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immigrés - Page 5

  • Nouvelle alloc pour les 1,5 million de jeunes « ni en études ni en emploi ni en formation ».

     

     

     

    C’était l’un des points forts d’Emmanuel  dans son allocution du 12 juillet 2021. À la veille d’une fête nationale pluvieuse et « covidienne », le chef de l’État annonçait une nouvelle grande réforme dans son quinquennat expirant : « Je présenterai à la rentrée le “revenu d’engagement” pour les jeunes, qui concernera les jeunes sans emploi ou formation et sera fondé sur une logique de devoirs et de droits. 

    J’entends d’ici des sceptiques qui ricanent…

    Dans le nouveau vocabulaire de la start-up nation, ce revenu d’engagement s’adresse aux « NEETs », les « Not in Education, Employment or Training ». Parler globish, c’est toujours plus classieux que le français des bouseux. Et puis, il faut bien trouver un moyen de travestir ce qui existe déjà, à savoir la Garantie jeunes pour les 16/25 ans « ni en études ni en emploi ni en formation », généralisée depuis 2015.

    Celle-ci demandait aux jeunes de suivre « un parcours d’insertion en mission locale ». Trop difficile d’accès, disait le ministre Élisabeth Borne à L’Etudiant, en juillet dernier, pointant « ceux qui sont les plus éloignés de l’emploi et qui ne viennent pas spontanément dans les dispositifs ». Elle s’interrogeait : « Comment trouver la bonne façon de ramener ceux qui ne sont pas forcément capables de franchir d’emblée la marche de l’exigence de la Garantie jeunes ? »

    Il semble que le gouvernement ait trouvé la solution avec le revenu d’engagement.

    Août tirant à sa fin, on ne devrait plus tarder à connaître les modalités de cette nouvelle pompe à fric, et c’est à elle que Nicolas Beytout, directeur du journal L’Opinion, consacrait, le 27 août, sa chronique sur Europe 1.

    Quid novi ?, demandaient les Anciens qui s’y connaissaient déjà en ficelles politiques. Cette fois, il s’agit d’un « engagement réciproque. Le jeune s’engage à effectuer un parcours qui doit l’amener aux portes du marché du travail, et en échange, il reçoit une aide de près de 500 euros par mois. » Et « cette réforme, si toutefois Emmanuel Macron arrive à la valoriser politiquement, ce sera un moment important du quinquennat », assure Monsieur Beytout.

    Eh oui, car ça n’est pas gagné pour un Emmanuel Macron envers qui les Français sont ingrats. Il lui faut donc montrer qu’il a gardé l’esprit réformateur de son début de mandat et, surtout, « convaincre que ce revenu d’engagement coche la case sociale », histoire de prendre de vitesse « la gauche qui demande depuis des années la création d’un RSA jeunes pour les moins de 25 ans .

    En plus du risque politique – la ficelle est tout de même grosse, à six mois des élections –, le gouvernement prend celui « que ce soit juste une aide sociale de plus, une ligne de plus dans un interminable catalogue d’allocations et de subsides publics ». Et Nicolas Beytout d’énumérer : « Rappelons-nous le RMI qui devait faciliter l’insertion, le RSA qui devait faciliter l’activité… ça n’a que très mal fonctionné. C’est d’ailleurs jusque-là l’argument qu’opposait Emmanuel Macron à toutes les demandes de RSA jeune et autres nouvelles aides pour les moins de 25 ans ».

    On continue d’empiler les cautères sur une jambe de bois… Car la France détient là aussi un triste record. Nous sommes l’un des pays d’Europe où la proportion des fameux « NEETs » est la plus élevée : près de 14 % des moins de 25 ans, soit 1,5 million de personnes « ni en étude, ni en emploi ni en formation ».

    On ne dira évidemment pas combien, parmi eux, sont immigrés ou issus de l’immigration et n’arrivant pas à suivre un cursus scolaire normal…

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • INSEE : « En 2017, 44 % de la hausse de la population provient des immigrés »

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2021

    INSEE : Institut national de la statistique et des études économiques

     

    INSEE

    Entre les 1er janvier 2017 et 2018, la population s’est accrue de 317 000 personnes, et parmi elles, 44 % sont immigrées. Depuis 2006, la contribution annuelle des immigrés à la croissance démographique est en hausse. Cela s’explique notamment par une moindre croissance de la population non-immigrée.

    Depuis 2006, le solde migratoire des immigrés augmente (+21%), porté notamment par celui des immigrés mineurs. Celui des NON-immigrés provient essentiellement des jeunes de 18 à 29 ans, notamment durant leurs études.

