux frontières (PAF) s’appuie sur un dispositif restreint pour assurer ses missions aux principaux points de contrôle.

    À l’extérieur de l’Union, la pression migratoire remonte. Certes, entre la Turquie et la Grèce, on compte seulement une centaine d’arrivées de migrants par semaine. Mais la situation se complique en Italie, avec des débarquements directs notamment sur l’île de Lampedusa, en provenance de Libye. Depuis le début de l’année, plus de 4500 illégaux sont arrivés sur les côtes italiennes, avec la ferme intention de poursuivre leur périple vers le nord.

  • La France va donner plus de 20 milliards d’euros à l’Italie

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2020

    Broke Poor Empty - Free photo on Pixabay

    « La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a dévoilé mercredi 27 mai un plan d’aide avec un fond de relance de 750 milliards d’euros pour soutenir l’économie de l’UE mise à mal par le Covid-19. L’Italie, très touchée et qui déplore plus de 33 000 morts dus à l’épidémie, devrait bénéficier d’environ 172 milliards d’euros, dont 82 sous forme de subventions, et semble s’en réjouir.» (source RFI)

    Or, la France contribuant au budget européen à hauteur de 14,47% (en 2019), on peut considérer qu’elle va donner près de 25 milliards d’euros à l’Italie !

    Le comble étant que la Commission européenne se donne le beau rôle !

     

    Source : contre-info