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macron - Page 22

  • Macron avait l’objectif d’un taux d’exécution de 100% d’expulsions pour les étrangers en situation irrégulière: ce taux est de 13,14% en 2020 (MàJ: 5,7% sur la première moitié de 2021) (Rediff)

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    18/10/2022

    L’éloignement des étrangers en situation irrégulière a constitué un enjeu de la précampagne et de la campagne présidentielle. « Le taux d’exécution desdites mesures s’est continuellement détérioré sur la dernière décennie, jusqu’à atteindre des niveaux particulièrement dérisoires […] Le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF) a atteint au premier semestre de l’année 2021 un niveau historiquement bas : 5,7 % », relève la mission.

    Public Sénat


    10/06/2021

    Le chef de l’Etat, qui au début de son quinquennat évoquait l’objectif d’un taux d’exécution de 100% des reconduites à la frontière, a réclamé mercredi des mesures “opérationnelles très rapidement”.

    Il envoie un signal sur le plan sécuritaire. Emmanuel Macron a réuni le Premier ministre, les ministres de l’Intérieur, des Affaires étrangères et une représentante du ministre de la Justice, mercredi 9 juin, pour réclamer une meilleure efficacité des expulsions d’étrangers en situation irrégulière, a annoncé l’Elysée.

    “Les demandes d’asile sont de plus en plus détournées : les étrangers demandent systématiquement l’asile en sachant que l’examen de leur dossier dure plusieurs mois et qu’ils sont pris en charge de manière très avantageuse”, a estimé un conseiller. “Or, le taux d’acceptabilité de l’immigration dans notre pays est de plus en plus bas”, a-t-il relevé. Sur environ 120 000 demandeurs d’asile par an, 20 000 obtiennent le statut de réfugiés, 20 000 repartent et 80 000 se maintiennent illégalement sur le territoire.

    Des mesures “opérationnelles” à venir

    Aussi, le chef de l’Etat a-t-il demandé aux ministres “d’activer de manière volontariste les dispositifs en vigueur” et d’intensifier les négociations avec les pays d’origine pour qu’ils acceptent le retour de davantage de leurs ressortissants. Fin 2020, la commissaire européenne aux Affaires intérieures avait estimé devant le Sénat que le taux d’exécution moyen d’une décision d’expulsion est de 30% en Europe mais chute à “13,14% pour la France”, alors que l’Elysée avance le chiffre de 15,3%.

    […]

     

    FranceInfo

  • L’hommage d’Emmanuel Macron au FLN quelques heures après la mise-en-examen de 2 Algériens pour le meurtre, la torture et le viol de Lola provoque la colère des internautes

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2022

    Image
  • Interview de Macron sur France 2 : chapeau, l’artiste !

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2022

    13 Octobre 2022, 06:26am | Publié par Thomas Joly

    Mercredi soir était diffusé « L'Événement », émission de France 2, premier numéro d'une série d'interviews politiques. À tout seigneur tout honneur, cette première était consacrée à un entretien avec Emmanuel Macron. En deux parties, nous précise-t-on : la seconde sera diffusée dans deux semaines.

    Le thème choisi était « le monde en crise ». Ukraine, carburant, Iran, Arménie, climat : le Président a fait le job, à sa manière, c'est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants. Sur l'Ukraine, nous allons continuer à armer le régime de Zelensky, tout en nous tenant loin de l'escalade, afin de ne pas devenir cobelligérants. Nous allons également continuer à livrer des canons, et quand il n'y en aura plus, ma foi, on se débrouillera. La coalition montée par la Russie et la Biélorussie arrache au Président une formule : le président biélorusse, dit-il, se prépare à mener une guerre « contre l'avis d'une bonne partie de son peuple ». Je ne me souviens pas qu'on nous ait demandé le nôtre.

    Sur le carburant, lié au contexte, évidemment, comme les pénuries d'huile et de moutarde, par exemple, la France s'en tire bien. Comme sur les prix de l'énergie, d'ailleurs. Les graphiques le prouvent. Le reste, y compris la disparition de l'État dans les stations-service de banlieue, relève probablement du ressenti. Le Président souhaite la poursuite du dialogue social mais veut réquisitionner les salariés. En même temps.

    Sur l'Arménie, ma foi, malgré les mises en garde de Sylvain Tesson, Emmanuel Macron estime avoir fait ce qu'il fallait : n'a-t-il pas reçu les chefs d'État arménien et azerbaïdjanais à Paris pour leur dire de faire la paix ? Et puis, on ne va quand même pas livrer des canons à l'Arménie. Ce n'est pas pareil.

    Sur l'Iran, un petit mot sur l'universalité de la laïcité, preuve que les sorties de la gauche sur l'aveuglement occidental sont parfois vraies. Aveuglement double, d'ailleurs, puisque le Président se garde bien d'émettre un avis sur le port du voile en France.

