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france - Page 45

  • 620 SDF (essentiellement masculins) sont morts en France en 2021, avec un âge moyen de 48 ans

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2022

    L’âge moyen des personnes sans domicile fixe mortes en 2021 était de 48 ans, soit quelque trente ans de moins que l’âge moyen des décès dans le reste de la population, selon un rapport publié jeudi par le collectif « Les morts de la rue ».

    En 2021, 39 % de ces décès sont survenus dans la rue ou le métro, 30 % dans un établissement de soins et 12 % dans un squat, une voiture ou un hall d’immeuble. Près d’un tiers de ces personnes SDF a connu une mort violente, provoquée par une agression ou une noyade, par exemple. L’an dernier, 42 % de ces 620 décès recensés sont survenus en Île-de-France.

    Le Parisien via fdesouche

  • Inquiétante chute de l’efficacité policière en France

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2022

    Le taux de réussite des services baisse dans toutes les catégories du crime et de la délinquance.

    Les forces de l’ordre auraient-elles perdu la main? Détaillant l’évolution, tant pour la police que pour la gendarmerie, du taux de réussite dans les enquêtes, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMI) affirme que, en 2019 (dernière année pleine hors Covid), les services ne parvenaient plus à élucider, après un an d’investigation, que 72 % des homicides, quand le ratio atteignait 78 % l’année précédente.

    Il est pourtant plus facile d’identifier un suspect dans une affaire de meurtre que pour un cambriolage, où l’auteur et la victime ne se connaissent pas, la plupart du temps. Pour ces vols avec effraction au domicile ou en tout lieu, le taux de réussite demeure dramatiquement bas: 8 % seulement. Soit 92 % d’échec. C’est pire que pour les OQTF, ces ordres d’expulsion de clandestins quasi impossibles à exécuter et qui font tant parler d’eux, avec le ratage de l’éloignement de la meurtrière présumée de la petite Lola.

    Le Parisien via fdesouche

  • L’ambassadeur du Maroc en France : “Le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper”

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    C’est un bien curieux imbroglio qui vient d’être détecté par la police marocaine des frontières: sous le coup d’une expulsion du territoire français, un individu, détenteur d’un laissez-passer authentique, délivré par le consulat général du Royaume à Paris, se révèle, en fait, être tunisien. Les explications.

    Mercredi 19 octobre à l’aéroport de Casablanca. Un policier aux frontières examine le laissez-passer d’un citoyen marocain, expulsé depuis la France. Le nom, inscrit sur ce laissez-passer délivré par le consulat général du Maroc à Paris est bien enregistré dans sa base de données. Mais l’examen des traits de cet individu, dont les initiales sont S.M.A, et celui de ses empreintes digitales ne correspondent pas à l’identité du citoyen marocain, dont les données étaient accessibles sur son écran.

    Ces vérifications préliminaires ont permis au policier de parvenir à cette conclusion certaine: l’homme qui se tenait devant lui n’était pas celui dont le nom était mentionné sur le laissez-passer, délivré par le consulat du Maroc à Paris.

    La photographie et les empreintes ne concordaient pas avec l’identité de ce citoyen marocain, dont le nom avait été soumis par les autorités françaises à l’ambassade du Maroc, en France, en vue de délivrer un laissez-passer, document indispensable à son expulsion du territoire français.

    La supercherie est vite apparue au grand jour. L’homme, qui est présenté comme un Marocain, se nomme Ahmed Ben Ali, et il est, en fait, de nationalité tunisienne.

    Si son laissez-passer est authentique, la photographie d’identité qui l’accompagne n’est pas celle de ce citoyen marocain répondant aux initiales de S.M.A, pour lequel la demande de ce document avait été formulée par les autorités françaises.

    (…)

    L’abject assassinat de Lola, une collégienne de 12 ans, le 14 octobre dernier, par une femme de nationalité algérienne, a vivement ému l’opinion publique française.

    L’assassin présumé de l’enfant faisant justement l’objet d’une OQTF, le débat sur les expulsions d’immigrés clandestins a donc repris de plus belle.

    Le 360

    (…) D’après ce que m’a affirmé M. Chakib Benmoussa, alors ambassadeur du Maroc en France, « le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper ». M. Benmoussa est un homme de parole. Il ne dit pas n’importe quoi. Le malentendu est là. Peut-être que les autorités de Rabat auraient dû s’expliquer officiellement sur cette question.

    Le Point

  • Entre 2017 et 2019, 22394 personnes ont fait une demande de titre de séjour en France pour trouble psychiatrique

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

     

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    Haut Conseil de la santé publique (PDF)

  • La France va former sur son sol 2 000 soldats ukrainiens

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2022

    « Le président de la République a validé un plan de formation qui permettra d’accueillir jusqu’à 2 000 soldats ukrainiens en France. Il y a déjà eu des formations d’artillerie faites en France pour les Caesar, mais là, nous changeons d’échelle (…) Il y aura trois niveaux de formation. D’abord, la formation généraliste du combattant. Ensuite, sur des besoins spécifiques signalés par les Ukrainiens, comme la logistique. Et un troisième niveau de formation sur les matériels fournis », précise Sébastien Lecornu qui rappelle que « nous faisons cela en respectant les règles de droit, sans jamais être dans la cobelligérance car nous ne sommes pas en guerre. Nous aidons un pays qui est en guerre ».

    La France va par ailleurs livrer des systèmes de défense antiaériens Crotale à l’Ukraine, a souligné le ministre des Armées, précisant une annonce faite en ce sens mercredi 12 octobre par le président Emmanuel Macron. Le nombre des systèmes antiaériens de courte portée Crotale qui seront envoyés à Kiev « est en train d’être défini avec les Ukrainiens », mais « sera significatif pour leur permettre de défendre leur ciel », assure-t-il.

    Lire la suite de l’article sur ladepeche.fr