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france - Page 61

  • Chute de la natalité en France

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Les chiffres de la natalité de janvier sont historiquement bas, consacrant la crise de la natalité en France. Mais nos idéologues considèrent que la priorité c’est de pouvoir avorter…

     

    Source : lesalonbeige

  • Premières secousses de la hausse des taux et de l’inflation

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2021

    Wall Street a terminé en forte hausse, ce vendredi, mais sur le mois, le SP 500 est en baisse de plus de 3 % et le NASDAQ de 8,5 %. Le CAC 40 a connu une semaine agitée, mais a gagné 3 % en un mois et 5 % depuis le début de l’année. Depuis le 5 mars 2020, le taux d’emprunt d’État américain sur 10 ans est passé de 0,91 à 1,55 %, en augmentation très rapide ces derniers jours.

    hausse de l'inflation,endettement dramatique,franceEn un mois, l’action Apple a décroché de 12 % et Tesla de 30 %. Le dollar s’est envolé et l’euro s’est enfoncé. Les investisseurs ont besoin d’être rassurés sur le fait que la banque centrale américaine (Fed) restera à la manœuvre et qu’elle contrôlera une remontée trop forte des taux.

    La situation de la France en matière de compétitivité et d’endettement est dramatique. La part de la France dans les exportations de la zone euro est passée de 13,9 %, en 2019, à 12,7 %, en 2020. Les Pays-Bas, avec le tiers des habitants, exportent en valeur absolue plus que la France ! La dette publique de la France de 120 % du PIB est au-dessus de la moyenne de 97,3 % dans la zone euro. 23 % de cette dette sont détenus par la BCE. La dette, momentanément, coûte de moins en moins cher (1,4 % du PIB pour les intérêts). Prétendre vouloir annuler la dette française du Covid-19 de 215 milliards d’euros n’est pas très sérieux.

    Bruno Le Maire a reconnu publiquement que le reste de la dette publique, soit environ 2.600 milliards d’euros, qui pèse sur la France depuis des années, est en réalité « une dette chronique liée à un niveau de dépense publique le plus élevé de tous les pays du monde ». Seules des mesures structurelles antisocialistes peuvent sauver la France : réformer l’assurance , réformer les retraites avec passage à 65 ans, inciter les Français à travailler plus longtemps, assainir la dépense publique, passer à l’immigration zéro, ce dont ne parle jamais le gouvernement.

    Il est en effet écrit (ce que nous commençons à vivre en ce moment) que les taux d’intérêt remonteront un jour. De plus, cette remontée des taux peut être brutale et inattendue, comme ce fut le cas pour la Grèce, l’Italie, l’Espagne et le Portugal en 2009. Les taux, tels des tsunamis, finiront par remonter à terme lorsque l’inflation apparaîtra pour de bon, même si les banques centrales font tout pour s’y opposer. Gare, donc, au retour de l’inflation, avec risques de krachs boursiers, et à la faillite de la France !

    Christine Lagarde a déclaré que la BCE empêcherait une hausse prématurée des taux. Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE, a dit également qu’il faudrait des interventions monétaires plus fortes, mais les Allemands ont déjà dit non ! Jens Weidmann, président de la Bundesbank, a déclaré que l’essentiel, c’est la stabilité des prix. Inflation au-dessus de 2 % « verboten » (interdit) ! Un moment critique d’explication pays du Sud/pays du Nord  pourrait bien être en avril-mai 2022, après la fin du programme PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) en mars 2022.

    La Chine s’inquiète d’un krach à venir sur les marchés occidentaux. Depuis le krach de mars 2020, les marchés financiers européens et américains enchaînent les records. Selon un haut dignitaire chinois, « les marchés financiers sont très hauts et cela va à l’encontre de l’économie réelle. Quand l’écart est aussi grand, une correction aura lieu tôt ou tard. » Le bilan de la BCE dépasse désormais les 7.000 milliards d’euros, soit 70 % du PIB de la zone euro. La dette américaine (19.539 milliards de dollars, fin 2016) s’est creusée à 27.810 milliards de dollars, le 20 janvier 2021, soit une hausse gigantesque de 8.271 milliards en quatre ans avec Trump !

    Le système se dirige, à terme, vers l’inflation galopante ou la stagflation. L’or connaît une forte baisse actuellement en euros, suite à la hausse du dollar et à la hausse des taux aux États-Unis, mais le métal jaune attend son heure : que les taux d’intérêt réels deviennent franchement négatifs avec l’inflation de plus en plus forte. Alors que l’or cote péniblement 1.700 dollars l’once, un directeur de Goehring & Rozencwajg attend stoïquement l’inflation et le prochain cygne noir (la hausse des prix agricoles mondiaux, par exemple ?), en prédisant l’or, en fin de cycle haussier, à 15.000 dollars l’once !

