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musulmans - Page 3

  • Message de Jack Lang pour le ramadan : «Sans les Musulmans, la France ne serait pas ce qu’elle est»

     


    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2021

    Jack Lang, président de l’IMA (Institut du Monde Arabe) donne aux musulmans la place qui leur revient dans la société française. Dans un message de vœux à l’occasion du début du mois du Ramadan, le président de l’Institut du monde arabe (IMA) a affirmé que «sans les Musulmans, la France ne serait pas ce qu’elle est».

    Un message court de moins de deux minutes dans lequel, l’ancien ministre français de la culture vient rappeler la part qu’apportent les musulmans de France au rayonnement de pays. Tout en exprimant ses vœux et ses salutations fraternelles à l’ensemble des musulmans où qu’ils soient, Jack Lang a souligné que ceux de France apportent à ce pays «leur talent, leur énergie, leur combativité et leur imagination ».

    «  Sans les Musulmans, la France ne serait pas ce qu’elle est. Et je veux dire réellement que nous continuons à compter sur cette intelligence commune qui nous associe les uns et les autres, quelles que soient nos croyances », a-t-il affirmé dans ce message publié sur YouTube.

    Le président de l’IMA a exprimé le vœu que ce mois sacré continue « à faire progresser en France, les valeurs de tolérance, de respect, d’amitié ». La France compte entre cinq et six millions de Musulmans, ce qui fait de l’islam la deuxième religion dans ce pays et de la communauté musulmane française la première en Europe.

    bladi via fdesouche

  • Jusqu’à quand les musulmans refuseront-ils l’examen historico-critique de leurs textes ?

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

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    Jusqu’à quand les musulmans refuseront-ils l’examen historico-critique de leurs textes ?L’abbé Guy Pagès, licencié en théologie et prêtre de l’archidiocèse de Paris, publie un livret sur l’islam, tiré de l’ouvrage Interroger l’islam, publié en 2013 et qui en est aujourd’hui à sa quatrième édition.

    Telle une pyramide sur sa pointe, tout l’Islam repose sur la véracité du Coran. Sa nature divine éclaterait de façon si évidente qu’Allah lance souvent le défi de tenter d’en produire un texte semblable (Coran 2.23-24 ; 11.13-14 ; 10.38 ; 17.88 ; 52.34). Et de l’impossibilité escomptée de relever la gageure, chacun devrait en déduire LA PREUVE de la divinité du Coran, et donc de celle de l’islam. C’est dire l’impertinence, ou l’importance, de ce petit livre prétendant relever le défi d’Allah. Y réussit-il ? En 125 paragraphes, l’abbé Pagès expose les contradictions internes du Coran, ses absurdités, ses non-sens… Exemple :

    Car enfin, Allah, a-t-il créé le monde en deux jours (41.9), en six (7.54; 10.3; 11.7; 25.59), en huit (41.9-12), ou bien instantanément (2.117) ? A-t-il créé la terre puis le ciel (2.29), ou bien l’inverse (79.27-30) ? […] Iblis (Satan) est-il un djinn (18.50) ou un ange (2.34) ? Caïn est-il au nombre des perdants (5.27,30), ou non (5.31) ? Allah a-t-il sauvé le fils de Noé (21.78;37.77), ou non (11.42-43) ?

    Si le Coran est si intraduisible, au point que certaines phrases ne veulent rien dire sur le plan grammatical, c’est qu’il s’agit d’abord d’un texte mal traduit

    les premiers rédacteurs du Coran pensaient en syriaque, pétris de références chrétiennes. Les travaux de Luxemberg mettent en évidence que les références culturelles du Coran étaient chrétiennes, syro-araméennes, et qu’en raison de l’hégémonie arabe, elles ont fini par ne plus être comprises, de sorte que les scribes omeyyades, puis abbassides, ne connaissant plus le sens des mots étrangers, ni donc de la polysémie de certains termes, ont collé sur ceux-ci des significations arabes étrangères à leur sens premier.

    Concernant le Coran, lire aussi le dossier du numéro d’avril de La Nef.

     

    Source : lesalonbeige

  • Musulmans et Juifs s’inquiètent : le vaccin anti-Covid est-il halal et casher ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2021

     
     
    Les télévisions belges RTBF et VRT font état d’un débat éthique qui se développe dans les communautés musulmanes et juives au sujet du vaccin contre le Covid-19.

    Beaucoup de musulmans de Belgique s’interrogent. Est-ce que se faire vacciner pendant le ramadan est considéré comme une “entorse au jeûne” ? Et surtout ces vaccins sont-ils halal ?

    Le doute sur l’éventuelle présence de gélatine de porc dans les vaccins contre le coronavirus est né notamment suite à une demande du président indonésien Joko Widodo en juillet 2020. Il avait exhorté le Conseil théologique de son pays à examiner en profondeur le vaccin chinois contre le coronavirus Sinovac pour lequel le pays avait déjà passé commande.

