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français - Page 10

  • Pour 75% des Français le gouvernement n’est pas rassurant et pour 79%, il ne sait pas où il va…

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2020

    Dans les moments difficiles les Français recouvrent leur lucidité et se rendent compte de l’amateurisme, des mensonges répétés et de la suffisance de cette bande d’incapables.

    Trouvé sur Le Figaro : « 55 % des Français jugent que le gouvernement n’a pas pris la mesure de la gravité de la situation, 79 % considèrent qu’il ne sait pas où il va.

    C’est le grand retournement. Désormais, 55 % des Français jugent que le gouvernement n’a pas pris la mesure de la gravité de la situation, 69 % estiment qu’il n’est pas clair et 79 % considèrent qu’il ne sait pas où il va. Des chiffres très sévères, issus de l’enquête Regard des Français sur l’action du gouvernement et sur le confinement menée les 24 et 25 mars auprès d’un millier de Français par Odoxa avec Dentsu Consulting, pour Le Figaro et Franceinfo.

    Le 12 mars dernier, à la veille du premier tour des municipales et à l’orée du confinement, dans notre même sondage hebdomadaire, près des deux tiers des Français trouvaient au contraire que le gouvernement réagissait bien, voire trop, face à l’épidémie. Ils étaient 43 % à trouver qu’il prenait les précautions qu’il fallait et 20 % qu’il en prenait même «trop», contre seulement 37 % qui considéraient qu’il n’en prenait «pas assez».

     
     

    Une semaine plus tard, le 19 mars dernier, deux sondages confirmaient cette grande confiance: 55 % des Français disaient «faire confiance au gouvernement pour faire face efficacement au coronavirus» (un sondage Ifop-JDD). Encore plus fort, dans un sondage Odoxa de la semaine dernière suivant l’allocution d’Emmanuel Macron, 82 % des Français estimaient qu’il avait pris la mesure de la gravité de la situation, 65 % qu’il avait été «clair» et 59 % qu’il leur disait la vérité et «savait où il allait».

    Là, c’est la chute, alors qu’a explosé la polémique sur l’absence des masques et autres matériaux de protection. Selon notre sondage, 70 % des Français estiment ainsi désormais que le gouvernement ne leur dit pas la vérité et 75 % sont désormais persuadés que le gouvernement n’a pas pris les bonnes décisions au bon moment et surtout parce qu’il n’a pas fait le nécessaire pour bien équiper les hôpitaux et les soignants face à l’épidémie.

     

    Tous les Français interrogés (97 %), sont persuadés qu’il y a bien en France une pénurie de masques, et les deux tiers d’entre eux (65 %) estiment que le gouvernement actuel en est responsable. Pour 32 %, «il y a bien un manque de masques en France actuellement, mais ce n’est pas de la faute de ce gouvernement qui fait le nécessaire pour rattraper notre retard».

    Président d’Odoxa, Gaël Sliman note en outre que les Français «attendent du gouvernement de l’audace sur un plan sanitaire». Ils sont ainsi 6 sur 10 à vouloir que le gouvernement accélère et suive l’option chloroquine proposée par le Pr Raoult, sans attendre les résultats des tests clinique en cours. »

     

    Source : contre-info

  • Fusillade lors de la célébration d'une messe dans l'Etat du Texas

    Publié par Guy Jovelin le 31 décembre 2019

    français,port d'armes

    La fusillade, qui a fait samedi deux morts lors de la célébration d'une messe dans l'État du Texas, aurait pu se solder par un massacre de masse si le tueur n'avait pas été rapidement abattu par des fidèles armés.

    En France, où seuls les malfrats, les racailles et bien sûr les djihadistes, savent où et comment se procurer une arme, une attaque de ce type aurait causé sans nul doute la mort de dizaines de personnes.

    Le Parti de la France réclame un assouplissement de la législation sur la détention, une réforme du périmètre légal de la légitime défense et le port d'armes à feu pour les Français honnêtes et soucieux de la sécurité de leurs familles et de leurs biens.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

     
     
  • « Français, la soumission de vos universités à l’anglais désespère les amis de la France ! »

    Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2019

    Par  le 10/12/2019

    L’universitaire québécois Yves Gingras juge que l’enseignement supérieur français manifeste une fascination ridicule pour l’anglais, qu’il tient pour la langue des vainqueurs.

    Québécois, professeur invité en France chaque année depuis dix-huit ans dans différentes institutions d’enseignement supérieur, j’ai observé avec consternation au cours de cette période, une accélération de la soumission tranquille du monde universitaire, intellectuel et éditorial au nouvel impérialisme linguistique de la langue anglaise. Celle-ci s’impose d’autant plus facilement que ceux qui l’adoptent au nom d’une «internationalisation» ou d’une «globalisation» mal comprises, croient naïvement que cela leur permettra de conserver leur empire intellectuel pourtant révolu. En fait, cette anglicisation rampante est surtout le signe d’un déclin marqué des intellectuels français qui pensent ralentir ou même renverser leur marginalisation en adoptant la langue dominante à laquelle ils ont si longtemps résisté

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Plus d’un Français sur 10 couvert par des minima sociaux

    Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2019

    Par  le 22/11/2019

    Selon une étude annuelle de la Dress, près de 4,25 millions de personnes ont perçu un minimum social en France en 2018. Soit environ 7 millions de personnes si l’on ajoute les conjoints et les enfants couverts. Ce qui représente 11 % de la population.

    […]

    Les Echos via fdesouche

  • La SNCF coûte 215 euros à chaque Français (même à ceux qui ne prennent jamais le train)

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2019

    Sans vraiment s’en apercevoir, chaque Français a contribué à hauteur de 215 euros au financement de la SNCF en 2018. Soit 379 euros pour chacun des 38 millions de foyers fiscaux. Le tout avant même de dépenser le moindre euro pour un billet de train. C’est en tout cas le constat établi par une étude de l’ancien magistrat de la Cour des comptes François Ecalle.

    Selon lui, le coût total de la SNCF pour l’État et les régions (Ile-de-France Mobilités en Ile-de-France), et donc pour les contribuables, s’est établi à 14,4 milliards d’euros en 2018. Sur cette somme, 8,2 milliards d’euros représentent 35% des coûts de fonctionnement de l’entreprise ferroviaire. 3,4 milliards ont également été accordés par l’État et les autorités régionales au titres des subventions d’investissements, soit 42% de l’ensemble des subventions octroyées à la SNCF. […]

    L’Opinion via fdesouche