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france - Page 52

  • La Corse, c'est la France. La France, c'est la Corse.

    Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2022

    La Corse, c'est la France.
    La France, c'est la Corse.
    Lorsque l'État français sera respectable, il sera respecté !

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  • Guerre en Ukraine : en France, les sirènes d’alerte tombent en ruine

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2022

    La préfecture de police et de la zone de défense et de sécurité de Paris, de la capitale à la petite couronne, a poussé un ouf de soulagement. Lors du dernier test qui s’est déroulé le mercredi 2 mars, seulement deux sirènes d’alerte, officiellement, n’ont pas fonctionné. C’est l’information qui est remontée au cabinet du préfet. En fait, les alarmes qui retentissent le premier mercredi du mois sont à bout de souffle par manque de personnel et en raison d’un budget étriqué. Sur les 372 sirènes que comptait la zone de défense de Paris, dirigée par la préfète Marie-Emmanuelle Assidon, il en reste aujourd’hui 237 en état de fonctionnement.

    Si la Direction de l’innovation, de la logistique et des technologies (Dilt), qui a succédé, en 2020, à la Direction opérationnelle des services techniques et logistiques (Dostl), qui gère le système d’alerte et d’information des populations (Saip), peut constater que les sirènes reçoivent bien le signal de déclenchement, elle n’est pas en mesure de savoir si la sirène a émis un quelconque son.

    Selon nos informations, des maires de la banlieue parisienne ont bien fait remonter au préfet Didier Lallement les dysfonctionnements de leurs sirènes. Et ils étaient plus que deux, notamment dans le Val-de-Marne et en Seine-Saint-Denis. Tout le monde sait désormais, à la préfecture de police (PP), qu’il existe une distorsion entre les informations techniques de la Dilt et la réalité du terrain.  […]

    Face à la vétusté du parc des sirènes, le ministère de l’Intérieur déploiera à partir du mois de juin un nouveau système baptisé FR-Alerte : des alertes sectorisées et des SMS géolocalisés préviendront d’un danger éventuel et donneront les premières consignes de mise à l’abri.

    Le Sénat, auteur d’un rapport critique sur le Saip en 2017, avait mis en garde les gouvernements sur le niveau des budgets consacrés à la maintenance d’un système de plus en plus obsolète. Grâce à l’Europe qui a imposé un système d’alerte géolocalisé, la Chambre haute a fini par être entendue, après une centaine de millions d’euros engloutis dans un système à bout de souffle.

    Le Point via fdesouche

  • Livre Noir décrypte les mensonges de la propagande ukrainienne reprise sans vérification en France

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2022

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    Livre Noir cite notamment Davis Betz :

    Je pense que [l’Ukraine] est en train de gagner l’opinion internationale, mais c’est en grande partie parce que tous les médias et gouvernements occidentaux amplifient et répètent leur récit, malgré le fait que [la propagande de l’Ukraine] est fausse et vérifiable pour quiconque a le courage de faire des recherches de base [source]

     

    Source : lesalonbeige

     

  • Alain Chouet (ex-DGSE) : «Il existe sur le territoire français 1514 quartiers de non-droit interdits d’accès aux forces de sécurité, aux services des secours…», soit 4 millions d’habitants

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2022

    Ancien chef du service de renseignement de sécurité de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Alain Chouet vient de publier « Sept pas vers l’enfer », ouvrage dans lequel il dépeint une société française profondément malade du séparatisme et de la violence fondamentaliste. « Quarante années d’aveuglement, d’ignorance, de lâcheté et de “bien-pensance“ ont progressivement conduit la France aux limites de la rupture du pacte républicain », écrit-il.

    La France compterait 1514 quartiers de non-droit, interdits d’accès aux forces de sécurité, aux services des secours, aux services médicaux et sociaux. 1514 quartiers établis sur 859 communes, et regroupant 4 millions d’habitants, soit 6% de la population de l’Hexagone.

    A la question posée par le site musulman Oumma sur la ghettoïsation, ce spécialiste des problèmes de sécurité et de terrorisme répond que, selon, lui la ghettoïsation aurait été autant choisie que subie. Tous les lecteurs ne seront pas forcément d’accord avec l’ancien espion. 

    Dans votre livre, vous parlez d’un séparatisme en France. Comment se traduit-il précisément ? Ne faut-il pas plutôt parler d’une ghettoïsation subie, avec une absence totale de mixité sociale, dans des quartiers parfois laissés à l’abandon ? 

    […] La « ghettoïsation », souvent invoquée pour expliquer cette séparation, est d’abord un argument victimaire pour justifier le séparatisme et les violences qu’il engendre. Cette ghettoïsation a été autant choisie que subie. Toutes les vagues migratoires que la France a connues au cours du siècle écoulé se sont d’abord regroupées par affinité et pour des raisons conjoncturelles dans des zones géographiques données, et cela n’a pas donné lieu à des phénomènes de dissidence violente localisés. Elles se sont ensuite diluées sur l’ensemble du territoire, à mesure que l’assimilation des deuxièmes et troisièmes générations se faisait.

     

    Cette dilution ne s’est pas faite pour l’immigration maghrébine, arrivée massivement et brutalement dans les années 70 dans un pays dont le ralentissement économique ne permettait pas de les intégrer par le positionnement social que fournit un travail, ni de leur assurer un niveau de vie minimal sans recours à des transferts sociaux massifs qu’ils ont vite perçus comme une rente qu’il convenait, pour certains d’entre eux, de compléter par des activités délinquantes rémunératrices qu’il fallait protéger par un isolement du reste de la collectivité nationale.

    D’où la constitution de ces fameux « ghettos » que les différents pouvoirs ont tenté de réduire par une politique de construction de logements sociaux et par un déversement incontrôlé et massif d’aides et de subventions dans le cadre des « politiques de la ville ». Ces aides ont été perçues comme un complément des rentes de l’assistanat social et n’ont jamais contribué à l’intégration des supposés bénéficiaires. De même, les politiques de construction de logement sociaux se sont traduites en l’apparition de nouveaux ghettos, les résidents d’origine du quartier fuyant l’arrivée des nouveaux bénéficiaires aux comportements et aux pratiques souvent « dissidents ». […]

    Vous parlez de la découverte, dans la périphérie d’une grande ville, d’armes de guerre, de fusils d’assaut, de lance-roquettes, et de la décision des autorités de ne rien faire, car une opération risquerait de « mettre le feu » à un quartier sensible et contribuerait à « stigmatiser » ses habitants. Vous ne dites pas de quand date cette information. Pensez-vous qu’aujourd’hui encore les autorités décideraient de ne rien faire?

    J’ai daté cette notation de la fin des années 90. Ce n’est pas très précis, mais cela donne une indication. C’était donc il y a un peu plus de vingt ans. Les choses ont évidemment changé depuis et la multiplication des attentats terroristes, à partir de 2001, dans le monde entier et plus particulièrement depuis 2015, en France, a évidemment changé la donne. Aucun responsable administratif ou politique ne pourrait aujourd’hui adopter une attitude réservée ou dilatoire par rapport à de tels faits. […]

    oumma via fdesouche

  • La France songe à accorder des visas et des titres de séjour aux étudiants africains vivant en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2022

    Le Conseil présidentiel pour l’Afrique, créé par Emmanuel Macron, tente de mobiliser les universités et les pouvoirs publics français pour la poursuite de leurs études

    L’Opinion via fdesouche