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nantes - Page 2

  • Elle est pas belle, la vie à Nantes, mairie bobo/gaucho ? 

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mai 2023

    Elle est pas belle, la vie à Nantes, mairie bobo/gaucho ? Trouvé sur tweeter... À part "ça", ça va...

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    Source : lafautearousseau

  • À Nantes, les riverains du parc de Broussais excédés par le trafic de drogues : “L’insécurité ambiante entre le trafic, les consommateurs agressifs et les migrants a fait de ce quartier un endroit dangereux”

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mai 2023

    REPORTAGE – Dans ce square situé à l’est de la ville, les résidents voient défiler quotidiennement des vendeurs de stupéfiants. Averties de la situation, les autorités travaillent sur le sujet depuis le retour des points de deal.

    «Ta mère la p***» : en cet après-midi de vacances scolaires, les dealers ne sont pas en congé. Dans le parc de Broussais, au cœur du quartier Notre-Dame-de-Toutes-Aides, dans l’est de Nantes, des cris retentissent derrière un bâtiment vacant. Moins d’une minute plus tard, la police municipale intervient avant de se faire insulter, menacer et filmer par un jeune individu, sous les yeux des promeneurs lassés.

    «Vous voyez ce qu’on vit», soupire une assistante maternelle qui, avant que la scène n’éclate, décrivait les nuisances qu’engendrait le trafic de drogue. Avec une collègue, elle a déjà songé à lancer une pétition. «Lui, je ne le connaissais pas», renchérit sa fille à propos du présumé dealer, depuis une aire de jeux où elle surveille trois petiots dont elle a la charge.

    (…) Celle qui a déjà contacté les autorités à de multiples reprises poursuit son récit en montrant le visage dissimulé d’une visiteuse : «Elle, je l’appelle la camée. C’est une SDF qui vient avec son espèce de djellaba. Elle vient en chercher deux à trois fois par jour. Elle gueule quand on ne lui donne pas […] C’est infernal, les échanges n’arrêtent pas», ajoute la propriétaire, excédée, qui croise parfois des marchands dès 6h du matin.

    Elle songe d’ailleurs à déménager car elle ne retrouve plus le quartier tranquille, composé de familles, jeunes enfants et personnes âgées, dans lequel elle s’était installée en 2017. «L’insécurité ambiante entre le trafic de drogue et ses consommateurs agressifs et bruyants, la Maison du Peuple [centre social autogéré qui occupe une partie de l’ancien Creps] et ses visiteurs saouls et les migrants qui y ont pris leurs quartiers depuis plus d’un an, a fait de ce quartier, un endroit infréquentable et dangereux».

    (…) Depuis qu’il a écrit à Nantes Métropole pour se plaindre, «ça fonctionne, il y a plusieurs rondes de policiers. Mais il faudrait carrément un mirador !», plaisante cet homme, qui réside ici depuis 15 ans et n’envisage pas d’emménager ailleurs. «Ça sera le même problème pour le prochain. C’est le système qui est en faute.» Selon lui, le trafic serait encouragé par des groupes scolaires situés dans le voisinage. «Au niveau de la loi, un gamin de 10 ans qui achète, on ne lui reproche rien», relate-t-il après avoir observé de jeunes enfants rôdant dans le coin.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Vers un élevage municipal de rats à Nantes ?

    Publié par Guy de Laferrière le 24 avril 2023

    Vers un élevage de rats à Nantes
    Rattus nantus johannicus : comment la mairesse de Nantes pourrait marquer l’Histoire

    La mairesse de Nantes Johanna Rolland a un véritable don pour transformer en sombre daube tout ce qu’elle touche – y compris la campagne des socialistes en 2022 qu’elle a dirigée, avec 1.78% des voix à l’arrivée.

    Cette fois, suite à la grève des éboueurs, le retour à la normale est interminablement long à Nantes, de quoi énerver riverains et commerçants qui comptent les rats et essaient de nettoyer comme ils le peuvent – Breizh Info leur donne la parole.

    Un commerçant remarque, “pour ma part, j’ai ramené mes nasses à rat de la campagne, tous les soirs ou presque je vais noyer un rat ou deux dans l’Erdre, c’est dire. Et ils sont de bonne taille, on devrait lancer un élevage municipal, on pourrait appeler ça les rattus nantus johannicus – ça serait toujours une meilleure façon pour Johanna de marquer l’Histoire qu’avec les 1.78% de la campagne de son amie Hidalgo l’an dernier !  ».

    Les éboueurs cravachent pour rattraper le retard. Mais du fait du stock accumulé dans les rues, autour des bennes, puis chez les gens, un camion-benne vide actuellement deux rues au lieu d’une vingtaine, et un camion-grue ne relève que dix à quinze colonnes, et les éboueurs passent du temps à récupérer tous les sacs – voire les régiments de bouteilles au garde à vous – alignés autour. Plus de 4000 à 6000 T se sont accumulées pendant la grève – en plus des 3000 T collectées habituellement dans la métropole en une semaine. La panne d’un four d’une usine d’incinération de déchets et un nouveau blocage d’un site ont aussi participé à perturber le ramassage.

