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immigrés - Page 4

  • Tout le monde est Ukrainien…

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2022

    Tout le monde est Ukrainien…

    Après avoir été successivement Irakiens, Libyens puis Syriens, les immigrés sont désormais Ukrainiens :

  • La fermeté du gouvernement polonais paie : plus de 400 immigrés déjà rapatriés en Irak

    Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2021

    La fermeté du gouvernement polonais paie : plus de 400 immigrés déjà rapatriés en Irak

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    Il est donc possible de renvoyer les envahisseurs chez eux.

    Un avion irakien parti de Minsk (Biélorussie) avec à son bord 431 immigrés a atterri à l’aéroport d’Erbil, au Kurdistan d’Irak, jeudi 18 novembre.

    Ce rapatriement est le premier depuis le début de la crise migratoire à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne. Ces Kurdes d’Irak faisaient partie d’un groupe de plusieurs milliers d’immigrés, originaires principalement du Moyen-Orient, qui ont tenté de franchir la frontière polonaise, dans l’espoir de gagner l’UE.

    Selon la présidence de la Biélorussie, “environ 7 000” immigrés se trouvent actuellement dans ce pays, dont plus de 2 000 à la frontière avec la Pologne.

     

    Source : lesalonbeige

  • Suède : Une chercheuse découvre par hasard que la plupart des viols sont commis par des immigrés, le procureur ouvre une enquête préliminaire

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2021

    Au début de l’année, le professeur Kristina Sundquist a déclaré à Samnytt qu’elle avait peur des représailles après avoir découvert – par hasard – que la plupart des viols en Suède sont commis par des immigrés. Aujourd’hui, après la pression exercée par le Conseil d’examen de l’éthique, un procureur a lancé une enquête préliminaire et Kristina Sundquist risque d’être poursuivie pour sa découverte, celle-ci étant considérée comme contraire à l’éthique.

    • L’affaire concerne les infractions sexuelles commises par des personnes nées à l’étranger. Elle n’a pas reçu l’autorisation de le faire, déclare à Samnytt Jörgen Svidén, chef du comité d’éthique.
    • “C’est déplorable”, s’exclame Ardavan Khoshnood, l’un des chercheurs à l’origine du rapport.

    Cela peut ressembler à un très mauvais poisson d’avril, mais pour le professeur Kristina Sundquist et le professeur associé Ardavan Khoshnood de l’université de Lund, il n’y a pas lieu de rire. Leurs recherches ont fait l’objet de poursuites, dans lesquelles ils sont accusés de mener et de publier des recherches illégales.

    En février de cette année, le rapport Swedish rape offenders – a latent class analysis. Son auteur principal est Ardavan Khoshnood, professeur associé de médecine d’urgence à l’université de Lund. L’étude est dirigée par la professeure émérite Kristina Sundquist, la chercheuse médicale la plus citée de l’université.

    Après avoir étudié plus de 3 000 condamnations pour viol prononcées entre 2000 et 2015, les chercheurs ont fait une découverte frappante : la plupart des auteurs condamnés sont des immigrés.

    • Un constat bipartisan. “L’objectif de l’étude était d’inclure tous les violeurs et de les caractériser en utilisant une analyse de classe latente. À l’époque, l’origine immigrée n’était pas incluse en tant que variable dans cette analyse, mais nous voulions voir s’il y avait d’autres facteurs tels que la criminalité, la mauvaise santé sociale, les prestations sociales, etc.”, a déclaré le professeur Kristina Sundquist à Samnytt au début de cette année.
    • “Les immigrants n’étaient qu’une variable, et c’était un résultat assez remarquable dans la mesure où il y avait beaucoup d’immigrants et de personnes nées à l’étranger dans ce groupe.”

    Le rapport suscite des réactions. Le mois suivant, le professeur Kristina Sundquist, le professeur associé Ardavan Khoshnood et leur rapport sont signalés à la Commission d’appel pour l’examen éthique (Överklagandenämnden för etikprövning). Il s’agit d’une autorité distincte relevant du ministère de l’éducation.

    La notification est faite par une doctorante de l’université de Göteborg. Le doctorant se demande, entre autres, si les chercheurs ont reçu l’autorisation éthique de traiter des “données sensibles” telles que la criminalité et l’origine afin de tirer des conclusions sur les immigrants et les viols.

    “Je ne vois nulle part qu’une approbation éthique est demandée pour étudier l’hypothèse selon laquelle les immigrants sont surreprésentés dans les statistiques des violeurs condamnés”, écrit le doctorant.

    Après avoir reçu plusieurs plaintes, le Conseil d’appel en matière d’éthique a décidé ce printemps de lancer une enquête sur les chercheurs. Kristina Sundquist et ses collègues sont soupçonnés d’avoir violé les bonnes pratiques de recherche.

