Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

hôpitaux - Page 2

  • Slovaquie : un tiers des hôpitaux et des établissements médicaux interrogés refusent de procéder à des avortements

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    jn-avortement-visu-genocide-230x180.png

    Slovaquie : un tiers des hôpitaux et des établissements médicaux interrogés refusent de procéder à des avortements

    Selon une étude sur la disponibilité de l’avortement en Slovaquie réalisée par l’organisation féministe Possibility of Choice, un tiers des hôpitaux et des établissements médicaux interrogés refusent de procéder à des avortements, pourtant légaux dans le pays.

    Les établissements médicaux appliquent l’objection de conscience.

     

    Source : lesalonbeige

  • Pénurie de blouses dans les hôpitaux : la solution “sac poubelle” pour se protéger de la contagion

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2020

    Par  le 07/04/2020
     

    Des sacs poubelle en guise de protection contre le virus : il fallait oser, des hôpitaux l’ont fait, faute de mieux, pour pallier la pénurie de matériel médical. Mais cette entreprise spécialisée est allée plus loin en concevant un kit plus adapté, même si la matière première est la même. L’ensemble se compose d’un grand sac pour le corps, plus deux tubes pour les manches et deux surchaussures.

    Les premiers 30.000 exemplaires sont destinés au CHRU de Nancy. Mais tous les hôpitaux du Grand Est en réclament. Car la pénurie de surblouses est réelle.

    (…) France3 – Lorraine via fdesouche

  • Pas de masques pour les hôpitaux mais des fresques “artistiques” à 100 000€

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2020

    Pas de masques pour les hôpitaux mais des fresques “artistiques” à 100 000€

    Après cette crise, il s’agira également de s’interroger sur la gabegie financière liée à l’art moderne :

    En pleine crise au sein des personnels hospitaliers, les dépenses du CHU de Rouen interrogent. L’établissement vient en effet de s’offrir une fresque murale à 100.000 euros pour orner son hall d’accueil, détaille Paris Normandie. “Le fond de l’air” a été réalisé par l’artiste lyonnais Olivier Nottelet. Il a été choisi par un jury, parmi une trentaine de candidats pour orner le hall du CHU de Rouen qui voit passer, chaque jour, plus de 4.000 personnes. Si les avis divergent quant à la beauté de l’œuvre, beaucoup s’interrogent en revanche sur son coût : 100.000 euros.

    Selon le centre hospitalier, la fresque murale a été financée par différents moyens. 45.000 euros proviennent ainsi du ministère de la Culture ; 10.000 euros ont été apportés par la Métropole Rouen Normandie ; 12.000 euros sont issus de mécènes privés financiers ; 33.0000 euros ont été donnés par des mécènes privés “en nature”. Ces derniers ont en effet permis d’héberger l’artiste et ont fourni les échafaudages et la peinture.

     

    Source : lesalonbeige

  • Pas de sauvetage des hôpitaux sans immigration zéro

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2019

    Alors que l'hôpital public, dans son fonctionnement global — ce qui impacte le moral du personnel, la qualité des soins et la sécurité sanitaire, parfois même la sécurité tout court — est au bord de la rupture, le Premier ministre, Édouard Philippe, vient d'annoncer un certain nombre de mesures qui, toutes cumulées, relèvent du simple rafistolage.

    La reprise par l'Etat du tiers de la dette des hôpitaux (plus de 30 milliards) n'est qu'un artifice comptable puisque, au bout du compte c'est toujours le contribuable qui paye, que ce soit par ses cotisations sociales ou par l'impôt.

    Le coup de pouce budgétaire de 1,5 milliards sur trois ans est dérisoire comparé au milliard annuel du coût de l'Aide médicale d'Etat (AME) accordée aux étrangers clandestins dont la supression constitue une exigence économique, morale et nationale.

    La prime de 800 euros par an est une insulte pour les personnels soignants dont la qualité et le dévouement vont bien au delà de ce que propose la mesquinerie comptable du gouvernement.

    Les promesses, enfin, du ministère de la Santé de créations de lits ne connaissent quant à elles, pas le moindre début de commencement de concrétisation.

    L'hôpital public, asphyxié depuis vingt ans, par les réductions budgétaires, les fermetures de services, le malthusianisme des embauches et les conséquences de l'application des 35 heures, est en voie de tiers-mondisation.

    Tiers-mondisation de ses infrastructures, mais tiers-mondisation aussi par la nature même des patients qui y affluent. Tant que la question des flux migratoires ne sera pas traitée et résolue dans le sens national, aucune mesure en faveur des hôpitaux français et de ses services d'urgences ne sera viable.

    On l'aura compris: pour nous, un plan d'urgence pour l'hôpital ne peut être qu'englobé dans un plan d'urgence pour la France.
    JFT.

  • Trouver un milliard pour les hôpitaux ? Facile : il suffit de supprimer l'AME !

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2019

    ame.jpg
    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    Encore une arnaque. Les 750 millions d'euros prétendument déployés par Agnès Buzyn, ministre de la Santé, pour permettre de faire face à la crise des Urgences et enrayer la dégradation de nos services hospitaliers, dégradation continue malgré le dévouement, le courage et parfois l'abnégation des personnels soignants, ne seront pas financés en dépenses nouvelles mais en redéploiement de budgets auparavant dédiés à d'autres secteurs hospitaliers.
     
    Autrement dit, l'Exécutif déshabille Pierre pour habiller Paul, et des pans entiers de nos services médicaux auront à pâtir de ce tour de passe-passe comptable. 
     
    Il aurait pourtant été aisé de trouver ces 750 millions sans dommage: en supprimant totalement et définitivement l'Aide Médicale d'État (AME) dont bénéficient mécaniquement, pour un coût annuel avoisinant le milliard d'Euros payé par les contribuables, tous les étrangers présents sur notre sol y compris les clandestins, pour des soins qui, dans bien des cas, dépassent largement les situations vitales ou d'urgence. Un récent rapport indiquait que des implantations de prothèses mammaires à des migrantes avaient ainsi été prises en charge par l'État.
     
    Le Gouvernement se prépare, au contraire, à pérenniser l'AME pour la grande joie des migrants. À l'occasion du débat factice qui se déroulera à la fin du mois de septembre à l'Assemblée nationale, cette aide scélérate se verra confirmée par le Premier ministre dans sa forme, son coût, ses contours et son périmètre d'attribution. 
     
    Tandis que des milliers de nos compatriotes se voient obliger de renoncer à certains soins essentiels...