    Un détour par la récitation du catéchisme sur le climat et son urgence... et surtout, incidemment, de lourds appels du pied à une gouvernance européenne. On sait qu'Emmanuel Macron hésiterait entre le « coup de Medvedev », c'est-à-dire se représenter en 2032 après avoir trouvé un homme de paille pour l'intérim (la Russie a parfois du bon), et briguer la présidence d'hypothétiques États-Unis d'Europe. Avance-t-il ses pions ? Peut-être.

    Au bilan, un numéro de voltige déjà vu mille fois, mais qui contient - une fois n'est pas coutume - une leçon macronienne pleine de sagesse : les Français, dit-il, attendent tout du chef de l'État. Il n'a pas dit ça comme ça, mais en creux, cela veut un peut dire ça : « Ce n’est pas au président de la République de faire les négociations d’entreprises », a-t-il dit exactement. C'est pas faux. Comme les Français attendent d'ailleurs beaucoup de l'État tout court. C'est même cela qui les anesthésie et doit les empêcher de se révolter. Et c'est d'ailleurs cela que vise sans doute le Président, en fin de compte, quand il aura vaincu les crises. En effet, son avant-dernière prise de parole définit bien son véritable objectif : financer notre modèle social. Celui-là même dont profitent des centaines de milliers d'étrangers qui arrivent chaque année sur notre sol, et qui maintient les Français pauvres dans un état de dépendance presque végétatif. Chapeau, l'artiste !

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Macron et sa bande de tocards

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Politique. Coronavirus : les principales annonces de Macron
    Macron et sa bande de tocards c'est des petites frappes qui ont :
    - fait tirer sur les manifestants non-syndiqués,
    - séquestré les Français chez eux,
    - fait couler des centaines d'entreprises pour lutter contre une grippe,
    - fait exploser l'inflation,
    - échoué à organiser le baccalauréat,
    - favorisé des pénuries,
    - augmenté les taxes,
    - augmenté l'immigration,
    - perdu notre autosuffisance énergétique,
    - dilapidé notre matériel militaire pour un petit juif des carpates...
    L'apocalypse c'est pas si l'extrême droite était au pouvoir, l'apocalypse c'est quand l'extrême droite n'est pas au pouvoir !
     
    Bruno Hirout secrétaire général du Parti de la France
  • Ras-le-bol de la repentance !

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2022

    Le mépris dans lequel le président tient le pays qui l’a (si mal) élu est bien connu : il ignore qu’il existe une culture française (que des millions d’étrangers dans le monde connaissent mieux que lui) et il croit que la France fut coupable de crime contre l’humanité pour avoir transformé un nid de pirates esclavagistes en pays riche.

    Autant dire que je n’attendais rien (sinon du pire) de ce déplacement.

    Mais, malgré ces dispositions, j’avoue que M. Macron a réussi à me surprendre.

    Qu’il ait accepté de parler à un pupitre où sa qualité n’était indiquée qu’en arabe et en anglais (sans un mot de français) dépasse l’entendement.

    On ne saurait dire plus clairement – dans un pays non seulement étranger, mais ennemi – que la France a cessé d’exister comme nation souveraine.

    L’essayiste Stéphane Rozès, ancien patron de l’institut de sondage CSA, qui ne passe pas vraiment pour un militant « d’extrême droite » (il fut naguère militant trotskiste !), s’est lui-même insurgé sur Twitter : « La France humiliée par les autorités algériennes. Comment le Président Macron a-t-il pu accepter cela ? »

    Beaucoup de médias étrangers ont relevé l’insulte.

    Mais ce n’est que l’insulte officielle s’ajoutant aux innombrables insultes de la « merveilleuse jeunesse » algérienne que le sémillant Jupiter se faisait fort de mettre dans sa poche.

    Même le jeune Algérien brandissant un drapeau français que la Macronie a complaisamment relayé pour illustrer un voyage réussi a été montré sur les réseaux sociaux comme détachant et jetant à terre ledit drapeau français !

    La réalité, c’est que, plus la France se couche, plus le FLN algérien (qui aurait, pour le coup, quelques crimes contre l’humanité à reconnaître et qui, depuis, a ruiné par sa corruption le pays riche que nous avions laissé) la traite comme un paillasson.

    Il existe trois préalables à une relation franco-algérienne apaisée : 1) la vérité historique (notamment sur tout ce que la France a apporté à l’Algérie), 2) la fin du système FLN, système mafieux qui ne tient que par la « rente mémorielle », 3) la baisse drastique des visas.

    Ces trois préalables étant manifestement assez loin d’être réunis, je ne vois pas ce que M. Macron allait chercher à Alger, si ce n’est des baffes.

    Peut-on raisonnablement espérer que cette humiliation de plus soit enfin l’humiliation de trop et donc la dernière?

     

    Source : les4verites