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france - Page 59

  • L’explosion boursière arrive à la vitesse grand V !

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2021

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    Marc Rousset

    La BCE est déjà en train de préparer un programme d’urgence d’un QE illimité pour sauver l’Italie, voire la France.

    Ce nouveau programme permettra d’aider l’Italie avec un bazooka monétaire car il n’y aura plus de limitation maximale de la création monétaire par pays, selon des quotas maximaux prévus par les règles actuelles, en fonction du PIB, c’est-à-dire du poids de l’économie de chaque pays.

    Pour la galerie – parce que tout est censé s’arranger alors qu’en fait, tout se détériore -, on va donc en réalité accroître la création monétaire actuelle, par la BCE, de 20 milliards d’euros par mois et du maximum autorisé de 1.800 milliards d’euros du plan PEPP qui doit s’achever fin mars 2022.

    Les médias bien-pensants nous expliquent que la BCE va diminuer la création monétaire ; dans la réalité, la BCE va sans doute l’accélérer sans limite aucune, selon des décisions qui seront prises probablement fin décembre 2021 par Christine Lagarde, avec l’approbation des gouverneurs. La crainte est de voir les taux italiens s’envoler ; il s’agira de pouvoir éviter de nouveau, quoi qu’il en coûte, un crash obligataire et boursier italien. Le risque d’incendie et d’explosion en Europe, voire dans le monde, si l’on observe aussi ce qui se passe aux États-Unis et en Chine, approche sans bruit !

    Il suffit d’observer également en Bourse les premiers soubresauts. Les taux italiens sont actuellement de 0,89 %, au plus haut, avec une augmentation de 0,25 % depuis juin 2021. En Espagne, ils ne sont que de 0,49 %.

    L’or, qui végète actuellement, va s’envoler un de ces jours, comme le Bitcoin, mais sans redégringoler peu après. Le Président Macron, alors que la dette française approche les 2.800 milliards d’euros, se moque du monde sur l’état réel catastrophique de l’économie française car la faillite est d’ores et déjà inévitable à terme. L’explosion à venir de la zone euro est tout aussi inévitable, tandis que le fondateur d’« En marche vers la catastrophe » nous prêche les vertus de l’Union européenne et de la monnaie unique.

     

    Source : synthesenationale

  • Électricité : les Français condamnés à payer pour un marché qui n’est pas le leur.

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2021

    Il est à espérer que les Français vont enfin comprendre dans quelle impasse les a menés la pantomime du tarif de l’électricité à laquelle ont souscrit les dirigeants français, ces dirigeants parfaitement incompétents qui ne comprennent rien au marché de cette énergie.

    edf,électricité,france,gestion lamentableIl était autrefois l’EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l’État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l’énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d’un pays. Force est de constater qu’elle a accompli sa mission de façon remarquable, d’abord par ses aménagements hydrauliques (2.300 barrage, dont 433 exploités par EDF), et ensuite par la construction de 19 centrales nucléaires regroupant 58 réacteurs (18 et 56 aujourd’hui, hélas).

    L’EDF était une entreprise une et indivisible qui fonctionnait selon un monopole, et qui a permis à la France d’avoir en abondance et sans la moindre panne (sauf intempéries) l’électricité la moins chère du monde.

    Cette situation ne pouvait pas convenir aux gnomes de Bruxelles. Mon Dieu, un monopole ! disaient les Bruxellois. Mon Dieu, ces Français font mieux que nous ! disaient les Allemands. Mon Dieu, le nucléaire ! disaient les imbéciles !

    On va donc faire un marché unique de l’électricité dans lequel les Français sont obligés d’introduire la concurrence ! Pire : M. Macron, petit garçon obéissant, en profite pour fermer Fessenheim et ses deux réacteurs nucléaires.

    Marché unique : le prix de l’électricité sera désormais indexé sur le coût marginal, c’est-à-dire le coût du dernier kilowatt produit. Autrement dit, quand la demande oblige à démarrer les centrales les moins rentables, celles qu’on garde en secours, le prix de vente de toute l’électricité s’aligne sur le prix de revient des centrales les plus chères. C’est la vente au coût marginal, chère aux économistes de Bruxelles, la seule qui peut fonctionner dans une  de libre concurrence (sinon, les dernières centrales s’arrêtent).