    Le solde migratoire est mesuré indirectement, par différence entre l’évolution de la population entre deux recensements et le solde naturel de l’année déduit de l’état civil. Les évolutions peuvent refléter des fluctuations des entrées et des sorties, mais également l’aléa de sondage du recensement. Actuellement, le solde migratoire est connu jusqu’en 2017 étant donné que le dernier recensement disponible porte sur la population au 1er janvier 2018.

    INSEE


    Le rapport complet paru le 07 Avril 2021 :

     


  • Suède : une ado avait été violée par des immigrés en 2014. Violée aussi avec une arme à feu, son abdomen avait éclaté. La police retrouve Mehdi, 22 ans, qui est condamné à 200h de travaux d’intérêt général en appel

    Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2021

    Mehdi, 22 ans, a peut-être participé au viol collectif le plus brutal de la Suède des temps modernes. Entre autres choses, la fille a été violée avec une arme à feu, son abdomen a éclaté et a finalement été jetée – après une nuit entière – apathiquement dans une mare de son propre sang. Mehdi est maintenant condamné à 200 heures de travaux d’intérêt général.

    C’est le 19 juin 2014 qu’un gang d’immigrants a amené une adolescente suédoise dans un chalet de la colonie de Järvafältet, une zone verte entourée de Husby, Rinkeby et Tensta.

    Là, ils ont retenu la fille et l’ont violée par voie vaginale et orale. Le nombre exact de personnes qui l’ont violée n’est pas clair, mais selon la fille, il y avait peut-être cinq à huit personnes.

    Lorsque la fille a crié, l’un des hommes, encouragé par les autres, a poussé un pistolet ou un objet semblable à un pistolet dans sa bouche.

    «Si tu ne restes pas silencieuse, je te tuerai», dit-il.

    Après avoir terminé les viols répétés, l’un des immigrés a poussé le pistolet dans l’abdomen de la jeune fille de sorte qu’elle a subi des saignements abondants.

    […]

    Puis l’un des violeurs, avec une autre personne non identifiée, a traîné la jeune fille dans une voiture et l’a conduite dans une pièce au sous-sol de Ljungplan à Rinkeby, où les sévices graves se sont poursuivis.

    Sous la menace de la violence, un homme a violé la fille ensanglantée oralement tandis que l’autre la violait par voie vaginale.

    […]

    Au printemps 2020, la police a réussi à identifier un autre auteur, qui a aujourd’hui 22 ans et vit à Järfälla mais réside dans le monde arabe. Il avait alors escroqué plusieurs personnes âgées […]

    Du sperme de Mehdi avait été retrouvé sur les lèvres de la jeune fille, entre autres, mais ce n’était qu’à ce moment qu’il avait pu être identifié.

    Mehdi a été condamné au printemps par le tribunal de district à un an de prison pour viol aggravé. Cependant, le verdict a fait l’objet d’un appel devant la Cour d’appel, qui a renvoyé l’affaire devant le tribunal de district.

    Maintenant, le nouveau verdict est tombé au tribunal de district de Solna et cette fois, la peine sera encore plus faible. L’homme de 22 ans est condamné pour viol aggravé à 200 heures de travaux d’intérêt général.

    […] Mehdi a obtenu la nationalité suédoise et ne peut donc pas être expulsé en vertu de la législation en vigueur. […]

    Friatidervia fdesouche

  • Suède : 59,3% des violeurs condamnés sont immigrés ou enfants d’immigrés révèle une étude récente

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2021

    L’université de Lund a constaté que la majorité des violeurs condamnés en Suède étaient issus de l’immigration et que près de la moitié des violeurs étaient nés à l’étranger dans une étude de référence et qui est l’une des premières du genre dans ce pays à forte immigration.

    L’étude, publiée en ligne le 22 février, a examiné un total de 3 039 violeurs condamnés et a révélé que 59,3 % des condamnés étaient issus de “l’immigration”, c’est-à-dire de la première ou de la deuxième génération de migrants.

    Pour les délinquants nés hors de Suède – 47,8 % au total – 34,5 % venaient de la région d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, tandis que 19,1 % étaient originaires d’Afrique subsaharienne.

    A peine moins d’un tiers des délinquants, soit 32,5 %, bénéficiaient d’une forme quelconque de programme d’aide sociale du gouvernement, tandis que 38,6 % auraient un faible niveau d’éducation.