    La plus haute instance islamique du pays a déclaré en janvier que le vaccin chinois était “halal”. Mais les musulmans vivant en Europe se posent la question au sujet des vaccins utilisés chez nous.

    D’autre part, les campagnes de vaccination vont prendre plusieurs mois dans les différents pays d’Europe et vont donc chevaucher le mois de ramadan (qui débutera à la mi-avril).

    Certains vaccins peuvent en effet contenir de la gélatine de porc, ce qui est de nature à contrarier tant les musulmans pratiquants que les juifs pratiquants..

    En raison des compositions différentes des différents vaccins qui sont utilisées dans le monde entier, le débat oppose les théologiens musulmans  dans plusieurs pays.

    La controverse fait également rage au sein de certaines communautés juives au sujet des vaccins et de la gélatine. Septante médecins juifs britanniques ont signé une lettre ouverte à la fin de l’année dernière. Ils y ont affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était casher et ne rendait pas infertile.

     

    Source : medias-presse.info

  • Guerre dans le Haut-Karabakh arménien : Israël du côté des musulmans contre les chrétiens

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2020

    Dans la guerre qui a été imposée par l’Azerbaïdjan à l’Arménie pour la conquête du Haut Karabakh, Israël a choisi son camp : celui de l’islam conquérant, soutenu par le Turc Erdogan qui se rêve en nouveau sultan, contre les chrétiens arméniens.

    Mais le Haut-Karabakh a toujours été une terre arméniene, même si Staline l’a donné à l’Azerbaïdjan en 1923 : la population, l’histoire, la langue, la culture, l’architecture, l’art, tout est arménien et donc chrétien (3 000 monuments dont 500 églises sont arméniens). Après la chute de l’URSS, la population totalement chrétienne-arménienne a voté pour l’indépendance. L’Azerbaïdjan, courroie de transmission des volontés hégémoniques turques, n’a jamais accepté l’indépendance de la région arménienne après le « cadeau » de Staline, ce qui a conduit à la guerre de 1992-1994, qu’il a perdue. Et pour lequel il a méconnu quatre résolutions de l’ONU sur la cessation du conflit après l’armistice de 1994, continuant à provoquer le long de la frontière jusqu’à ce jour.

    Les Arméniens ont toujours été un grand obstacle au rêve turc. Le seul facteur qui a jusqu’à présent arrêté les Turcs est la Russie. Ce que craignaient les Arméniens depuis le début de la guerre en Syrie est ainsi devenu réalité. Les chrétiens arméniens et alliés des Russes ne pouvaient pas rester indemnes longtemps compte tenu de l’attitude que la Turquie avait dans cette guerre et ses nouveaux mouvements géopolitiques. Ces derniers jours, la responsabilité de la Turquie dans le déclenchement par l’Azerbaïdjan du conflit qui a débuté fin septembre est devenue de plus en plus claire.

    La rhétorique antiterroriste azerbaïdjanaise et turque a bien fonctionné pour présenter les Arméniens comme des sécessionnistes, des agresseurs, des occupants et des terroristes. Pour mettre le plus de pays possible contre l’Arménie, l’Azerbaïdjan a déclenché en juillet le conflit à proximité des oléoducs qui acheminent les hydrocarbures vers l’Europe.

    Les combats se poursuivent et les bombardements ont impliqué des cibles civiles dans la capitale du Haut-Karabakh et dans de nombreux villages. La Turquie a envoyé des mercenaires arabes utilisés dans la guerre en Syrie, comme elle l’a fait avec les Kurdes pour perpétrer le génocide arménien en 1915, a abattu un avion arménien, et beaucoup pensent que les drones utilisés dans le conflit sont exploités par des officiers turcs. Avec la syrification du conflit, la Turquie veut étendre son influence dans le sud du Caucase et a adressé un message clair à la Russie et à l’Europe, en particulier à la Grèce et à la France avec lesquelles elle s’est récemment affrontée, sur sa détermination. Avec la progression de la guerre, les images des têtes coupées de civils et de soldats arméniens ont également commencé à circuler, comme à l’époque du génocide.

    Après la récente escalade, tous les États ont appelé à un cessez-le-feu : le Canada a suspendu les livraisons d’armes à l’Azerbaïdjan, un grand nombre de pays arabes ont dénoncé l’agression de l’Azerbaïdjan, l’OTAN a invité la Turquie à utiliser son influence pour mettre fin au conflit. En revanche, Israël s’est positionné du côté des islamistes Azeris : « L’État hébreu ne fait pas que livrer des armes à sous-munitions et des drones aux Azerbaïdjanais dans leur guerre au Haut-Karabakh » peut-on lire dans un article paru sur Le Figaro d’hier.