    L’enquête reproche également aux chercheurs de ne pas être suffisamment évaluatifs lorsqu’ils expliquent comment leurs recherches permettront de “réduire l’exclusion et d’améliorer l’intégration”.

    Le 14 juin, l’enquête sur Kristina Sundquist et ses recherches sera confiée au ministère public.

    Jörgen Svidén est le chef du comité d’éthique. Selon lui, Kristina Sundquist n’a pas l’autorisation de mener des recherches sur les violeurs immigrés.

    • En Suède, certaines recherches nécessitent un permis d’examen éthique. Par exemple, si vous utilisez des données personnelles sensibles et que cela a été fait dans ce cas, explique-t-il à Samnytt.
    • Elle a reçu une évaluation éthique dans cette affaire, mais pas une qui couvre les données qu’elle a utilisées dans certains articles.

    Quelles données n’était-elle pas autorisée à utiliser ?

    • Il y en a plusieurs, il est donc difficile de s’y attarder. Elle n’a pas demandé ni reçu l’autorisation d’utiliser ce que nous avons soumis à l’accusation. Il s’agit de délits sexuels chez les personnes nées à l’étranger. Elle n’a pas été autorisée à le faire.

    Jörgen Svidén souligne qu’il n’est pas interdit de mener des recherches sur la criminalité des immigrants, mais que dans ce cas, il faut demander une autorisation préalable afin de pouvoir évaluer si la recherche est éthique ou non.

    • Certains se demandent si ces recherches ne devraient pas être interdites. Ce n’est pas de cela dont il s’agit. Il s’agit d’un examen éthique dans le cadre de la loi sur l’examen éthique, et selon cette loi, vous devez avoir la permission d’utiliser certaines données, et nous ne pensons pas qu’elle l’ait eue, dit-il.

     

    (…) Samnytt via fdesouche

  • « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » : slogan éculé et mensonger

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

    « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » : slogan éculé et mensonger
     

    Par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia ♦ « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire. » Tel est le pont aux ânes des immigrationnistes. Une affirmation constamment répétée depuis un demi-siècle (!) qui mérite un sérieux décryptage. Réfutation en 7 points.

    Un mensonge total

    1– Remarquons d’abord que cet argument s’inscrit dans une stricte logique économique. À supposer qu’il soit vrai (nous démontrerons que ce n’est pas le cas), il devrait être mis en balance avec d’autres facteurs et d’abord avec les conséquences nuisibles de l’immigration en termes d’identité, d’éducation, de sécurité ou encore de budget.

    2– Observons ensuite que les étrangers déjà présents en France ont un taux de chômage plus élevé que la moyenne nationale (18 % pour les étrangers venus d’Afrique contre 7 % pour les Français).

    Il en va de même pour les descendants d’immigrés non européens dont le taux de chômage cinq ans après l’entrée dans la vie active est deux fois plus élevé que celui d’un Français de souche (voir Immigration la catastrophe, que faire, page 46).
    Quitte à garder le slogan « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire », il serait donc plus juste de l’adapter et d’affirmer « les nouveaux immigrés font le travail que les Français et surtout les immigrés plus anciens et les descendants d’immigrés ne veulent pas faire. »

    3– En fait, la réalité est la suivante : l’entrée de nouveaux immigrés, même réguliers et surtout clandestins, fausse le marché du travail.
    L’arrivée d’une main d’œuvre précaire, au départ peu exigeante et souvent clandestine, biaise la concurrence et tire les salaires à la baisse. Ce qui décourage les anciens résidents en France de prendre ces emplois.
    Ceci vaut notamment dans les secteurs de l’hôtellerie/restauration, du bâtiment et des travaux publics, du contrôle et de la sécurité ainsi que des services à la personne.

    4– Nuançons toutefois ce propos. Cette fuite des Français de certains métiers concerne bien davantage les grandes villes que la France périphérique. Cela s’explique par les surcoûts immobiliers dans les grandes métropoles et le fait que les classes populaires de souche ont été refoulées très loin des centres villes. Ainsi le profil du personnel hospitalier et des soignants en EHPAD n’est pas le même en province et dans les grandes métropoles. Et ce alors même que dans les grands ensembles à forte population immigrée l’aide sociale et les trafics assurent souvent des revenus substantiels.

    5– Ceci étant, le recours à une main d’œuvre étrangère – clandestine ou non – n’est pas une fatalité. Bien au contraire il apparaît que les employeurs n’ont pas toujours le libre choix de l’embauche. SOS Racisme a réalisé un test sur les recherches en personnels des entreprises de bâtiment et des travaux publics et déplore que 45 % d’entre elles (45 %, ce n’est pas rien !) auraient aimé pouvoir discriminer à l’embauche selon l’origine en excluant les candidats de type non européen. Preuve s’il en est que l’africanisation de ces métiers n’est pas inéluctable.

