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france - Page 44

  • France : selon un sondage, près d’un tiers des femmes en âge de procréer ne veulent pas d’enfants

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

     

    Un tiers des femmes en âge de procréer ne veulent pas avoir d’enfants. C’est ce que révèle un sondage réalisé par le magazine Elle en partenariat avec l’Ifop et publié ce mercredi. L’enquête a été menée auprès d’un échantillon représentatif de 2005 femmes âgées de 15 ans et plus. Concernant les femmes «en âge de procréer», il s’agit de femmes âgées de 18 à 49 ans sans enfants et en capacité physique de procréer. La crise environnementale et climatique est notamment évoquée pour justifier le non-désir d’enfants, selon un sondage réalisé par le magazine Elle et l’institut Ifop.

    Parmi les sondées qui ne ressentent pas de désir de maternité, 50% estiment qu’un enfant n’est pas indispensable à leur épanouissement personnel quand 48% ne souhaitent pas assumer de responsabilité parentale. La crise environnementale et climatique motive aussi le non-désir d’enfant de 39% des femmes interrogées, suivies des crises politiques et sociales (37%) et de la crainte de la surpopulation (35%), détaille Elle.

    L’institut Ifop a également interrogé les sondées sur leurs idées politiques. 48% de sympathisantes EELV ont affirmé souhaiter rester sans enfant contrairement à celles des Républicains, de Reconquête ou du RN qui manifestent encore majoritairement un désir de maternité. 50% des femmes se jugeant «très féministes» et 54% se disant «très écologistes» ont également affirmé leur non-désir d’enfants.

    La catégorie socioprofessionnelle des sondées est également un critère puisque 36% des dirigeantes d’entreprises préfèrent ne pas avoir d’enfants quand la majorité des femmes issues des catégories populaires expriment majoritairement leur désir de devenir mères. Le sondage relève également que plus de la moitié des mères d’un enfant de moins trois ans avouent parfois regretter leur choix de maternité. En outre, près d’une femme sur deux se dit prête à recourir à la procréation médicalement assistée (PMA) en tant que célibataire.

    Le Figaro via fdesouche

  • Ce jeudi 29 septembre, la France subit une nouvelle grève aux revendications floues, sorte de rituel plus ou moins fréquent dans notre société marxisée.

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Thomas Joly Président du Parti de la France

    Ce jeudi 29 septembre, la France subit une nouvelle grève aux revendications floues, sorte de rituel plus ou moins fréquent dans notre société marxisée.
    Outre le fait que cela donne une image déplorable de notre pays désormais célèbre dans le monde entier pour ses paralysies sociales à répétition, l'ensemble des syndicats et partis politiques à l'origine de cette « journée d'action » (lol !) ont tous appelé le 24 avril dernier à voter pour celui contre lequel ils manifestent aujourd'hui.
    Il y en a assez que la France et les Français soient régulièrement pris en otages par un ramassis de communistes schizophrènes qui ne représentent bien souvent qu'eux-mêmes.
    Le Parti de la France est favorable à un encadrement beaucoup plus strict du droit de grève, en particulier dans le service public.
    Peut être une image de 9 personnes, personnes debout et plein air
     
     
     
     
     
  • “La France est à l’euro près”, prévient le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avant d’annoncer que le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile et leur allouer 2 milliards d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    “La France est à l’euro près”, a affirmé ce lundi le ministre de l’Economie Bruno le Maire en présentant le projet de budget pour 2023 devant les journalistes.

    “Je veux tracer une ligne rouge”, a-t-il prévenu : “Aucune nouvelle dépense” ne pourra être introduite au cours du débat parlementaire si elle n’est pas “financée à l’euro près”, a mis en garde le ministre.

    Morandini

     


    5.900 places d’hébergement pour réfugiés et demandeurs d’asile

    Le gouvernement va créer 5.900 places d’hébergement dédiés aux réfugiés et aux demandeurs d’asile dans différents centres d’accueil et d’hébergement d’urgence, selon le projet de budget 2023 dévoilé lundi et qui prévoit une hausse de 6 % de l’enveloppe « immigration, asile et intégration ».

    Les crédits de cette mission progressent de 113 millions d’euros par rapport à 2022 pour atteindre 2,01 milliards d’euros et doivent notamment permettre l’ouverture de 2.500 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile, selon les documents budgétaires de Bercy. En 2022, 900 places d’hébergement supplémentaires avaient été créées.

    (…) 20minutes.fr

  • France : le nombre d’expulsions vers l’Algérie en 2021 est de 34 (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2022

    23/09/2022

    Si la personne n’est pas libérée, l’administration a 90 jours pour réaliser le renvoi de la personne étrangère. Elle doit d’abord prouver sa nationalité. Pour cela, elle joint la représentation consulaire du supposé pays d’origine, qui contacte ensuite l’autorité centrale de son pays, qui va consulter son état civil, si celui-ci existe, et reconnaître ou pas l’individu. Si c’est le cas, le pays est censé délivrer un « laisser passer consulaire » signifiant qu’il accepte de reprendre son ressortissant.

    L’enjeu des laissez-passer consulaires

    Mais de nombreux pays n’en voient pas l’intérêt, l’argent envoyé par la diaspora soutenant considérablement l’économie locale. D’après le rapport Buffet, en 2021, seuls 53 % des laissez-passer consulaires sont délivrés dans un délai utile à l’expulsion. Pour convaincre les États réticents de coopérer, la France a tenté de lier délivrance des laissez-passer et aide au développement, voire, pour l’Algérie, délivrance de visas. Une politique risquée. En 2021, l’Algérie, qui avait autorisé 1 652 retours en 2019, n’a délivré en 2021 que… 34 laissez-passer.

