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france - Page 57

  • Les détenus étrangers, qui représentent 25% de la population carcérale en France, coûtent environ 700 millions d’euros chaque année au système pénitencier : une note de plus en plus salée

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2022

    Détenus étrangers dans les prisons françaises: une note de plus en plus salée

    Ils viennent d’Afrique pour plus de la moitié, et les dispositifs de rapatriement ne sont presque jamais activés.

    Ils étaient 17.198 au 1er octobre 2021. C’est le dernier décompte que l’administration pénitentiaire a effectué des détenus étrangers qui occupent les prisons françaises, qu’ils soient prévenus ou condamnés. Sur une population pénale qui à cette date, s’élevait à 69.173 individus, leur proportion s’élève donc à 25 %. À titre de comparaison, ce chiffre était de 17,2 % dix ans auparavant, en 2011.

    Dans le détail, 9793 sont originaires du continent africain, soit 56 % d’entre eux, dont 3472 en provenance d’Algérie, 2220 du Maroc, 1117 de Tunisie et 2984 du reste des pays d’Afrique. On compte aussi 5109 détenus européens. Un peu plus de la moitié, soit 2983, sont ressortissants de l’Union européenne. Dans les prisons françaises sont également incarcérés 880 détenus en provenance d’Asie et 1308 d’Amérique, majoritairement du Sud.

    www.lefigaro.fr


    Au dernier décompte, le 1er octobre 2021, la France comptait 17.198 détenus étrangers dans ses prisons, soit 25% de la population carcérale totale (contre 17,2% en 2011). Un chiffre en constante hausse et qui pèse sur les finances du système pénitencier. Comme le rapporte Le Figaro, alors qu’un détenu coûte 110 euros par jour (repas, eau, chauffage, frais de personnel), le coût total des prisonniers étrangers avoisine les 700 millions d’euros par an.

    (…) Capital.fr

  • De quoi meurt la France

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2022

    On a beaucoup parlé du long procès des attentats du 13 novembre 2015, qui ont fait 130 victimes, dont nombre sont mortes après avoir subi des actes de torture atroces au sein du Bataclan.

    Ce procès, qui n’est pas encore achevé, a été et reste consternant, et symptomatique de l’état de déchéance de la France (mais ce n’est, hélas, pas mieux dans les autres pays occidentaux).

    Salah Abdeslam n’a pas osé actionner sa ceinture d’explosifs ?

    Le moins qu’on puisse dire est qu’il ne mérite pas d’être vivant et qu’il puisse proférer des insanités dans une salle de tribunal est une honte.

    Il s’est exclu lui-même de l’humanité en participant à un meurtre de masse.

    Il devrait être depuis longtemps six pieds sous terre et qu’il puisse parler est une insulte à ses victimes.

    Une époque a existé où, dans le monde occidental, on éliminait ce genre de personnage. Cette époque est, à l’évidence, révolue.

    Les membres des familles des victimes et les survivants du Bataclan qui ont été invités à témoigner ont presque tous tenu des discours lénifiants montrant leur degré de soumission mentale à ce qui devrait être considéré comme l’ennemi, et leur indigence éthique face à ce qui leur a été infligé.

    Presque tous auraient pu reprendre à leur compte la phrase écrite par le dhimmi débile et politiquement correct qui a écrit un livre portant ce titre : « Vous n’aurez pas ma haine ».

    Son épouse a été assassinée, mais, pour lui, c’est sans doute le destin qui a frappé, et il ne faut pas haïr les assassins.

    Un seul témoin a trouvé les mots justes, Patrick Jardin, inconsolable depuis la mort de sa fille au Bataclan, et oui, lui seul, a fait preuve de courage et de détermination.

    Il a été décrit par les grands médias comme très « excessif », bien sûr.

    Des islamologues sont venus exposer les motivations des assassins, plusieurs d’entre eux se sont efforcés d’exonérer l’islam.