    « Human Rights Watch (HRW) a démontré ce qui était un secret de polichinelle: l’Azerbaïdjan a recours à des armes à sous-munitions de fabrication israélienne dans sa guerre au Haut-Karabakh. HRW évoque notamment des roquettes de type LAR-160, dont des débris ont été retrouvés dans des secteurs bombardés de Stepanakert, la capitale de la République arménienne autoproclamée du Haut-Karabakh. Ces armes explosent dans le ciel et se dispersent en des dizaines de minibombes qui peuvent se transformer au sol en mines terrestres dans des zones peuplées de civils. Elles sont proscrites par une convention internationale non ratifiée par l’Azerbaïdjan, Israël mais aussi par l’Arménie. »

    « Rien ne semble en effet pouvoir remettre en question la solidité de l’alliance, en apparence à front renversé, entre Israël et l’Azerbaïdjan, continue d’écrire Thierry Oberlé, l’envoyé spécial du Figaro à Jérusalem.  L’Arménie l’a bien compris. Erevan a rappelé le 1er octobre dernier, dès le début du dégel de ce vieux conflit plus nationaliste que religieux, son ambassadeur installé depuis peu à Tel-Aviv. L’État hébreu a, au nom d’intérêts bien compris, un tropisme pour l’Azerbaïdjan, en dépit du soutien du régime turc de Recep Tayyip Erdogan à la petite République autocratique caucasienne considérée par Ankara comme l’un de ses satellites. Il n’a jamais hésité entre Bakou et Erevan. Israël n’a ainsi jamais reconnu le génocide arménien, le premier du XXe siècle et ne veut surtout pas entendre parler d’un Haut-Karabakh indépendant. «Si les Arméniens étaient autorisés à créer un État dans le Haut-Karabakh, cela pourrait ouvrir la voie aux Palestiniens pour qu’ils puissent faire de même», estime l’analyste politique Rachel Avraham. »

    Mais, indépendamment de cette question palestinienne l’Azerbaïdjan est aussi « le principal fournisseur en pétrole de l’État hébreu. Il couvre environ 40% de ses besoins en hydrocarbures. Et surtout, affirme Thierry Oberlé, sa position géographique lui offre un balcon avec vue sur l’ennemi iranien. Le pays a une longue frontière avec l’Iran, une zone qui intéresse particulièrement les services de renseignements israéliens. Soucieux de « sécuriser son territoire », Téhéran vient d’y déployer des unités des gardiens de la révolution.

    Selon le président israélien, Reuven Rivlin, cité par Oberlé « l’État hébreu entretient des relations de longue date avec l’Azerbaïdjan, et la coopération entre les deux pays n’est dirigée contre aucune partie».

    « Les experts n’en sont pas convaincus, souligne l’envoyé spécial du Figaro. En 2016, le pays a signé un contrat de près de 5 milliards de dollars avec des entreprises israéliennes d’armements. Outre les bombes à fragmentation, les sociétés israéliennes fournissent à Bakou des drones armés, dont des drones kamikazes. Ces engins télécommandés ont contribué à donner une supériorité militaire aérienne à Bakou. Au cours des dernières semaines, plusieurs avions-cargos ont décollé d’une base israélienne pour Bakou. Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), entre 2015 et 2019, Israël a livré 60% des armes de l’Azerbaïdjan, contre 31% pour la Russie, qui fournit la quasi-totalité du matériel militaire de l’Arménie. »

    En Arménie, les soldats chrétiens se battent avec courage dans ce qui est une guerre tout autant religieuse que territoriale : « cette guerre est pour la vie ou la mort de l’Arménie » indique Teresa Mkhitaryan, fondatrice de l’association humanitaire Il Germoglio qui vient en aide aux Arméniens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Erdogan fait monter d’un cran son discours et déclare que « Les musulmans européens sont systématiquement victimes de discrimination, leurs droits et libertés leur sont enlevés »

    Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2020

    Le président Recep Tayyip Erdogan a déclaré que sur le plan politique et économique, la Turquie sera parmi les plus grands du monde. […]

    « Il n’est pas facile de faire accepter à ces tyrans qui doivent leur force à l’exploitation des sociétés par l’oppression, l’effusion de sang, la tromperie et la pression, que les règles du jeu ont changé. Ils n’ont pas réussi à prendre la Turquie en otage par la tutelle, ils n’ont pas pu la mettre à genoux par le terrorisme, ils n’ont pas pu la détruire par le coup d’Etat, ils n’ont pas pu mettre lui mettre des menottes par des menaces, le siège et l’embargo et ils ne vont pas réussir à la vaincre par l’économie » a assuré le président turc. […]

    TRT Via : fdesouche