    Or, l’électricité la plus chère est celle qui provient des centrales à gaz, en raison du coût exorbitant de cette énergie. Voilà pourquoi le prix du kWh, en France, est indexé sur le prix du gaz, alors que notre électricité est nucléaire.

    L’alignement sur le prix des centrales les plus chères en  est le résultat mécanique 1) de la disparition du monopole et 2) de la concurrence obligatoire imposée par Bruxelles.

    Ainsi Bruxelles, par ses attaques répétées contre notre système électrique – probablement le meilleur en Europe – et par l’obsession antinucléaire pilotée par les Allemands, est parvenue à affaiblir dangereusement la production électrique française.

    Au point que la France va devoir importer de plus en plus. Ainsi, peu de temps après la fermeture de Fessenheim, on passait commande à l’Allemand Siemens de la construction d’une centrale au gaz à Landivisiau, avec contrat de maintenance sur vingt ans et fourniture du gaz venant de  par les Allemands. Donc, des importations au prix fort et le risque de chantage du fournisseur en prime.

    Mais ce n’est pas tout. RTE, devant l’affaiblissement de notre réseau, a préparé un plan de coupures électriques qui sera appliqué cet hiver en cas de grand froid. Ce sont des coupures tournantes de deux heures par paquets de 200.000 foyers (soit environ 450.000 personnes).

    Tel est le résultat de la gestion lamentable de nos édiles.

     

    Jean-Marc Frenove

    Economiste et spécialiste des énergies
     
  • France : en 2020, 28.8% des nouveau-nés avaient au moins un parent né dans un pays extra-européen

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

  • 5700 lits d’hôpitaux fermés en France en 2020.

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

    ARTICLE. La crise sanitaire n’aura pas empêché la suppression de lits d’hôpitaux en France, selon l’étude publiée ce mercredi 29 septembre 2021 par le ministère de la Santé. Une diminution « conjoncturelle » et « plus marquée que les années précédentes » à laquelle il faut ajouter la fermeture de 25 établissements de santé…

    En 2020, le nombre de lits d’hospitalisation à temps plein aurait atteint 386 805 unités. Ce qui correspond à une baisse de 5700 lits par rapport à l’année précédente, selon l’étude intitulée « les travaux de la DREES (Direction de recherche, des études, de l’évaluation des statistiques) liés à la crise sanitaire de la Covid-19 », publiée ce mercredi par le ministère de la Santé. 25 établissements publics et privés auraient également fermé en 2020 – malgré le Covid-19 – « sous l’effet des réorganisations et restructurations » indique l’étude. Pour la première fois, en 2020, la France est passée sous la barre des 3000 structures et cliniques ouvertes, avec quelque 2983 établissements fin décembre. Un record.

    D’après le ministère de la Santé, cette baisse est « conjoncturelle » et s’expliquerait par le « contexte d’épidémie »… Beaucoup de chambres doubles auraient été transformées en chambres simples « pour limiter la contagion » et des déprogrammations ont été réalisées en masse pour réaffecter les personnels soignants dans les services de soins les plus critiques. Pour faire face à l’épidémie, le recours aux alternatives de l’hospitalisation à temps plein – le recours à l’hospitalisation partielle (moins de 12h par jour) et à l’hospitalisation à domicile (HAD), par exemple – a également progressé. Une manière comme une autre de rogner les coûts…

    Presque deux fois moins de lits par habitant qu’en 1980

    L’HAD a donc connu une « croissance particulièrement vive » de 10,8%, avec 1369 places d’hospitalisation partielle créées. Le nombre de lits de réanimation a quant à lui augmenté trois fois plus vite qu’en 2019, pour atteindre un total de 6200 lits, soit une augmentation de 14,5%. L’étude décrit cette réorganisation des services de Santé comme « le passage à un système » dans lequel l’hôpital ne serait plus le centre, mais plutôt « une étape dans la prise en charge des patients ».

