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grève - Page 2

  • Grève dans de nombreux secteurs le 19 janvier 2023 – A la SNCF ce ne sera que le début des perturbations

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Auteur : 

    Le jeudi 19 janvier, de très nombreux secteurs seront affectés par le mouvement de grève lancé contre le projet de réforme des retraites : éducation, santé, routiers, RATP, SNCF, compagnies aériennes, taxis, convoyeurs de fonds, stations essence,…

    Le spectre des stations essences vides durant des semaines repointe son nez car les syndicats du secteur pétrolier ont déjà déposé des préavis de grèves qui vont de 24 heures le 19 janvier à 72 heures début février, avec un possible blocage des raffineries.

    L’approvisionnement des distributeurs de billets de banque pourrait également devenir un souci si les transporteurs de fonds se joignaient au mot d’ordre de « grèves illimitées » lancé par la branche Transports et logistique de Force ouvrière.

    Du côté de la SNCF, le communiqué de l’intersyndicale – CGT, Unsa, Sud-Rail, CFDT – affirme : « Dans le ferroviaire, les organisations syndicales (…) affirment leur volonté de construire une offensive (…) la plus forte afin de faire céder le gouvernement« . Les syndicats étudient « des modalités d’action allant au-delà de 24 h après la journée du 19 janvier« , ce qui pourrait se traduire par des consignes de grève illimitée.

    Il faut dire que les syndicats du secteur ferroviaire n’ont guère d’autre choix, largement dépassés par leur base qui s’organise sans eux. C’est ainsi qu’à la fin de l’année 2022 avait été lancée une grève des contrôleurs de la SNCF mise en place par un collectif constitué hors de tout syndicat.

    Lors de ces vœux de Nouvel An, Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF, avait avertit les autorités politiques que le projet de réforme des retraites entraînerait « une réaction vive » parmi le personnel de la SNCF qui pourrait « perturber l’entreprise« . C’est un euphémisme. Une fois de plus, les usagers du rail risquent bien de rester à quai pendant de nombreuses journées.

     

    Source : medias-presse.info

  • “La boule au ventre” : Agressions, menaces, insultes… un collège de Blanquefort (33), près de Bordeaux, contraint de fermer ses portes à cause de l’explosion des violences entre élèves

    Publié par Guy de Laferrière le 04 janvier 2023

    Enseignants, surveillants et agents du collège Dupaty de Blanquefort, commune voisine de Bordeaux en Gironde, dénoncent une montée de la violence au sein de leur établissement depuis plusieurs mois. Ils ont décidé de cesser le travail pour “collège en danger” en ce jour de rentrée.

    La dernière bagarre que j’ai vue, quelqu’un s’est retrouvé avec un nez qui saignait” raconte Marius, un autre élève de quatrième. “Il y a beaucoup d’agitation dans la cour, des cris dans les couloirs, des gens qui tapent aux portes” mais lui avoue avoir fini par s’habituer. “Je n’y fais pas plus attention que ça. C’est surtout pour les sixièmes que c’est compliqué”.

    Il évoque aussi une nouvelle pratique qui consiste à donner une tape derrière la tête à celui qui arrive avec les cheveux fraîchement coupés. “Ça fait mal, mais ça va” sourit l’adolescent.

    Ras-le-bol 

    C’est la première fois que l’on fait une telle action. Il y a un ras-le-bol, on est très fatigué“. Sophie Calland est professeure de Lettres. Elle se tient devant le collège avec quelques collègues en grève en ce mardi matin de rentrée. 

    (…) “Il y a trop d’agressions, des crachats, des coups de pied, des cailloux jetés par les fenêtres” affirme cette enseignante rencontrée par notre équipe sur place, Karim Jbali et Jean-François Géa.

    France 3


    Le collège Dupaty, situé à Blanquefort (Gironde), a fermé ses portes ce mardi. Parents et professeurs protestent contre les faits de violences qui règnent à l’intérieur de l’établissement.

    À bout de nerfs. Devant les grilles du collège Dupaty, à Blanquefort (Gironde), parents et professeurs affichaient ce mardi 3 janvier un regard inquiet. Malgré la rentrée des classes en France, cet établissement scolaire n’a reçu aucun élève. Une vingtaine de professeurs souhaitent alerter sur une violence devenue quotidienne dans ce collège. “J’ai la boule au ventre quand je traverse la cour et que je vois ces mouvements de foule. Quand je vois que le seul intérêt des enfants, c’est de provoquer des bagarres ou que le jeu c’est de taper l’autre. […] Il faut leur expliquer que ce n’est pas la norme !”, témoigne une femme auprès de nos confrères de TF1 Info.

    Le personnel enseignant de l’établissement et des jeunes affirment avoir vu le nombre de bagarres entre élèves augmenter sensiblement au sein de l’établissement. À ce point d’ailleurs que des élèves n’osent pas se rendre aux toilettes et évitent certaines zones de la cour de récréation. “On sait qu’il y en a certains qui s’en fichent des sanctions, vu que ce n’est pas assez fort. Et comme il n’y a pas de surveillants, il y en a qui sont capables de faire beaucoup”, témoigne une jeune fille.

    La Dépêche

  • Vous comptiez prendre le train pour fêter Noël en famille ce week-end ?

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

  • Des syndicalistes privilégiés et ultra-minoritaires prennent, encore une fois, les Français en otages.

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Alors que, suite à des bénéfices colossaux, Total a accordé des primes à ses salariés et baissé significativement le prix de ses carburants, les communistes de la CGT ont décidé de bloquer les raffineries, réclamant toujours plus.
    Dans un contexte de crise énergétique et de paupérisation fulgurante de la population, des syndicalistes privilégiés et ultra-minoritaires prennent, encore une fois, les Français en otages.
    Un gouvernement digne de ce nom enverrait immédiatement les forces de l'ordre dégager manu-militari ces fauteurs de troubles qui bénéficient d'une stupéfiante impunité depuis des décennies. Quand il s'agit d'éborgner des Gilets jaunes, pas d'états d'âme, lorsqu'il faut s'en prendre à l'engeance marxiste syndicale, Macron et sa clique se déballonnent.
     
    Thomas Joly Président du Parti de la France
     
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  • Ce jeudi 29 septembre, la France subit une nouvelle grève aux revendications floues, sorte de rituel plus ou moins fréquent dans notre société marxisée.

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Thomas Joly Président du Parti de la France

    Ce jeudi 29 septembre, la France subit une nouvelle grève aux revendications floues, sorte de rituel plus ou moins fréquent dans notre société marxisée.
    Outre le fait que cela donne une image déplorable de notre pays désormais célèbre dans le monde entier pour ses paralysies sociales à répétition, l'ensemble des syndicats et partis politiques à l'origine de cette « journée d'action » (lol !) ont tous appelé le 24 avril dernier à voter pour celui contre lequel ils manifestent aujourd'hui.
    Il y en a assez que la France et les Français soient régulièrement pris en otages par un ramassis de communistes schizophrènes qui ne représentent bien souvent qu'eux-mêmes.
    Le Parti de la France est favorable à un encadrement beaucoup plus strict du droit de grève, en particulier dans le service public.
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