    Quand les verdicts seront prononcés, les condamnations seront sans nul doute bien trop faibles au regard des crimes commis, et seront une incitation pour ceux qui sont imprégnés de l’esprit de djihad.

    Être faible face aux fanatiques djihadistes est les inciter à frapper davantage.

    Il n’y a pas eu d’attentat majeur en France depuis plusieurs années. Cela ne signifie pas du tout qu’il n’y en aura pas.

    Les fanatiques djihadistes prennent les actes et les propos indigents tenus dans le monde occidental pour un encouragement, et comme un signe que la soumission avance – et, c’est un fait, la soumission avance.

    Un autre procès s’est ouvert ces derniers jours, bien moins médiatisé celui-là, il concerne l’assassinat du père Jacques Hamel dans l’église de Saint-Étienne du Rouvray, pendant qu’il disait la messe.

    Les deux assassins sont morts, et c’est très bien ainsi.

    Le djihadiste qui les a incités à passer à l’acte, un certain Rachid Kacim, né en France, membre de l’État islamique, qui n’était pas encore détruit à l’époque, est mort lui aussi, ce qui est très bien, là encore : il a été tué en Irak lors d’un bombardement ciblé.

    Il reste trois complices sans lesquels l’assassinat n’aurait pu être perpétré.

    On ne peut savoir à quelles peines ils seront condamnés, mais ce qu’on sait est la position de la famille de Jacques Hamel : sa sœur, Roseline, a tenu à témoigner.

    Elle a sans doute lu le livre que je citais plus haut, car elle a terminé ses propos en disant : « Vous n’aurez pas ma haine », encore ! Décidément.

    Elle a ajouté qu’elle souhaitait que des crimes aussi ignobles ne se reproduisent plus.

    Elle a pourtant, sans le comprendre, contribué à ce que des crimes aussi ignobles se reproduisent.

    Même si, parce qu’elle est très chrétienne, elle ne veut pas prononcer des mots de haine, elle aurait pu au moins dénoncer le mal. Elle ne l’a pas fait.

    Le christianisme enseigne pourtant la différence entre le bien et le mal !

    La nièce de Jacques Hamel a témoigné aussi.

    Le maire de la ville est venu expliquer qu’à côté de l’église où l’assassinat a eu lieu, une mosquée a été construite, sur un terrain donné par des catholiques, en signe de fraternité.

    J’appelle cela un signe d’apaisement suicidaire.

    C’est en raison de gestes comme celui-là et de propos comme ceux de Roseline Hamel que la France et nombre de pays occidentaux sont tout au bord de l’agonie.

     

    Source : les4verites

  • Les charmes de la vie quotidienne dans la France d’aujourd’hui…

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2022

    En fait de charme, j’utiliserai un mot célèbre de la langue française que le président de la république lui-même a récemment prononcé et ce sera le vrai titre de cette chronique : les « emmerdements » de la vie quotidienne dans la France d’aujourd’hui.

    On sonne. C’est le facteur. Deux lettres. L’une, de la banque, fixe le montant des agios que vous devez lui verser car votre compte est à découvert depuis pas mal de temps. C’est le « pouvoir d’achat » dans un pays où 38 millions d’habitants survivent avec moins de 2000 euros par an.

    Une deuxième lettre vous apprend que l’appartement de « rapport » où vous avez placé naguère vos économies vous coûte plus qu’il ne vous rapporte, compte tenu des charges, des travaux et des impôts. Et voici que vous apprenez en plus que ce bien immobilier insuffisamment déclaré pourrait vous valoir un redressement fiscal !

    Tout cela n’est guère de nature à vous mettre en appétit. Cependant, vous vous rendez au restaurant. « Votre passe sanitaire, SVP.  – Je ne l’ai pas sur moi. – Alors, Monsieur, vous ne pouvez pas entrer. » Autrement dit, le déjeuner est vite pris. Au moins ne vous aura-t-il pas coûté cher !

