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france - Page 48

  • Ce jeudi 29 septembre, la France subit une nouvelle grève aux revendications floues, sorte de rituel plus ou moins fréquent dans notre société marxisée.

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Thomas Joly Président du Parti de la France

    Ce jeudi 29 septembre, la France subit une nouvelle grève aux revendications floues, sorte de rituel plus ou moins fréquent dans notre société marxisée.
    Outre le fait que cela donne une image déplorable de notre pays désormais célèbre dans le monde entier pour ses paralysies sociales à répétition, l'ensemble des syndicats et partis politiques à l'origine de cette « journée d'action » (lol !) ont tous appelé le 24 avril dernier à voter pour celui contre lequel ils manifestent aujourd'hui.
    Il y en a assez que la France et les Français soient régulièrement pris en otages par un ramassis de communistes schizophrènes qui ne représentent bien souvent qu'eux-mêmes.
    Le Parti de la France est favorable à un encadrement beaucoup plus strict du droit de grève, en particulier dans le service public.
    Peut être une image de 9 personnes, personnes debout et plein air
     
     
     
     
     
  • “La France est à l’euro près”, prévient le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avant d’annoncer que le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile et leur allouer 2 milliards d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    “La France est à l’euro près”, a affirmé ce lundi le ministre de l’Economie Bruno le Maire en présentant le projet de budget pour 2023 devant les journalistes.

    “Je veux tracer une ligne rouge”, a-t-il prévenu : “Aucune nouvelle dépense” ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n’est pas “financée à l’euro près”, a mis en garde le ministre.

    Morandini

     


    5.900 places d’hébergement pour réfugiés et demandeurs d’asile

    Le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile dans différents centres d’accueil et d’hébergement d’urgence, selon le projet de budget 2023 dévoilé lundi et qui prévoit une hausse de 6 % de l’enveloppe « immigration, asile et intégration ».

    Les crédits de cette mission progressent de 113 millions d’euros par rapport à 2022 pour atteindre 2,01 milliards d’euros et doivent notamment permettre l’ouverture de 2.500 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile, selon les documents budgétaires de Bercy. En 2022, 900 places d’hébergement supplémentaires avaient été créées.

    (…) 20minutes.fr

  • France : le nombre d’expulsions vers l’Algérie en 2021 est de 34 (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2022

    23/09/2022

    Si la personne n’est pas libérée, l’administration a 90 jours pour réaliser le renvoi de la personne étrangère. Elle doit d’abord prouver sa nationalité. Pour cela, elle joint la représentation consulaire du supposé pays d’origine, qui contacte ensuite l’autorité centrale de son pays, qui va consulter son état civil, si celui-ci existe, et reconnaître ou pas l’individu. Si c’est le cas, le pays est censé délivrer un « laisser passer consulaire » signifiant qu’il accepte de reprendre son ressortissant.

    L’enjeu des laissez-passer consulaires

    Mais de nombreux pays n’en voient pas l’intérêt, l’argent envoyé par la diaspora soutenant considérablement l’économie locale. D’après le rapport Buffet, en 2021, seuls 53 % des laissez-passer consulaires sont délivrés dans un délai utile à l’expulsion. Pour convaincre les États réticents de coopérer, la France a tenté de lier délivrance des laissez-passer et aide au développement, voire, pour l’Algérie, délivrance de visas. Une politique risquée. En 2021, l’Algérie, qui avait autorisé 1 652 retours en 2019, n’a délivré en 2021 que… 34 laissez-passer.

    Par ailleurs, certains pays n’acceptent le retour de leurs ressortissants que s’ils font un test Covid, ce que beaucoup refusent. Enfin, ultime embûche, encore faut-il trouver une place disponible dans un avion, que la personne accepte d’y monter, ou, qu’à défaut, si elle est entravée, les passagers ou le pilote, ne s’en offusquent pas.

    La Croix

    Une baisse notamment liée aux mesures sanitaires mises en place aux frontière des pays d’origine, avec notamment la présentation d’un pass vaccinal ou d’un test négatif faute de vaccin. Pour l’Algérie par exemple, le nombre d’éloignements est ainsi passé de 1 652 éloignements en 2019 à 34 l’an dernier. 