    Par ailleurs, certains pays n’acceptent le retour de leurs ressortissants que s’ils font un test Covid, ce que beaucoup refusent. Enfin, ultime embûche, encore faut-il trouver une place disponible dans un avion, que la personne accepte d’y monter, ou, qu’à défaut, si elle est entravée, les passagers ou le pilote, ne s’en offusquent pas.

    La Croix

    Une baisse notamment liée aux mesures sanitaires mises en place aux frontière des pays d’origine, avec notamment la présentation d’un pass vaccinal ou d’un test négatif faute de vaccin. Pour l’Algérie par exemple, le nombre d’éloignements est ainsi passé de 1 652 éloignements en 2019 à 34 l’an dernier. 

    Franceinfo


    28/09/2021

    De juillet à janvier 2021, 7731 OQTF vers l’Algérie ont été prononcées, selon une source proche de l’exécutif. 22 expulsions ont effectivement eu lieu, ce qui représente 0,2% des OQTF.

    Vers le Maroc, 3301 OQTF ont été délivrées dans le même laps de temps et 80 expulsions ont eu lieu (2,4%). Le taux d’expulsion vers la Tunisie est un peu plus élevé : sur les 9424 OQTF prononcées, 131 expulsions ont effectivement eu lieu (4%).

    Europe1

  • Vers un « modèle Amish ». Plan de rationnement d’énergie en Italie. En France bientôt ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2022

    Auteur : 

    « Oui, la France va prendre le tournant de la 5G parce que c’est le tournant de l’innovation. (…) J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile ! Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine » et « Je suis pour une société écologique mais pas Amish » ironisait Emmanuel Macron lors de son premier quinquennat.

    Une ironie à l’effet boomerang aujourd’hui : la stratégie des énergies renouvelables et anti-nucléaire de l’Union Européenne, de l’Allemagne, de la France, de l’Italie, sous la pression des khmers verts, couplée avec leurs sanctions contre la Russie, pourraient obliger bien des Européens, du moins ceux qui veillent, à sortir les lampes à huile de grand-mère des greniers. Les nations européennes se dirigent vers un hiver froid et des coupures massives d’électricité.

    L’Italie donne le « la » de ces futurs rationnements en instaurant un programme énergétique sur le chauffage qui préconise des règles d’économies quotidiennes et des sacrifices sous l’égide du ministre de la Transition écologique italien. Le Plan prévoit l’introduction de limites de température dans les pièces, d’heures d’allumage quotidiennes et de durée de la période de chauffage : 1°C de moins pour le chauffage des habitations et des bâtiments tertiaires, 19°C pour l’ensemble des bâtiments, et 17°C pour les bâtiments à usage industriel, artisanal et assimilé, avec 2°C de tolérance pour les deux ; 15 jours de chauffage en moins en un an (c’est-à-dire que la date de début est reportée de 8 jours et la date de fin avancée de 7 jours), et 1 heure de radiateurs allumés en moins par jour, selon les différentes zones climatiques de l’Italie. Il a été décidé aussi qu’en cas d’urgence la baisse pourrait être de deux degrés au lieu d’un et, par conséquent, les températures maximales seraient fixées à 18 degrés en hiver.

    La division en zones climatiques de la péninsule n’est pas d’aujourd’hui, cette pratique prend clairement en compte la diversité climatique de la botte, du Nord au Sud. En revanche, ces 3 mesures évoquées sont nouvelles, et lancées pour faire face à la flambée des prix de l’énergie et à la pénurie de gaz et pétrole venant de Russie.

    La péninsule s’attend donc à un hiver de rationnement et de contraintes énergétique pour le chauffage des bureaux publics et des maisons privées, avec comme conséquence première de lourdes amendes pour ceux qui augmentent trop la température du thermostat. Ces nouvelles règles ne pourront être efficaces qu’accompagner d’un système de contrôle garantissant leur respect. Et que compte faire le ministère pour s’assurer que les limites de température et de temps fixées pour le chauffage dans les bâtiments ne soient pas contournées ? Selon ce qui est ressorti, ce sera la police locale qui se chargera des contrôles – au hasard – qui concerneront les bureaux de l’administration publique, les écoles et les domiciles privés (notamment ceux disposant du chauffage central). Dans le cas des copropriétés, ce sera l’administrateur qui devra s’assurer que les nouveaux horaires de rationnement énergétique et la température fixée pour le chauffage des appartements individuels sont conformes aux directives gouvernementales mises à jour. Mais attention, les administrateurs devront se charger de réguler la température, mais la responsabilité incombe également à l’individu en cas de non-respect des règles. Aucun protocole n’a encore été défini ni aucune circulaire définissant le concours de culpabilité, mais dans ces cas, il a déjà été indiqué que dans les copropriétés, il existe un risque d’amende pouvant aller jusqu’à 3 000 si des irrégularités sont constatées.

    Après les restrictions et les contraintes covidiennes, voici venu le temps des rationnements et des contraintes énergétiques. Et comme au temps de la pseudo-pandémie, l’Italie ouvre la voie des mesures de contrôle pour l’hiver que la France imitera, les mêmes cabinets de conseil payés des ponts d’or vendant la même feuille de route aux diverses nations européennes…

    Nul doute : selon le plan de la Grande Réinitialisation de Davos, crise du covid et crise de l’énergie font basculer le Vieux Continent dans une société de surveillance et de contrôle, avec un résultat premier, l’appauvrissement des Européens… Le retour au « modèle Hamish » moqué par Macron pourrait bien être le système que ce même Macron nous prépare, en collaboration avec l’UE, conséquence des rationnements et contraintes énergétiques qu’ils évoquent sans honte.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info