    Ce « virage ambulatoire » est-il conjoncturel comme le décrit le ministère de la Santé dans son étude ? Ou est-il plutôt une conséquence concrète d’un déclin des services de santé français, né de la fracture de l’hôpital, qui pourrait se pérenniser ? Pour rappel, la France comptait en moyenne 11,1 lits pour 1000 habitants au début des années 1980, et en 2020 il y en avait moins de 6 pour 1000 habitants. Autrement dit, le nombre de lits par habitant a presque baissé de moitié en près d’une quarantaine d’années…

    Source : https://frontpopulaire.fr/

  • France – Présidentielle 2022 : opposition contrôlée ?

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2021

    Le 10 avril 2022 aura lieu l’élection présidentielle avec pour l’instant pas moins de 30 candidats. (1) et (2) N’en jetez plus, la cour est pleine ! La course aux 500 parrainages est lancée. Qui va gagner ?

    Je ne vais pas vous énumérer toute la liste, assez fastidieuse d’ailleurs. Entre les indéboulonnables, les arrivistes, les opportunistes, et quelques souverainistes, rien de nouveau sous le soleil. C’est d’un ennui total.

    Entre une extrême gauche inexistante depuis bien trop longtemps, en passant par les ténors de la LREM, du PS, de la LR, du Modem et des Verts, tout ce beau monde inutile veut conserver sa part de gâteau. Reste l’extrême droite plombée par le RN et les divers, regroupant royalistes, souverainistes, animalistes et indépendants.

    Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour se douter qu’au deuxième tour, ce sera sans surprise, c’est-à-dire un sempiternel duel – qui n’en est pas un d’ailleurs – entre un candidat LREM et Marine Le Pen. Nous connaissons d’avance le résultat.

    Notre pays comptait, aux dernières élections régionales et départementales de 2021, le chiffre exorbitant d’au moins 66 % d’abstentionnistes. (3) C’est un énorme problème. Ajoutez à cela qu’au moins 10 % de « militants électeurs » voteront, quoiqu’il se passe, pour chaque grand partis tels que la LREM, le PS et la LR, que 5 à 6 % des électeurs voteront verdâtre et Modem, et que le reste des candidats se verront crédités entre 0,1 % et 5 % de voix suivant l’humeur Ô combien changeante du citoyen. Pourcentage évolutif, tout dépendra du matraquage de la grande presse et des ordres des « réseaux Attali ».

    Eric Zemmour, qui ne s’est pas encore engagé officiellement, serait crédité pour l’instant à 10 %.

    En fait, quelques candidats regroupés dans la section « extrême droite et divers » peuvent changer la donne. À condition de le vouloir. Vous noterez que je n’ai pas inclus les candidats d’extrême gauche, trop englués dans des idées surannées, et sans volonté réelle de sortir notre pays de l’emprise de la grande finance internationale.

    Qu’est-ce qui empêche les souverainistes, royalistes et quelques autres de désigner un candidat commun, de se ranger derrière lui, et d’œuvrer pour que cette personnalité fasse le troisième larron à la prochaine élection présidentielle ? Bonne question. L’ego de chacun est un obstacle de taille. Mais, si chaque candidat faisait passer l’intérêt de la nation avant le sien, nous pourrions sortir enfin de l’hégémonie mondialiste de Bruxelles, retrouver notre souveraineté nationale et sortir enfin de ce bourbier. D’autant plus que l’union faisant la force, il y aurait une équipe pour gouverner derrière le candidat commun.

    Si personne ne fait l’effort de considérer le bien de la nation avant le sien, alors on peut légitimement se demander si l’abondance de candidatures n’est qu’un leurre profitable à la LREM – diviser pour mieux régner – et que tout ce flonflon n’est en somme que de l’opposition contrôlée.

    Claude Janvier

    Ecrivain polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président », IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

    Notes :

    (1) https://www.nouvelobs.com/election-presidentielle-2022/20210903.OBS48166/presidentielle-2022-la-liste-des-candidats-declares-ou-pressentis.html

    (2) https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/guides/260650-presidentielle-2022-qui-sont-les-candidats-officiels

    (3) https://www.bienpublic.com/politique/2021/06/20/un-taux-de-participation-de-12-22-a-midi-au-premier-tour

     

    Source : http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/