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garde à vue - Page 3

  • L’élu de La Courneuve (93) aux 21 condamnations, Mohamed Bekhtaoui, à nouveau en garde à vue, il a mordu au mollet deux policiers

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2022

    Mohamed Bekhtaoui a été arrêté pour défaut de permis de conduire en récidive. Avec 21 mentions à son casier, ce n’est pas la première fois qu’il connaît des déboires judiciaires. Un de ses frères et sa mère ont également été mis en garde à vue. Lors de la perquisition au domicile familial, l’élu a mordu au mollet deux policiers qui tentaient de le maîtriser.

    Les années se suivent et se ressemblent pour Mohamed Bekhtaoui, 39 ans. Ce conseiller municipal d’opposition, ex-UPR (l’Union populaire républicaine du souverainiste François Asselineau), de La Courneuve (Seine-Saint-Denis) a été placé en garde à vue en deux étapes depuis lundi 5 septembre. « Il lui est reproché des infractions routières », indique le parquet de Bobigny. Plus précisément, un défaut de permis de conduire en état de récidive légale.

    Lundi, lors de la perquisition au domicile familial, à la cité des Fleurs, il a mordu au mollet deux policiers qui tentaient de le maîtriser. Ce mardi, son frère et sa mère l’ont rejoint en garde à vue pour des injures et menaces de mort. Elle a fait l’objet d’une ordonnance pénale. Le frère a vu sa garde à vue prolongée.

    D’abord jugé « irresponsable »… puis en bonne santé mentale

    Ce même mardi, un psychiatre a examiné l’élu et l’a déclaré « irresponsable, dangereux pour lui et pour les autres ». Il a donc été transféré aux urgences psychiatriques. Un nouveau diagnostic a conclu au contraire à son excellente santé mentale. Mohamed Bekhtaoui a donc de nouveau été placé en garde à vue, ce mercredi après midi.

    Il a saisi ses quelques moments de liberté pour publier une vidéo sur sa page Facebook, où il lance un anathème contre les policiers de La Courneuve et sa commissaire. « Mme la commissaire, nous les Bekhtaoui nous aurons jamais peur de vous et nous vous demanderons d’aller faire vos magouilles ailleurs (…) », écrit-il. Sur la vidéo, il renchérit : « Honte à vous Mme la commissaire, vous devez démissionner, je ne vous lâcherai pas (…). Les policiers m’ont massacré devant ma mère. La police de La Courneuve s’acharne sur moi. »

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Le rappeur Mister You interpellé à l’aéroport d’Orly alors qu’il pensait s’envoler pour le Maroc

    Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2022

    Il pensait s’envoler pour le Maroc. Il a atterri à la prison de la Santé, à Paris. Younès Latifi, plus connu sous son nom de scène Mister You, a été interpellé mercredi 20 juillet à Orly alors qu’il partait en vacances avec son fils de 6 ans. Le rappeur parisien de 37 ans venait de présenter ses papiers d’identité quand les fonctionnaires de l’aéroport se sont rendu compte qu’il faisait l’objet d’une fiche de recherche. L’artiste de Belleville a été écroué à la prison de la Santé, dans le quartier des personnes vulnérables, où sont incarcérées notamment les personnalités

    Cette fiche de recherche, le rappeur ignorait manifestement qu’elle avait été transmise aux forces de l’ordre. Explication : en mars 2021, il est condamné par la cour d’appel de Paris à 24 mois de prison aménageables pour avoir fait la promotion en février 2019 sur les réseaux sociaux d’un des plus gros points de deal d’Île-de-France à Villejuif (Val-de-Marne). Une peine aménageable, mais ce n’est pas automatique. C’est le juge d’application des peines qui prend la décision.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Annecy : sa maison est squattée par des Roms, il décide de les expulser lui-même et finit en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2022

    Excédé, un habitant a tenté, vendredi dernier, de faire sortir de force une famille de Roms qui occupe la maison de ses parents décédés.

    C’est le cauchemar des propriétaires. Inoccupée depuis cinq ans, une maison située avenue d’Aix-les-Bains à Seynod est squattée depuis mercredi 13 avril par des gens du voyage. C’est une famille de Roms, composée de 7 enfants et de 3 adultes, qui y a élu domicile. Prévenu par ses voisins, le propriétaire du logement connaît bien cette situation de squat.

    C’est la troisième fois, en cinq ans, que la demeure, celle de ses parents décédés, est occupée illégalement par des gens du voyage. « Les deux fois précédentes, ça s’était bien passé. Les gendarmes sont venus et les squatteurs sont partis sans problème. Là, c’est plus compliqué », commente le propriétaire, qui souhaite rester anonyme. « On n’a pas voulu vendre cette maison tout de suite, car le deuil n’était pas fait », précise-t-il par la suite.

    Cette fois, les occupants ne sont pas décidés à partir, malgré la présence des gendarmes, intervenus une première fois sur les lieux le mercredi 13 avril, avec le PSIG, le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie. « Ils ont commencé à vider les affaires. Après, il y a eu un appel, et un gendarme a dit : on n’expulse pas, il y a des enfants ».

