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france - Page 44

  • Fusion nucléaire: malgré les sanctions, la Russie envoie vers la France un aimant géant essentiel pour le programme Iter

    Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2022

    lesobservateurs

    L'imposant aimant de 9 mètres de diamètre pour 200 tonnes a été empaquetée pour le trajet qui doit durer une quinzaine de jours et atteindre Marseille, dans le sud de la France.

    La Russie a envoyé mardi vers la France un des six aimants géants prévus pour mettre en œuvre le programme Iter sur la fusion nucléaire, l'un des grands projets scientifiques internationaux auquel Moscou participe toujours malgré les sanctions.

    Sous un ciel gris d'automne, le bateau transportant la «bobine de champ poloïdal» fabriquée en Russie sous la direction de l'agence atomique Rosatom, a pris le large à Saint-Pétersbourg (nord-ouest), ont constaté des journalistes de l'AFP. L'imposant aimant de 9 mètres de diamètre pour 200 tonnes a été empaquetée pour le trajet qui doit durer une quinzaine de jours et passer par Amsterdam pour atteindre Marseille, dans le sud de la France.

    Cette bobine, en forme d'anneau, doit former la partie haute de la structure du «tokamak», cette machine expérimentale en construction dans le sud de la France qui vise à maîtriser la production d'énergie à partir de la fusion de l'hydrogène, comme au cœur du Soleil.

    «Sans la bobine PF1, le tokamak ne peut pas fonctionner», a résumé auprès de l'AFP Léonid Khimtchenko, directeur adjoint pour les questions techniques au Centre-Iter en Russie, qui se félicite de cette réalisation «unique» après plus de huit ans de travail.

    Sur les six bobines prévues avant la première production de plasma espérée en 2026, quatre sont réalisées en Europe de l'Ouest et une autre a été construite en Chine, sous responsabilité européenne.

    «Tout le monde serait perdant»

    L'imposante pièce russe devait partir en mai, mais les interdictions pour les bateaux russes de s'amarrer dans un port européen, en raison des sanctions liées à son offensive en Ukraine, ont retardé son départ.

    Pas question pour autant pour la Russie de ne pas «remplir ses obligations» dans cet important projet international, a fait valoir Viatcheslav Perchoukov, représentant spécial de Rosatom pour les projets internationaux, selon qui «les événements actuels n'ont guère affecté l'avancée du projet».

    Dans la foulée de son intervention militaire en Ukraine, la Russie a pourtant annoncé se retirer «après 2024» de la Station spatiale internationale (ISS), autre projet phare de coopération scientifique entre les Occidentaux et les Russes.

    Mais à ce stade, aucune décision semblable n'a été prise pour Iter. «Tout le monde serait perdant» en cas de retrait ou d'exclusion de la Russie, a affirmé à l'AFP Andreï Mednikov, en charge de la maîtrise d'oeuvre de la bobine. «Nous sommes tous une seule famille. (...) Il n'y a pas de concurrence, rien», a encore appuyé auprès de l'AFP Léonid Khimtchenko, alors que Moscou et les Occidentaux, alliés de Kiev, s'affrontent autour de l'Ukraine depuis fin février.

    Aux côtés de l'UE, du Royaume-Uni, de la Suisse, des Etats-Unis, de l'Inde, du Japon, de la Corée du Sud et de la Chine, la Russie participe à hauteur de 9,1% du coût de production de l'installation. Fruit d'une coopération scientifique entre 35 pays, l'idée du projet Iter est née à l'issue d'un sommet entre le président américain Ronald Reagan et le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev en 1985.

    source: https://www.lefigaro.fr/sciences/fusion-nucleaire-la-russie-envoie-vers-la-france-un-aimant-geant-essentiel-pour-le-programme-iter-20221101

    voir aussi: https://lesobservateurs.ch/2022/09/26/la-fusion-nucleaire-est-deja-en-chantier-elle-vise-a-remplacer-les-energies-fossiles/

  • C’est nous les champions de la zone euro ! De quoi ? Des prélèvements obligatoires !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 novembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Prélèvements obligatoires maximum,

    services publics en ruine : cherchez l’erreur…

    Notre confrère du Figaro nous le redit, car nous le savions déjà depuis plusieurs années, « la France reste championne des prélèvements obligatoires« .

