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médias - Page 3

  • Les médias de grands chemins et les autres

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2020

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    La chronique de Philippe Randa

    « Médias de grands chemins » : rendons à l’OJIM (Observatoire du journalisme – www.ojim.fr) ce qui lui appartient : on trouve en effet cette significative expression dans la conclusion d’un article fort instructif sur le respect du confinement imposé aux Français : « Il ne faut pas compter sur les médias de grand chemin pour jouer un rôle de vigie et encore moins de lanceur d’alerte. »

    Et pour cause ! N’hésitant pas à parler de « confinement à géométrie variable », l’OJIM dresse la liste des consignes données aux forces de l’Ordre, notamment durant la période du ramadan. Consignes qui, selon l’article « s’accumulent et mettent dans l’embarras une partie de la classe médiatique. »

    Car la vérité finit toujours par percer, malgré le black-out que l’on a tenté – vainement – d’appliquer en la circonstance. Ainsi, l’OJIM rappelle entre autres « l’enquête » de LCI sur les « fausses vidéos » dévoilant le non-respect du confinement, l’interrogation que s’est posé Le Monde(« Covid-19 : les banlieues sont-elles stigmatisées ? »), l’affirmation de Terra Femina, considérant qu’« en banlieue, il n’y a pas plus de jeunes dehors qu’ailleurs », contredisant toutefois l’explication que Die Zeit apportait de son côté à la réalité des incivilités des zones de non-droits françaises : ce n’est pas la faute à Voltaire, mais « à la taille des logements dans les banlieues françaises qui n’est pas adaptée au confinement » !

    L’édifiante déclaration révélée par Le Canard enchaîné en mars dernier du secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur, Laurent Nunez, qui affirma lors d’une visioconférence organisée avec les préfets : « Ce n’est pas une priorité de faire respecter dans les quartiers les fermetures des commerces et de faire cesser les rassemblements » avait déjà de quoi interpeller les Français, mais désormais, ce sont les consignes données aux forces de l’Ordre qui commencent à fuiter, notamment dans le Calvados, celle du chef d’état-major de la Direction départementale de la sécurité publique : « Sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens (dégradations par moyen dangereux pour les personnes, de bâtiment, véhicule), il n’y a pas lieu d’intervenir dans les quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un groupement de personnes rassemblées après le coucher de soleil pour s’alimenter. »

    En France, on semble à l’évidence être passé du constat de Jean de la Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » à celui de l’OJIM : « Selon que vous soyez fidèle ou mécréant, la loi vous sera appliquée ou pas »… même si certains vous expliqueront le contraire sans la moindre vergogne !

    Lire EuroLibertés cliquez ici

  • Pourquoi Castaner a-t-il été flanqué de Laurent Nuñez ? Le véritable motif, tu par les médias

    Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2020

    Il arrive, mais c’est peu commun, que le ministre de l’Intérieur soit flanqué d’une sorte de numéro 2 officiel, comme c’est le cas entre l’ignoble et vulgaire Christophe Castaner et le plus réservé Laurent Nuñez (qui a droit, lui, à son tilde sur le « n » dans les documents officiels de la République, contrairement aux Bretons…).
    Le ministre de l’Intérieur est dirigé par un duo.
    Qu’est-ce qui explique cette incongruité apparente ?

    Le problème est simple.
    Macron a voulu mettre un politicien ami à la tête de cette institution capitale, quelqu’un qui lui soit fidèle, doublé d’un « parleur ».
    Or Castaner, on le sait, n’est pas très intelligent ni cultivé, mais il est roublard, il a été formé dans les bars louches de Marseille où il fréquentait la pègre, c’est un kéké, qui suit les modes et aime « draguer ».

    Photomontage Contre-info (la photo de Castaner avec sa coupe « mulet » étant hélas authentique).

    Il n’est pas doué pour les dossiers, il ne maîtrise pas son sujet ; voyez comme Nuñez doit le reprendre publiquement devant une commission parlementaire :

    Castaner n’a pas de passé dans la police ou le corps préfectoral.
    Bref, Macron le voulait là pour des raisons politiciennes, ou pire encore, mais cela risquait fort de ne pas passer auprès de la police, de la gendarmerie et des différentes services du Ministère ne comprenant pas quelle est sa légitimité et le trouvant tout simplement trop […].

    Pour calmer ce petit monde, on a donc adjoint à Castaner le Nuñez qui a la « qualité », essentielle dans cette institution, d’être… franc-maçon.

    En effet, le ministère de l’Intérieur est connu pour être très largement aux mains de cette organisation occulte et ésotérique, antichrétienne et mondialiste.
    « 75 % des hauts fonctionnaires de la place Bauveau sont maçons » d’après des auteurs maçonniques eux-mêmes.
    La proportion est plus grande encore parmi les hauts gradés de la gendarmerie.
    Comme nous le signale une source très bien informée, il fallait, avec un Castaner, mettre un gros franc-maçon pour faire passer la pilule au sein du Ministère…

    Merci à Henri

     

    Source : contre-info

  • Coronavirus ? OMS et médias ont menti… Même Pujadas le note

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2020

    Même des journalistes du système sont forcés d’admettre que les versions officielles au sujet du coronavirus covid 19 se révèlent fausses les unes après les autres et que tout a été fait pour instaurer une panique planétaire.

     

  • Médias : pourquoi ils aiment les Français confinés

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2020

    Médias : pourquoi ils aiment les Français confinés

    Médias : pourquoi ils aiment les Français confinés

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Les médias n’aiment pas le déconfinement. Ils n’aiment pas la circulation de la liberté. Ils adorent le téléspectateur passif.