    Les auteurs de l’étude ont noté que l’étude est publiée dans un contexte d’augmentation des viols en Suède et ont déploré l’absence d’autres recherches sur les antécédents des violeurs condamnés […]

    Breitbart

    Lien de l’étude

  • Certains immigrés sont-ils masochistes ?

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2020

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    Par Bernard Lugan

    Certains seraient-ils à ce point masochistes qu’ils ne viendraient en France que pour s’y faire discriminer… ?

    « Selon que vous naissiez homme blanc ou femme noire en Afrique ou en France, vous savez que vous avez plus de chance » vient de déclarer sur LCI, Madame Elisabeth Moreno, native de la République du Cap-Vert, et présentement ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes ». A quand un ministère de l’Egalité entre les petits et les grands, les gros et les maigres, les blonds et les roux ? Madame le ministre en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes », vient donc de faire un constat qui avait jusque-là échappé à l’esprit humain. A savoir que la population qui a créé un pays depuis des siècles ou même des millénaires, celle des indigènes, des primo-occupants, de ceux qui, par définition, sont de « souche », est naturellement davantage chez elle que les pérégrins. Un « privilège » universel qui est « jaune » au Japon ou en Chine, « noir » en Afrique et arabe en Arabie… 

    Question incidente à Madame le ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »: au Cap-Vert, et plus généralement en Afrique, y-a-t-il beaucoup de présentateurs blancs, d’hommes politiques blancs et pourquoi pas de femmes blanches ministres en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »?

    Plutôt que ces incessantes et arrogantes jérémiades quasi quotidiennement assénées par certains néo-Français semblant être à ce point masochistes qu’ils paraissent n’être venus en France que pour s’y faire « discriminer », ne serait-il pas plus juste et honnête de leur part de dire :

    « D'être venu vivre chez vous m’a privilégié car j’ai pu avoir accès à un statut que je n’aurais pas eu chez moi. J’ai en effet pu profiter des infrastructures nées du labeur et des sacrifices de vos générations passées. Celles de ces paysans blancs qui ont défriché et bonifié votre terre, celles de ces mineurs de fond blancs qui mouraient de maladie avant 40 ans, celles de ces centaines de milliers d’ouvrier blancs qui ouvrirent vos routes, vos canaux et vos voies de chemin de fer à la pioche, celles de ces millions d’hommes blancs morts pour défendre la terre de leurs ancêtres, et dont les descendants ont aujourd'hui pour dernier « privilège » celui de devoir payer des impôts pour financer la CMU et pour loger, nourrir, éduquer, soigner, habiller, un nombre indéterminé de « citoyens du monde » venus, tels des coucous, profiter de nids qu’ils n’ont pas bâtis.... »
    Mais il y a aussi un « privilège noir ». C’est celui de pouvoir cracher sur un footballeur blanc sans que cela provoque de réel émoi… Imaginons l’inverse !!! Ou de pouvoir, comme Madame Afsa Aksar, vice-présidente de l’UNEF dire :

    - « On devrait gazer tout (sic) les blancs (resic) cette sous race.

    - « Tout ce que j’ai à dire c’est les blancs (sic) arrêtez de vous reproduire ».

    - « Non à la mixité avec les blancs (sic)»

    - « Je suis une extrémiste anti-blanc –

    - « Le monde serait bien mieux sans les blancs (sic) » etc.,

    Ou encore, comme Madame le député Obono qui a légitimé la formule « Nique la France », et à laquelle l’on pourrait légitimement poser la question de savoir ce qui arriverait à un Blanc qui, au Gabon, son pays de naissance, s’aventurerait à dire « Nique le Gabon »… 

    Là est le vrai « privilège ». Celui d’être au-dessus des lois, de ne pas être « inquiété » pour de tels propos par les ligues « antiracistes » subventionnées par les impôts des « privilégiés » blancs, ni poursuivi par certains juges dont la principale activité semble être de guetter le moindre « dérapage » verbal des hommes et des femmes blancs, et de « droite », afin de pouvoir les traîner devant les tribunaux… Celui aussi, d’être recruté, non plus au mérite, mais selon ces discriminants quotas « raciaux » non officiels, et qui écartent de bons candidats malheureusement nés leucodermes, au profit de médiocres impétrants ayant eu la chance, eux, de naître mélanodermes en France…

    Mais tout cela aura une fin le jour où se lèvera un chef qui, tel Cicéron devant le Sénat romain, osera dire aux arrogants forts de notre faiblesse et parce que nous sommes à genoux : « Quo usque tandem abutera, Catilina, patientia nostra ? (Jusqu’à quand, enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ?». 
    L’église pourra alors être remise au centre du village…

    Source : Bernard Lugan