    Vous mettez à profit le temps ainsi gagné pour vous rendre à la fourrière. Votre voiture mal garée ne vous sera, en effet, rendue que contre paiement d’une rançon !

    Vous rentrez chez vous mais vous avez égaré le bip d’entrée. Vous devez attendre que la concierge, de retour, veuille bien vous ouvrir la porte qui vous permettra d’accéder à la porte d’entrée de votre appartement. Sinon, vous serez condamné à coucher sur le paillasson du couloir !

    Vous traversez un quartier un peu excentré, que vous ne connaissez pas. Vous êtes abordé trois fois par des dealers de drogue, tous d’origine africaine. Un ami qui habite dans la banlieue est de Paris, presque entièrement peuplée de migrants, ne sort plus de chez lui qu’avec un gilet pare-balles et pare-couteaux !

    Les trottoirs étant transformés en vélodromes et pistes pour trottinette, faites attention à ne pas recevoir une trottinette montée par deux gamins roulant à toute vitesse. Sinon, c’est l’hôpital !

    Si vous voulez bien dormir, évitez de lire le dernier ouvrage de Mme Verdier-Molinier qui démontre de façon irréfutable que, parmi les pays développés, la France est le plus mal gouverné : fiscalité écrasante, surendettement, insécurité, invasion migratoire.

    Il est 18 heures. On sonne. C’est la police. « Monsieur, vous êtes accusé par votre voisine de palier de l’avoir violée au printemps 1999. – C’est impossible. À ce moment-là, je résidais en Afrique du Sud. – Pas d’histoire, Monsieur. Vous êtes placé en garde à vue, suivez-nous. »

    Douce France, tendre pays de mon enfance … C’était il y a très longtemps…

     

    Source : les4verites

  • La compétitivité de la France se dégrade de nouveau en 2021

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2022

    Les indicateurs de la compétitivité de la France à l’exportation, déjà en recul en 2020, se dégradent encore en 2021. La France semble renouer avec deux caractéristiques du recul de sa compétitivité au cours des années 2000. D’une part, les pertes de parts de marché à l’exportation vont de pair avec le recul relatif de l’industrie. D’autre part, le recul des parts de marché concerne quasiment toutes les catégories de produits manufacturés.

    – Le déficit commercial a atteint un niveau record de 85 milliards d’euros en 2021 […]

    – Le déficit de l’ensemble des échanges de biens et services, s’est creusé de plus d’un point de PIB depuis 2019 (solde le plus complet estimé dans la comptabilité nationale).

    – La part des exportations françaises dans celles de la zone euro est à son niveau le plus bas depuis 2000. La part française des exportations de biens et services est passée de 14,5% en 2019 à 13,7% en 2020 et 13,6% en 2021, soit un recul de 1,9 point depuis 2019 […]

    La part de la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière française dans celle de la zone euro diminue de 14,7% en 2019 à 13,9% en 2021. […]

    Rexecode via fdesouche

  • La France souffre de la perte par ses élites du sens du réel et de leur devoir vis-à-vis de la collectivité

    Publié par Guy Jovelin le 16 février 2022

    La France souffre de la perte par ses élites du sens du réel et de leur devoir vis-à-vis de la collectivitéLa France souffre de la perte par ses élites du sens du réel et de leur devoir vis-à-vis de la collectivité

    Le Prince Louis de Bourbon a été interrogé par La Fugue. Extraits :

    Incarnez-vous, au-delà de l’héritage culturel et historique, un véritable modèle politique? Vous qualifieriez-vous “d’homme politique” ? 

    Comme héritier de La royauté française, nul ne doute que j’incarne un modèle politique. C’est pour cela que jusqu’aux années 1950, la république imposait l’exil aux chefs de Maison. Il y avait un rejet idéologique de ce modèle.