    La peur, meilleure alliée de l’idéologie dominante

    Celui qui, cloitré et vautré sur son canapé, consomme au-delà du raisonnable l’information-désinformation en continu. C’est bon pour l’audience. C’est bon pour matraquer l’idéologie médiatique. Cette idéologie a un allié principal : la peur. Quand on a peur, ce qui reste d’esprit critique disparait comme une vulgaire barrière immunitaire. L’immunité à la propagande médiatique a objectivement et fortement reculé.

    Dernier exemple : les foyers d’infection — pardon, les clusters — du week-end en Dordogne et dans la Vienne. La délectation médiatique vis-à-vis de ces deux épisodes est révélatrice. Grande joie à montrer du doigt, depuis Paris, ces bouseux de la zone verte qui se croyaient à l’abri. Comme par hasard à 48 heures du déconfinement, on a trouvé de quoi terrifier et annoncer une deuxième vague du virus, alors qu’il ne peut y avoir éventuellement de deuxième vague que plusieurs jours après le déconfinement, mais pas avant. On annonce en fait ce que l’on souhaite : la poursuite d’une opinion craintive et captive.

    En Dordogne il y a eu bien d’autres clusters dont un particulièrement important dans un camp de « gens du voyage » c’est à dire de Roms ou de Gitans. Ces clusters n’ont inquiété personne et n’ont pas été médiatisés car ils n’étaient pas politiquement corrects. Comme par hasard, on n’en a pas trouvé en banlieue — non, en en Dordogne. Car pendant l’épidémie, la manipulation médiatique continue, et plus fort que jamais.

    Il faudrait faire une étude sur le nombre de sujets concernant la Seine-Saint-Denis par rapport au reste de la France. On a presque l’impression que seul ce département et ses populations intéressent le gouvernement et les médias de connivence immigrationiste. La Seine-Saint-Denis a été volontairement hypertrophiée en oubliant l’essentiel, soit l’absence de responsabilité totale de populations en France, mais hors la France. Qu’elles s’infectent entre elles, finalement ,c’est leur problème, mais elles sont maintenant déconfinées comme tout le monde et circulent à toute heure.

    La France d’« Intouchable »

    Pour les médias, c’est clair la France du confinement, c’est le scénario du film « Intouchable ». Un pays de vieux Blancs sauvés par des immigrés et accessoirement par des femmes. Le monde réel aurait donc plus vite que prévu rejoint leur mondé rêvé. Sauf que tout cela est dû à un prisme déformant et à une sélection arbitraire dans ce qui est montré. Où sont passé les médecins d’origine européenne ? Ils pérorent encore un peu sur les plateaux télés où l’on veille à la diversité, mais on ne les voit jamais à l’hôpital. A l’hôpital il n’y a que le personnel admirable et coloré qu’on applaudit tous les soirs. Les reportages se sont multipliés sur les issus de l’immigration qui ont sauvé notre système et ces ingrats de Français de souche. Même mise en avant des métiers féminisés, l’infirmière plutôt que l’infirmier sauf membre d’une encore minorité visible. L’épidémie aura permis à l’idéologie médiatique de se répandre, et pas à moindre bruit mais avec une virulence accrue. Personne n a pu y échapper car quand on voulait s’informer sur le virus — et qui ne le voulait pas ? — on était en permanence manipulé et instrumentalisé, même par le biais des publicités recyclées « déconfinement »

    Il est donc urgent de retrouver nos libertés et de se déconfiner des médias. Certes, il y a un risque, mais il ne doit pas nous empêcher de vivre en hommes libres à l’esprit critique. Il faut retrouver le courage de demander des comptes aux coupables d’une gestion désastreuse de cette épidémie et à leurs complices médiatiques. Ils n’ont pas su nous protéger, mais ils se sont servi de leur incompétence pour renforcer leur totalitarisme idéologique. Et ce virus-là ne disparaîtra pas avec les beaux jours.

    Pierre Boisguilbert
    13/05/2020

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public

  • La confiance dans les médias se dégrade encore, en France elle passe de 35% à 24%

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2019

    Par  le 14/06/2019

    La confiance dans les médias s’est encore dégradée dans le monde, avec plus d’une personne sur deux qui ne se fie pas aux médias qu’elle consulte. C’est ce que révèle le rapport annuel du Reuters Institute (en anglais) publié mercredi 12 juin et qui s’appuie notamment sur une étude d’ampleur menée par YouGov entre fin janvier et début février auprès de 75 000 personnes dans 38 pays.

    En moyenne dans ces pays, 42% des personnes interrogées font confiance aux médias en général (en baisse de 2 points) et à peine 49% qui font confiance aux médias qu’elles consultent. […]

    En France, la confiance a nettement reculé (-11 points, à 24%), alors que les médias ont été particulièrement critiqués pour leur couverture du mouvement des « gilets jaunes ».
    […]

    Dans certains pays, le rapport observe une « saturation » des internautes pour les abonnements, ce qui favorise le divertissement (Netflix/Spotify) face à l’information. Pourtant, les médias sont de plus en plus nombreux à faire payer l’information en ligne dans le monde, note le rapport. Enfin, les personnes interrogées sont de plus en plus nombreuses (32%) à éviter activement l’actualité.

    France Info via fdesouche

    En Janvier :

    La confiance dans les médias à son plus bas historique en France