    Les particuliers cherchant des aides ménagères ou à domicile se heurtent à la même difficulté d’orientation de leur recrutement. Une difficulté contournée par le personnel offrant ses services et précisant parfois « Français » ou « Dame portugaise ».

    6– L’argument selon lequel « les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » est encore plus faux pour les métiers du contrôle et de la sécurité. Il y a encore 20 à 30 ans, beaucoup de jeunes Français de souche ayant poursuivi des études modestes trouvaient des débouchés comme agents de sécurité. L’idéologie « anti raciste » les a progressivement exclus de ces métiers. Pour une raison simple: en cas de conflit entre un agent de sécurité et une personne contrôlée et refoulée c’est la règle du « deux poids, deux mesures » qui s’applique :

    • l’agent de sécurité européen en conflit avec un Africain ou un Maghrébin sera souvent présumé « raciste » par les médias et les juges.
    • a contrario, c’est le quidam européen en contentieux avec un agent de sécurité africain ou maghrébin qui risquera d’être présumé « raciste ».

    Pour les employeurs, le choix est donc vite fait ! Sans parler du fait que recruter les membres d’une bande de racaille peut servir de police d’assurance…

    Dans ce secteur, il est particulièrement faux de dire qu’on ne trouve pas de Français de souche pour travailler puisqu’ils sont exclus de fait de l’accès à l’emploi !

    7– Ajoutons que les politiques publiques ont pu créer des pénuries artificielles de main d’œuvre : on pense en particulier à la médecine et à la chirurgie dentaire.
    Difficile d’affirmer que personne ne veut être médecin hospitalier ou dentiste, mais le numerus clausus organisé par les gouvernements successifs a créé des pénuries artificielles.

    Recréer une dynamique du travail français

    Voilà qui permet d’affirmer que recréer une dynamique du travail français est possible par un ensemble de mesures :

    • une dissuasion réelle du travail clandestin par un strict contrôle aux frontières et la fermeture administrative des entreprises employant des clandestins ;
    • l’abrogation de la loi Pleven pour rendre aux employeurs le libre choix de leur personnel et recréer un marché d’emploi pour les autochtones ;
    • et ce dans le cadre de la préférence nationale rétablie dans la Constitution ;
    • la révision du code des marchés publics pour y imposer la préférence nationale à l’emploi et la traque des sous-traitants indélicats.

    Cet ensemble des mesures produira mécaniquement une réévaluation de ces métiers (hôtellerie, restauration, sécurité, aides ménagères, aides à la personne, bâtiments/travaux publics) par l’amélioration des conditions et des relations de travail comme par la hausse mécanique des salaires par le jeu de l’offre et de la demande. D’autant que la diminution des coûts sociaux et médicaux du fardeau de l’immigration devrait permettre une baisse des charges sociales.

    Enfin les parcours scolaires devraient accompagner ce mouvement en revalorisant les métiers manuels et de force. Par une réhabilitation de l’apprentissage, de l’enseignement professionnel et de l’exercice physique.

    Jean-Yves Le Gallou
    20/10/2021

     

    Source : polemia

  • Un tiers des enfants nés au Royaume-Uni ont au moins un parent né à l’étranger. 90% des immigrés ont moins de 45 ans. « La transformation ethnique est destinée à s’accélérer rapidement »

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2021

    Au cours des 20 dernières années, le nombre d’habitants au Royaume-Uni nés à l’étranger a doublé pour atteindre neuf millions de personnes, passant de 8 % à 14 % de la population. Parallèlement, la proportion de Britanniques blancs dans la population a chuté de 89 % à 79 %, tandis que les minorités ethniques sont passées de 10 % à 21 %.

    Depuis 2001, 84 % de la croissance de la population britannique est due aux immigrés et à leurs enfants, et cette proportion est passée à 90 % depuis 2017 – la majorité de ces immigrés proviennent de pays non-européens.

    Plus d’un tiers des enfants nés au Royaume-Uni ont désormais au moins un parent né à l’étranger ; dans certains quartiers de Londres, 80 % des naissances sont le fait de mères nées à l’étranger. En effet, les ressortissants non-britanniques sont concentrés de manière disproportionnée dans les villes. Environ la moitié des naissances à Londres, Birmingham, Manchester et Cambridge sont le fait de mères étrangères.

    Sans surprise, donc, un tiers des écoliers britanniques sont issus de minorités ethniques ; dans 20 ans, les enfants issus de minorités ethniques constitueront plus de la moitié des élèves des écoles publiques. En 2018, 90 % des immigrés avaient moins de 45 ans. Cela signifie que la transformation ethnique du Royaume-Uni, dont la population blanche est bien plus âgée, est destinée à s’accélérer rapidement.

    (…) The Spectator via fdesouche