    Une maison devenue squat

    (…) Considérant cette situation sans issue, le propriétaire décide de déloger cette famille de Roms par ses propres moyens. « Je suis censé engager une procédure pour les faire expulser. Mais vous connaissez la lenteur de la justice, ça va prendre des mois et la maison est déjà dans un sale état », relève-t-il.

    Vendredi 15 avril, il se rend sur place, accompagné d’un ami. Muni d’une brouette remplie de parpaings puis de ciment, il veut condamner l’entrée en érigeant un mur afin d’obliger les occupants à sortir. Mais malgré la progression du mur, aucun d’eux n’a bougé. « Je pensais que ça les ferait sortir, mais visiblement ça ne les dérange pas », déplore le propriétaire.

    Leur réclamant une nouvelle fois de sortir, ce dernier finit par perdre patience. Armé d’une bombe lacrymogène, il en fait usage dans la cuisine, où se trouvait la famille avec les enfants, en tirant vers le sol. Mais le geste déplaît fortement à l’un des Roms, probablement le père, qui hausse le ton. « Vous croyez que ça me fait plaisir d’en arriver là ? », lui rétorque l’habitant.

    Intervenus sur les lieux, les gendarmes ont interrogé le propriétaire de la maison, placé en garde à vue, et la famille de Roms. Une enquête a été ouverte.

    L’Essor savoyard via fdesouche

  • Saint-Paul-de-Vence (06) : le comédien qui incarne Abdel dans “Plus belle la vie” placé en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 04 février 2022

    Un comédien de "Plus belle la vie" placé en garde à vue dans les Alpes-Maritimes

    À leur arrivée, Marwan Berreni, 33 ans, le comédien de la série de France 3 “Plus Belle la Vie” (il incarne le personnage d’Abdel), était à la fois blessé à la tête et manifestement alcoolisé.

    Son comportement agressif et ses insultes ont fini par avoir raison de la patience des gendarmes qui l’ont menotté et placé en garde à vue.

    www.varmatin.com via fdesouche

  • Angers : le professeur d’un lycée catholique placé en garde à vue pour des « propos islamophobes », il sera jugé en mai prochain. « Je ne veux pas devenir le nouveau Samuel Paty » (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2021

    11/12/2021

    Après sa garde à vue, le professeur du lycée Wresinski a été convoqué en justice pour le 4 mai. Il sera jugé pour harcèlement, provocation publique à la discrimination en raison de la religion mais aussi dénonciation calomnieuse. Cet enseignant est bien connu en Maine-et-Loire puisqu’il s’agit de Frédéric Mortier, par ailleurs maire de Longué-Jumelles.

    (…) En réponse à la plainte de l’élève, Frédéric Mortier avait à son tour effectué un dépôt de plainte et dénoncé des violences commises par le jeune homme. Si le garçon l’a bien tutoyé et traité de raciste, l’enquête n’a pas permis d’établir qu’il y a eu des violences, d’où la poursuite pour dénonciation calomnieuse.

    Ouest-France

    (…) Le professeur craint en effet pour sa sécurité, dans le contexte actuel: “Je ne veux pas devenir un nouveau Samuel Paty”, a-t-il déclaré. Il prétend avoir invité les “musulmans à devenir catholiques” avec “second degré et humour”. Il reconnaît avoir dit “qu’à une époque, les élèves étaient plutôt catholiques dans les établissements catholiques” dans le cadre d’un cours de “droit” de “d’histoire de France”. 

    7sur7.be


    08/12/2021

    ​Un élève de première du lycée professionnel et catholique Joseph-Wresinski d’Angers a déposé plainte contre l’un de ses professeurs jeudi 3 décembre. Il lui reproche des injures liées à sa religion. L’enseignant, qui a été suspendu à titre conservatoire, s’en défend et a porté plainte à son tour, dénonçant des violences.

    (…)

    L’élève indique dans sa plainte que l’enseignant a déclaré : Les établissements catholiques auraient dû continuer à n’enseigner qu’à des élèves de confession catholique. Mais selon Ouest-France, un autre élève de la classe aurait contesté les dires de son professeur et lui aurait lancé : Les établissements catholiques ne sont pas réservés aux catholiques, tout en montrant un camarade de classe de confession musulmane. Dans sa plainte, ce dernier précise que l’enseignant a répondu, c’est le problème, en le désignant et en ajoutant qu’il pouvait changer de religion.

    Plainte contre plainte

    Ces propos auraient provoqué les contestations de la classe. L’élève s’est levé pour quitter la salle. Il aurait lancé raciste ! à l’enseignant et l’aurait bousculé. Vendredi 3 décembre, le professeur d’éco-gestion a, à son tour, déposé plainte au commissariat d’Angers pour violences sur une personne chargée d’une mission de service public. Il a précisé que les propos tenus face à la classe l’ont été au second degré. Le procureur de la République Éric Bouillard confirme le dépôt de plaintes croisées et indique que l’enquête ne fait que débuter.

    (…)

    Enfin, Anthony Bélangé souhaite qu’aucun amalgame ne soit effectué entre cet événement et les valeurs défendues dans son lycée. Il rappelle que les établissements catholiques n’ont pas vocation à accueillir des catholiques seulement. 20 % de nos élèves sont de jeunes musulmans note-t-il. On vit très bien tous ensemble. Nous défendons la laïcité, le respect des croyances de chacun.

    (…) Ouest France