    Franceinfo


    28/09/2021

    De juillet à janvier 2021, 7731 OQTF vers l’Algérie ont été prononcées, selon une source proche de l’exécutif. 22 expulsions ont effectivement eu lieu, ce qui représente 0,2% des OQTF.

    Vers le Maroc, 3301 OQTF ont été délivrées dans le même laps de temps et 80 expulsions ont eu lieu (2,4%). Le taux d’expulsion vers la Tunisie est un peu plus élevé : sur les 9424 OQTF prononcées, 131 expulsions ont effectivement eu lieu (4%).

    Europe1

  • Vers un « modèle Amish ». Plan de rationnement d’énergie en Italie. En France bientôt ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Auteur : 

    « Oui, la France va prendre le tournant de la 5G parce que c’est le tournant de l’innovation. (…) J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile ! Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine » et « Je suis pour une société écologique mais pas Amish » ironisait Emmanuel Macron lors de son premier quinquennat.

    Une ironie à l’effet boomerang aujourd’hui : la stratégie des énergies renouvelables et anti-nucléaire de l’Union Européenne, de l’Allemagne, de la France, de l’Italie, sous la pression des khmers verts, couplée avec leurs sanctions contre la Russie, pourraient obliger bien des Européens, du moins ceux qui veillent, à sortir les lampes à huile de grand-mère des greniers. Les nations européennes se dirigent vers un hiver froid et des coupures massives d’électricité.

    L’Italie donne le « la » de ces futurs rationnements en instaurant un programme énergétique sur le chauffage qui préconise des règles d’économies quotidiennes et des sacrifices sous l’égide du ministre de la Transition écologique italien. Le Plan prévoit l’introduction de limites de température dans les pièces, d’heures d’allumage quotidiennes et de durée de la période de chauffage : 1°C de moins pour le chauffage des habitations et des bâtiments tertiaires, 19°C pour l’ensemble des bâtiments, et 17°C pour les bâtiments à usage industriel, artisanal et assimilé, avec 2°C de tolérance pour les deux ; 15 jours de chauffage en moins en un an (c’est-à-dire que la date de début est reportée de 8 jours et la date de fin avancée de 7 jours), et 1 heure de radiateurs allumés en moins par jour, selon les différentes zones climatiques de l’Italie. Il a été décidé aussi qu’en cas d’urgence la baisse pourrait être de deux degrés au lieu d’un et, par conséquent, les températures maximales seraient fixées à 18 degrés en hiver.

    La division en zones climatiques de la péninsule n’est pas d’aujourd’hui, cette pratique prend clairement en compte la diversité climatique de la botte, du Nord au Sud. En revanche, ces 3 mesures évoquées sont nouvelles, et lancées pour faire face à la flambée des prix de l’énergie et à la pénurie de gaz et pétrole venant de Russie.

    La péninsule s’attend donc à un hiver de rationnement et de contraintes énergétique pour le chauffage des bureaux publics et des maisons privées, avec comme conséquence première de lourdes amendes pour ceux qui augmentent trop la température du thermostat. Ces nouvelles règles ne pourront être efficaces qu’accompagner d’un système de contrôle garantissant leur respect. Et que compte faire le ministère pour s’assurer que les limites de température et de temps fixées pour le chauffage dans les bâtiments ne soient pas contournées ? Selon ce qui est ressorti, ce sera la police locale qui se chargera des contrôles – au hasard – qui concerneront les bureaux de l’administration publique, les écoles et les domiciles privés (notamment ceux disposant du chauffage central). Dans le cas des copropriétés, ce sera l’administrateur qui devra s’assurer que les nouveaux horaires de rationnement énergétique et la température fixée pour le chauffage des appartements individuels sont conformes aux directives gouvernementales mises à jour. Mais attention, les administrateurs devront se charger de réguler la température, mais la responsabilité incombe également à l’individu en cas de non-respect des règles. Aucun protocole n’a encore été défini ni aucune circulaire définissant le concours de culpabilité, mais dans ces cas, il a déjà été indiqué que dans les copropriétés, il existe un risque d’amende pouvant aller jusqu’à 3 000 si des irrégularités sont constatées.

