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Selon les informations d’Europe 1, un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue pour avoir agressé deux jeunes femmes dans une rue de Mulhouse, mercredi après-midi. Il reprochait à l’une d’entre elles de porter une “jupe trop courte”.
Deux jeunes femmes de 20 ans ont été agressées mercredi en fin d’après-midi dans la rue à Mulhouse, dans le Haut-Rhin, par un homme qui reprochait à l’une d’elles de porter une “jupe trop courte“. D’après les informations recueillies par Europe 1, la jeune femme a d’abord répondu à l’agresseur, qui l’a giflée.
Pas d’antécédent judiciaire
Son amie s’est interposée avant d’être prise au cou par le jeune homme, qui a également fait chuter la première victime. Rapidement sur place, les policiers ont arrêté le suspect. C’est un homme de 18 ans sans antécédent judiciaire. Il a été placé en garde à vue.
Cette agression fait écho à celle d’Élisabeth, une jeune strasbourgeoise de 22 ans. Cette étudiant a déposé plainte, dimanche, après avoir été agressée par trois individus. Ces derniers l’ont insulté parce qu’elle portait une jupe, avant de la frapper en plein visage.
À Mulhouse (Haut-Rhin), un autre jeune se livrant lui aussi à un rodéo urbain, sans casque, a quant à lui chuté et s’est blessé en voulant fuir une patrouille de la police municipale, a également appris franceinfo de source policière. Deux mâts de vidéosurveillance ont été incendiés en représailles dans le quartier des Côteaux. Il n’y pas eu d’interpellations à ce stade.
Par un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence « laïciste ».
En se contentant de déplorer les maux du « communautarisme » (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du « séparatisme » (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, un énième « plan de lutte contre la radicalisation » dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du « vivre ensemble ».
Ces dispositions légales ou réglementaires, en admettant même qu'elles soient un jour réellement appliquées, relèveraient de la politique de la rustine et aboutiraient, au final, à l'institutionnalisation définitive du salafisme et des Frères musulmans. Ce n'est ni l'abstraction communautariste, ni le trompe-l'œil séparatiste — concepts totalement étrangers aux organisations concernées qui visent bien plus haut et bien plus loin— qu'il s'agit de combattre, mais la réalité opérationnelle de la main mise sur des pans entiers de notre territoire par l'islam politique mais aussi par les caïds des cités dans un partage consenti et organisé des quartiers, dans l'intérêt bien compris de chacune des parties.
Une phrase devra être retenue de ce déplacement. Elle sonne comme un aveu : « Face au communautarisme, la République doit tenir ses promesses car, quand elle ne le fait pas, d'autres cherchent à la remplacer (...) Il faut lutter contre les discriminations ». Autrement dit, pour Macron, la menace ne vient pas de ceux qui veulent imposer la charia, mais de la réaction populaire qui pourrait en découler.
Pour le Parti de la France, seule une politique menée d'une main de fer, d'arrêt immédiat et total de l'immigration dans ses composantes légales (immigration de travail et regroupement familial) comme dans ses filières clandestines ou liées au droit d'asile, suivie d'un vaste chantier de retour systématique au pays d'origine, couplée avec la mise en œuvre d'un nouveau code de la nationalité englobant la réforme des procédures de déchéance, et d'une législation d'exception permettant la rétention avant expulsion, pourra permettre à la France de sortir de la spirale mortelle dans laquelle elle s'enfonce, année après année.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
Une jeune homme est mort vendredi après avoir refusé de se soumettre à un contrôle des gendarmes à Lutterbach, en banlieue de Mulhouse. Les onze casernes de la compagnie de gendarmerie de Mulhouse, dans le Haut-Rhin, bénéficient d’un dispositif de protection renforcé, alors que l’une d’entre elle a été attaquée samedi soir, rapporte France Bleu lundi 25 novembre.
Samedi soir, la caserne de Mulhouse -qui abrite les gendarmes et leurs familles- a été visée par une attaque menée par une dizaine de personnes. Ils ont jeté des pierres, tiré des mortiers d’artifice et proféré des menaces de mort.
Lorsque la police est intervenue, les suspects avaient déjà pris la fuite. L’enquête sur ces événements a été confiée aux gendarmes en raison de la violation d’un terrain militaire. […]