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise
     
  • Selon le président de l’Algérie, la France compterait plus de 6 millions d’Algériens, soit près de 10% de notre population

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2021


    […]

    La France accueille la communauté algérienne la plus nombreuse à l’étranger. Le président Abdemadjid Tebboune a évoqué en juillet 2020 le chiffre de « plus de six millions d’Algériens » vivant en France.


    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • La France bat son triste record de déficit commercial en 2020…

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    « Les chiffres de déficit commercial de la France sont tombés, et ils ne sont guère flatteurs pour notre pays : en 2020, le déficit commercial récurrent de la France s’est encore creusé, à près de 84 milliards, record battu après les 70 milliards de l’année 2019… Nos exportations reculent encore, nos importations se maintiennent, tous les indicateurs sont dans le rouge.

    Ce chiffre traduit à lui seul la décadence totale de notre compétitivité, la disparition accélérée de nos industries. La faute à l’euro ? La faute à la crise sanitaire ? Ces deux facteurs participent sans doute à ce fiasco. Mais ils sont loin d’être les seuls.
    Pour preuve, l’Allemagne continue, elle, d’afficher un excédent de 183 milliards, certes en baisse, mais toujours plantureux. Ses exportations représentent près du triple des nôtres, on ne peut désormais plus se comparer à une Allemagne qui nous a complètement distancés en termes d’industrie.

    Et que dire d’une Italie surendettée que l’on annonce moribonde mais qui affiche un excédent de 64 milliards d’euros, en progression par rapport à l’année précédente ? Si la péninsule est plombée par sa dette, gère mal ses finances publiques, elle est parvenue malgré tout à conserver un tissu industriel compétitif, et ce, malgré un euro qui la pénalise autant que nous.

    L’Espagne est en déficit, certes, mais de 15 milliards – son problème n’est pas du même ordre. Un pays doit attirer notre attention : les Pays-Bas enregistrent un nouvel excédent, 65 milliards, soit l’équivalent de l’Italie avec trois fois moins d’habitants. Ses exportations sont largement supérieures aux nôtres : les Pays-Bas sont un dragon commercial agricole et industriel au cœur de la zone euro, preuve que cela est possible.

    La France paie, à travers ce déficit commercial, quarante ans d’erreurs stratégiques majeures : pays socialiste, qui distribue allègrement aides sociales et postes de fonctionnaires en veux-tu en voilà et n’hésite pas à creuser les déficits et la dette pour cela, elle plombe sa compétitivité à cause des impôts et charges que cela occasionne. Mais l’argent distribué aux ménages est aussitôt consommé en produits étrangers, et repart aussi sec dans les caisses de nos concurrents : nos impôts coulent nos entreprises, ils servent aussi à financer les industries allemandes, chinoises, japonaises, hollandaises ou italiennes… La démagogie socialiste de nos gouvernements successifs nous coûte, cette année, 84 milliards d’euros : si nous avions gardé le franc, nous subirions une terrible dévaluation, et une inflation à deux chiffres qui ruinerait la population. L’euro nous évite cela, grâce aux excédents allemands, italiens ou hollandais, mais il nous empêche de mesurer l’ampleur de notre déclin, de réagir à la situation. Laxisme, démagogie, socialisme peuvent ainsi continuer à détruire notre moteur productif, personne ne s’en rend compte tant que l’euro se maintient et que l’on peut s’endetter pour soutenir le train de vie des Français.

    Il serait temps de réagir, avant qu’il ne soit trop tard, et que nous ne devenions définitivement le mezzogiorno d’une Allemagne qui ne sera guère généreuse dans le futur… »

    Source BVoltaire

  • Les demandes d’étudiants étrangers souhaitant venir en France sont en hausse de 10 % par rapport à l’an dernier. Les pays d’Afrique francophone représentant 60 % des dossiers de candidatures.

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2021

    Ce sont les tout derniers chiffres du ministère des Affaires étrangères. Selon nos informations, au 15 février, 119.000 dossiers de candidatures d’étudiants étrangers ont été transmis aux services culturels des ambassades, soit 10 % de plus que l’an dernier à la même date. « Cette augmentation s’explique principalement par les candidatures d’étudiants de pays d’Afrique francophone », selon le ministère, puisque 60 % des dossiers proviennent d’Afrique subsaharienne. La nouvelle attestation de déplacement international permet aux étudiants non-européens en provenance de pays tiers munis d’un visa de long séjour pour études de venir en France….

    Les Échos via fdesouche