    Le 14 avril dernier, l’opposition En Marche a critiqué vertement la mairie : « les rats pullulent et les odeurs sont immondes. En tout c’est presque 4000 T de poubelles, de déchets, qui se sont accmulés sur les trottoirs et dans la rue. C’est la conséquence des grèves que vous soutenez et des blocages illégaux [notamment de sites d’incinération] que vous ne dénoncez pas ».

    Une démarche qui suscite l’ironie dans les rues de Nantes. « Tous les soirs, je file un ou deux sacs à mes employés qui habitent hors de l’agglomération, c’est ça où ils bossent avec l’odeur des sacs qui s’empilent dans la réserve, les gugusses de l’opposition, ils se sont bougés pour nettoyer au moins un peu, ne serait-ce qu’une benne ou deux ? », ironise un restaurateur de l’hyper-centre.

    Pour cet habitant du Bouffay, « municipalité, opposition, éboueurs, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. La première est complètement dépassée comme d’habitude, donc elle fait l’autruche en accusant le gouvernement, la seconde arrive après la bataille, enfonce toutes les portes ouvertes au bélier et brasse du vent – on devrait les brancher au réseau électrique, des vraies éoliennes, ces girouettes ! Et les éboueurs ont fait une grève inutile, perdu du pognon en pure perte, galèrent pour rattraper les dégâts…sauf que la réforme est passée et que les déchets sont toujours là».

    Alain de Tintiniac

     

    Source : medias-presse.info

  • La presse relaye l’action de Civitas contre le spectacle transgenre pour enfants prévu à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Il y a quelques jours, nous vous signalions l’action de sensibilisation menée par Civitas à Nantes contre un spectacle de promotion de l’idéologie du genre auquel seront conviés les enfants de plusieurs écoles nantaises durant la Semaine Sainte. La section locale de Civitas a organisé un collage et un tractage aux abords de douze écoles de Nantes. Et l’affaire commence à faire du bruit. Des parents se sont naturellement inquiétés que leurs enfants soient soumis à la propagande LGBT. Et la presse a été alertée.

    Un premier article est paru dans Ouest France.

    Ce matin, c’est au tour du Figaro de traiter le sujet.

    Les remous causés par cette affaire ont obligé la majorité municipale de Nantes a tenté de se justifier via un communique qui élude le fonds du problème : nos enfants n’ont pas à être soumis à de la propagande LGBT.

    La section Civitas locale entend bien continuer à mettre la pression pour protéger nos enfants.

     

    Source : medias-presse.info

  • Insécurité

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mars 2023

    Voici quelques jours, les religieuses de la Fraternité apostolique bénédictine ont annoncé leur départ de la paroisse Notre-Dame, au centre-ville de Nantes.

    Leur départ est lié à une insécurité croissante et galopante.

    Les religieuses précisent : « Nous ne sommes pas des “franciscains du Bronx” et nous ne sommes pas censées être des agents de sécurité, bien que nous ayons pris quelques leçons d’“autodéfense”. »

    Elles ont été insultées. Des énergumènes leur ont même craché dessus. Elles croisaient régulièrement dans l’église des personnes en état d’ébriété avancée, quand ce n’était pas une odeur de cannabis qui flottait dans l’air en lieu et place de celle de l’encens.

    Ce n’était pas dans le Bronx ou à Mogadiscio, pas même dans le 9-3, mais bien dans le centre-ville de Nantes.

    Et ce n’était pas une lutte entre gangs, mais la petite délinquance qui pourrit la vie des honnêtes gens.

    Naturellement, ni l’État, ni la municipalité socialo-écolo-communiste de Nantes ne sont responsables de rien : c’est la faute à pas de chance !

    Mais la réalité est qu’en France, des religieuses sont obligées par l’ensauvagement à quitter leur paroisse.

    Non, cette France-là n’est déjà plus la France !

    Il faut dire et redire qu’il n’existe pas 36 solutions pour lutter contre cette insécurité : il faut appliquer la « tolérance zéro », mille fois évoquée (et appliquée quand la « cible » est un automobiliste conduisant 2 km/h au-dessus de la limite de vitesse), mais jamais appliquée lorsqu’il s’agit de véritables délinquants.

    Il ne faut pas s’étonner qu’une ville où les tags sont considérés comme de « l’art urbain » devienne rapidement crasseuse et accueille tous les drogués des environs – avec ce que cela entraîne de trafic et finalement de violence.

    Si toute personne prise sur le fait en train de faire un graffiti devait payer instantanément une amende, nos rues seraient propres.

    Et, si nos rues étaient bien tenues, elles seraient moins violentes. Voilà ce que la gauche laxiste refuse d’entendre.

    Naturellement, il faudrait aussi stopper l’invasion migratoire : les millions d’immigrés inassimilés, indifférents à notre patrimoine, et traînant dans les rues ne peuvent, en effet, qu’être évidemment un facteur aggravant de cette « délinquance du quotidien ».

    Autant lutter contre le terrorisme demande de sérieux moyens, autant la lutte contre cette insécurité « de base » ne demande qu’une chose : du courage – mais c’est une denrée fort rare chez les politiciens.