    Ainsi en assumant, comme mes prédécesseurs, cette place de successeur légitime je suis un « homme politique »… Mais encore faut-il s’entendre sur le terme homme politique. En royauté l’homme politique est celui qui est au service de son pays, qui l’incarne dans la durée.  Le roi, parce qu’il était sacré, n’exerçait pas seulement une fonction de gestion des hommes et des choses, mais d’abord un service dû à ceux qu’il dirigeait. Cet aspect religieux était très important puisqu’il garantissait les dérives notamment celles menant à la tyrannie qui est l’exercice du pouvoir pour les seules fins de celui qui l’exerce.

    Qu’est-ce qui vous distingue des autres hommes politiques ?

    Ma liberté. Je ne dépends de personne ni d’aucun groupe. C’est l’hérédité qui m’a désigné c’est-à-dire quelque chose qui échappe totalement au commerce des hommes et aux combinaisons politiciennes. C’est la Providence qui fait qu’on est roi ou chef de Maison. Cela donne une légitimité qu’aucun autre pouvoir ne peut avoir. C’est cela la souveraineté.

    […]

    Quelle définition donneriez-vous de l’homme providentiel ?

    Celui qui arrive au bon moment… Mais je crois plus en la Providence qu’en l’homme providentiel.

    La dimension providentielle peut-elle provenir d’un engouement populaire ou est-elle nécessairement fondée sur l’autorité divine ?

    Comme le dit Saint-Paul, il n’y a pas de pouvoir qui ne vienne de Dieu.

    Peut-on dire que les rois, en tant que personnes sacrées et tenant leur autorité de droit divin, sont, par essence, des “hommes providentiels” ?

    Ne l’ont-ils pas tous été ?

    Dernièrement vous écriviez, évoquant la proximité des élections présidentielles : “N’est-ce pas le moment de placer la barre plus haut ? Qu’est-ce qui sera le bon et le bien pour la France et les Français de demain ? sur le long terme. Voir juste et voir loin”. Voyez-vous en la monarchie le seul régime capable de proposer une telle solution ?

    Montrez-m’en d’autres ?

    Mais que l’on s’entende bien, je parle plus volontiers de royauté « à la française » c’est-à-dire fortement ancrée sur son territoire (le pré-carré) et le service des hommes, mais couronnée par Dieu par le sacre, que de monarchie, régime d’un seul qui peut être exercé à des fins personnelles…

    Quelles réponses la monarchie pourrait-elle apporter aux crises multiples qui fracturent notre société ? crise sociale, économique, politique, écologique, religieuse, etc.

    Avant les réponses, au pluriel et selon les conjonctures du moment, il y aurait surtout un changement d’optique. Remettre la société à l’endroit en recréant une société finalisée. Les fractures de notre société viennent de causes profondes qui sont nées d’un abandon des fondamentaux qui garantissent la vie sociale au profit de fausses idéologies délétères. Ce qui fait du mal à la société c’est l’individualisme et le relativisme. Il n’y a plus ni bien, ni vrai, ni juste. La confusion règne partout et la notion de bien commun a cédé la place à la primauté donnée aux intérêts individuels ou communautaristes.

    Selon vous, de quel mal souffre le plus la France de nos jours ? 

    Que ses élites aient perdu le sens du réel et de leur devoir vis-à-vis de la collectivité.

    Pour se relever, la France a-t-elle besoin d’un homme providentiel ?

    Chaque Français peut contribuer à être l’homme providentiel dès lors qu’il assume ses devoirs d’état, vis-à-vis de sa famille et de son pays. Il y a une conversion de tous qui est nécessaire. Aide- toi et le Ciel t’aidera. N’inversons pas les rôles.

    Le risque lié à l’attente de l’homme providentiel, n’est-il pas de tomber dans un attentisme stérile ?

    Ni Saint Louis, ni Henri IV n’ont attendu l’homme providentiel. Ils ont mis leur énergie au service de leur royaume.

    Que diriez-vous aux jeunes qui veulent s’engager pour le bien commun aujourd’hui ? 

    N’ayez pas peur ! Allez-y.

     

    Source : lesalonbeige