    Après les restrictions et les contraintes covidiennes, voici venu le temps des rationnements et des contraintes énergétiques. Et comme au temps de la pseudo-pandémie, l’Italie ouvre la voie des mesures de contrôle pour l’hiver que la France imitera, les mêmes cabinets de conseil payés des ponts d’or vendant la même feuille de route aux diverses nations européennes…

    Nul doute : selon le plan de la Grande Réinitialisation de Davos, crise du covid et crise de l’énergie font basculer le Vieux Continent dans une société de surveillance et de contrôle, avec un résultat premier, l’appauvrissement des Européens… Le retour au « modèle Hamish » moqué par Macron pourrait bien être le système que ce même Macron nous prépare, en collaboration avec l’UE, conséquence des rationnements et contraintes énergétiques qu’ils évoquent sans honte.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • 400 000 étudiants étrangers en France : augmentation de 8 % au cours de l’année 2021-2022, six pays africains se retrouvent dans le top 10

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2022

    A la veille de la rentrée universitaire, la France affiche une augmentation record du nombre d’étudiants internationaux. Six pays africains se retrouvent dans le top 10. Après une année universitaire 2020-2021 de relative stagnation, marquée par la crise pandémique, le nombre d’étudiants étrangers en France a augmenté de 8 % au cours de l’année 2021-2022, selon Campus France. C’est « la croissance interannuelle la plus forte depuis 2005 », indique le communiqué publié par l’agence chargée de l’accueil des étudiants étrangers, qui précise qu’« en incluant les apprentis du supérieur, le seuil des 400 000 étudiants étrangers en France vient tout juste d’être franchi (400 026) ». Les projections de Campus France sur les cinq prochaines années laissent présager que la mobilité des étudiants africains augmentera davantage.

    Ce rebond semble se confirmer cette année. D’après Campus France, qui s’appuie sur des chiffres fournis par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et la sous-direction des systèmes d’information et des études statistiques, « fin 2022, plus de 140 000 étudiants issus de 70 pays dans le monde entier avaient déposé une candidature via [la plateforme] Etudes en France. Un nombre record, en hausse de 18 % par rapport à la situation pré-Covid ».

    La progression la plus importante concerne les zones Amériques (avec 15 % d’étudiants supplémentaires) et Europe (+ 13 %). L’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, en tête pour ce qui est du nombre d’élèves accueillis, connaît une hausse de 10 % des mobilités. Et pas moins de six pays africains figurent dans le top 10 des pays d’origine des étudiants étrangers inscrits dans l’enseignement supérieur français en 2021-2022 : le Maroc, l’Algérie, le Sénégal, la Tunisie, la Côte d’Ivoire et le Cameroun.

    En ce qui concerne les filières choisies, les étudiants subsahariens sont près d’un tiers à être inscrits dans des formations en sciences. Les Mauritaniens (pour 50 % d’entre eux) et les Ethiopiens dominent dans ce cursus. « 25 % des étudiants subsahariens suivent des formations en lettres, langues et sciences humaines et sociales, contre 30 % pour l’ensemble des étudiants étrangers. A l’inverse, ils sont surreprésentés dans les cursus en droit et science politique (16 %) et en économie et administration économique et sociale (22 %), en particulier avec les Malgaches (31 %) et les Centrafricains (30 %) », détaille Judith Azema, chargée de communication de Campus France.

     « En cinq ans, la plus forte hausse concerne les étudiants venus d’Afrique subsaharienne (+ 41 %), estime le rapport ‘Chiffres clés’, qui sera publié dans les prochains jours. Les étudiants de cette zone représentaient un étudiant étranger sur cinq en 2015, ils en représentent un sur quatre en 2020. » « Ce qui évoque plutôt une évolution positive dans le parcours des candidats, note Judith Azema. Pour ce qui concerne la mobilité étudiante, les chiffres indiquent que l’attractivité de la France augmente constamment et fortement sur une période significative. »

    Le Monde via fdesouche