Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gauche - Page 3

  • Il y a 45 ans les Khmers rouges prenaient Phnom Penh sous les applaudissements de la gauche

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2020

    et allaient massacrer près de la moitié de sa population…

    C’est le 17 avril 1975 que la capitale du Cambodge tomba aux mains des maquisards du Front uni national du Kampuchéa (FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

    Après avoir célébré la chute de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Algérie aux terroristes du FLN, les intellectuels et journalistes français vont une fois de plus se distinguer dans l’innommable.

    Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar – organisation socialo-marxiste – dominée par les Khmers rouges.

    Reconnus et soutenus par l’Internationale socialiste, les « maîtres » du « Kampuchéa démocratique » vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire. Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).

    Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42 % de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.

    C’est ainsi que cet ancien protectorat français (depuis 1863) va sombrer dans l’horreur…

    La France du Second Empire y avait établit sa protection sur le Royaume, jusque-là vassal du Siam (Thaïlande). Le Cambodge fut intégré en 1887 à l’Indochine française lors de la création de cette dernière. En novembre 1949, le système de protectorat laissa la place à un statut d’État associé de l’Union française, toujours au sein de la Fédération indochinoise. En 1953, pendant la guerre d’Indochine, le roi Norodom Sihanouk proclama l’indépendance du pays, que les accords de Genève réaffirmèrent l’année suivante tout en conservant son amitié à la France.

     

    Source : contre-info

  • PARIS, CAPITALE DU TIERS MONDE

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2019

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 24, 2019, 12:27

    Des statistiques portant sur la criminalité à Paris viennent d’être publiées.

    Elles sont absolument accablantes.

    Elles montrent un accroissement très net d’une année sur l’autre dans tous les domaines : vols, vols avec violence, agressions, cambriolages. Paris est devenue l’une des capitales les moins sûres du monde développé.

    Si la criminalité à Paris augmente, le taux d’élucidation des crimes, lui, diminue, et on peut aisément voir là une relation de cause à effet : un criminel qui pense avoir peu de risques de se faire prendre et d’être sanctionné est bien davantage incité à commettre un crime que s’il pense qu’il se fera prendre et sera sanctionné.

    Sous-jacent à cela, on peut discerner une multitude de facteurs : l’inefficacité de la police, qui manque de moyens et d’effectifs, et qui se trouve souvent affectée à d’autres tâches que la sécurité de la population, une justice de plus en plus politisée et de plus en plus laxiste, la présence dans Paris ou sur son pourtour immédiat de bidonvilles résultant de la présence croissante d’immigrants illégaux.

    La criminalité et l’ensemble des facteurs que je viens d’énumérer créent pour ceux qui vivent à Paris une existence quotidienne de plus en plus pénible et de plus en plus désagréable.

    Et c’est sans prendre en compte d’autres facteurs : les manifestations qui sporadiquement s’achèvent en émeutes, les grèves qui bloquent les transports collectifs, la quasi-impossibilité pendant les grèves d’utiliser un véhicule automobile en raison de l’asphyxie délibérée de la circulation par les autorités de la ville (et même quand il n’y a pas de grèves, circuler en voiture dans Paris est devenu très difficile, et trouver une place de stationnement plus difficile encore).

    Des touristes viennent toujours, attirés par les images d’un Paris d’autrefois qui a pourtant d’ores et déjà presque disparu. Il reste des monuments.

    Il n’y a plus d’harmonie urbaine : des édifices hideux sont venus dépareiller l’architecture de quartiers entiers.

    Et quand, en raison de l’insécurité ambiante, des touristes se font agresser ou dévaliser, Paris leur laisse un souvenir impérissable, mais pas du tout celui auquel ils s’attendaient.

    J’ai longtemps vécu à Paris. Je vis désormais très loin. Je ne reviens à Paris que de manière brève (deux ou trois jours) et pour des motifs précis.

    Je ne reconnais plus la ville dans laquelle j’ai vécu.

    Je suis triste pour les gens qui y vivent et qui subissent tout ce que je viens de décrire, mais je constate aussi que, lors des élections municipales, ceux qui ont fait de Paris une ville d’insécurité et qui l’ont enlaidie sont non seulement réélus, mais gagnent du terrain.

    J’ai beaucoup de mal à comprendre que des gens puissent voter pour subir.

    L’explication qui m’a longtemps semblé la plus pertinente était que le nombre d’électeurs parisiens vivant d’assistances diverses s’accroissait, et que s’opérait un phénomène classique de marché politique et d’achat des voix des uns avec l’argent des autres.

    Mais cette explication ne tient pas : si Paris devenait une ville d’assistés, les prix dans le secteur immobilier s’effondreraient.

    Or, ce n’est pas le cas.

    L’explication essentielle réside aujourd’hui à mes yeux dans la mentalité de gauche et dans un lavage de cerveau permanent qui permet à celle-ci de s’épandre.

    Pour les tenants de cette mentalité, l’insécurité est un problème, mais « la répression n’est pas la solution » – et il n’y a sans doute pas de solution.

    Et si, comme c’est à l’évidence le cas, l’insécurité vient de l’immigration incontrôlée, c’est un problème aussi, mais « il faut avoir de la compassion pour des gens qui viennent du monde pauvre et qui ont une existence misérable ».

    Ce qu’on trouve à Paris se retrouve, à moindre degré, dans d’autres villes de France, et, à moindre degré aussi, dans d’autres capitales d’Europe.

    Les États-Unis eux-mêmes sont touchés, et San Francisco, Los Angeles, Chicago, New York suivent la même voie sans issue que Paris, qui devient peu à peu une capitale du tiers-monde, sans que ses habitants semblent tous s’en apercevoir.

    Quand j’étais adolescent, et encore influencé par mes professeurs de gauche au lycée, je pensais que la gauche, c’était la générosité.

    Je sais maintenant que la gauche détruit et salit tout ce qu’elle touche.

     

    Source : les4verites

  • La droite est souvent une gauche au ralenti

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2019

    Auteur : Michel Janva

    La droite est souvent une gauche au ralenti

    De Mathieu Bock-Côté dans L’Incorrect :

     

    Source : lesalonbeige