    Le constat est connu, et il se confirme d’année en année. En Europe, la France demeure l’un des pays dans lesquels les prélèvements obligatoires sont les plus importants. Elle se hisse même au sommet du classement en zone euro, et en deuxième place dans l’UE – derrière le Danemark -, selon une étude du site spécialisé Fipeco, publiée mardi.

    L’étude du site d’informations sur les finances publiques constate par ailleurs que la France reste assez largement au-dessus de ses voisins européens concernant les impôts sur la consommation : 12,3% du PIB en 2021 contre 11,1% en zone euro et 10,1% en Allemagne. «Cela tient assez peu à la TVA, dont le poids n’était que légèrement supérieur en France (de 0,2 point par rapport à la moyenne de la zone), et bien plus aux taxes spécifiques à des produits particuliers (écart de 1,0 point de PIB avec la moyenne de la zone euro) : énergie, tabacs, alcools, assurances etc.», explique l’étude.

    Quant aux impôts sur les revenus des ménages, leur poids a augmenté en France avec la hausse de la CSG en 2018. Il se situe désormais à un niveau comparable à celui de la moyenne européenne (9,4% en France contre 9,7% en zone euro).

    Merci à Emmanuel Macron, le Mozart de la Finance !

    Sources : Le figaro / AFP

  • Renvoyer les indésirables hors de France

    Publié par Guy de Laferrière le 01 novembre 2022

    J’entends dire partout qu’il est quasiment impossible de renvoyer un sans-papier dans son pays.

    Pourtant, quand j’étais petit, je me rappelle que ma mère me répétait souvent : « Quand on veut, on peut. »

    Alors, avec un peu de courage et de détermination, le Gouvernement devrait pouvoir faire quelque chose s’il le voulait. Mais j’ai bien l’impression qu’il fait tout pour ne pas vouloir.

    Il y a pourtant une infinité de moyens pour contraindre les indésirables de quitter la France.

    Je ne suis pas un spécialiste de la chose, mais j’entrevois déjà une quantité de pistes possibles, parmi lesquelles :

    1) Rétablir un contrôle à nos frontières. Cela ne réglera pas tout, mais aura, au moins, un effet dissuasif.

    2) Reprendre notre souveraineté et sortir des absurdités de Bruxelles et de la CEDH en matière d’immigration.

    3) Nous avons des ambassades dans tous les pays du monde. Exigeons, alors, que les demandeurs d’asile s’adressent d’abord à ces ambassades dans

    leur pays, plutôt que de venir demander l’asile à Paris. Cela réglera déjà un important problème.

    4) Conditionner les aides économiques que la France verse à ces pays, au retour des OQTF (obligations de quitter le territoire français) que nous voulons renvoyer.

    5) Supprimer les visas pour les dirigeants de ces pays qui viennent se faire soigner gratuitement, ou veulent envoyer leurs enfants faire des études en France. Et, en général, restreindre au maximum le nombre de visas accordés aux ressortissants de ces pays.

    6) Interdire que les immigrés envoient de l’argent dans leur pays d’origine. Cet argent devrait être dépensé en France. Nos finances publiques s’en porteraient mieux et cela dissuaderait probablement d’autres prétendants à l’exil de venir.

    7) Pour l’Algérie, il faudrait revoir les accords d’Évian de 1962.

    8) Supprimer les aides de l’État et des collectivités Locales aux associations « pro-immigrationistes ».

    Voilà déjà quelques pistes. Il y en a certainement beaucoup d’autres, et je sais que toutes ne peuvent être résolues immédiatement.

    On m’objectera bien sûr le problème de l’Algérie et du gaz, ainsi que d’autres pays qui fournissent des matières premières qui nous sont essentielles.

    Mais tout se négocie, à condition d’en avoir l’intelligence et la volonté.

    Alors, Monsieur Darmanin, quand on veut, on peut !

     
  • En ce Dimanche, prions pour la Reine, prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2022

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  • Alain Escada parle du projet mondialiste de dépopulation, de l’appauvrissement orchestré des Français et de la responsabilité de l’OTAN dans la guerre en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2022

    Auteur : 

    Alain Escada, président de Civitas, était l’invité de Martial Bild pour l’émission Zoom de TV Libertés. L’occasion de parler de la prochaine Fête du Pays Réel qui se tiendra le 19 mars 2022 à Rungis, mais aussi d’évoquer diverses questions de l’actualité politique : le plan de Great Reset du Forum économique mondial, la planification de l’appauvrissement de la population et même de dépopulation, les pénuries orchestrées, la guerre en Ukraine et la responsabilité de l’OTAN.