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nantes - Page 2

  • Vers un élevage municipal de rats à Nantes ?

    Publié par Guy de Laferrière le 24 avril 2023

    Vers un élevage de rats à Nantes
    Rattus nantus johannicus : comment la mairesse de Nantes pourrait marquer l’Histoire

    La mairesse de Nantes Johanna Rolland a un véritable don pour transformer en sombre daube tout ce qu’elle touche – y compris la campagne des socialistes en 2022 qu’elle a dirigée, avec 1.78% des voix à l’arrivée.

    Cette fois, suite à la grève des éboueurs, le retour à la normale est interminablement long à Nantes, de quoi énerver riverains et commerçants qui comptent les rats et essaient de nettoyer comme ils le peuvent – Breizh Info leur donne la parole.

    Un commerçant remarque, “pour ma part, j’ai ramené mes nasses à rat de la campagne, tous les soirs ou presque je vais noyer un rat ou deux dans l’Erdre, c’est dire. Et ils sont de bonne taille, on devrait lancer un élevage municipal, on pourrait appeler ça les rattus nantus johannicus – ça serait toujours une meilleure façon pour Johanna de marquer l’Histoire qu’avec les 1.78% de la campagne de son amie Hidalgo l’an dernier !  ».

    Les éboueurs cravachent pour rattraper le retard. Mais du fait du stock accumulé dans les rues, autour des bennes, puis chez les gens, un camion-benne vide actuellement deux rues au lieu d’une vingtaine, et un camion-grue ne relève que dix à quinze colonnes, et les éboueurs passent du temps à récupérer tous les sacs – voire les régiments de bouteilles au garde à vous – alignés autour. Plus de 4000 à 6000 T se sont accumulées pendant la grève – en plus des 3000 T collectées habituellement dans la métropole en une semaine. La panne d’un four d’une usine d’incinération de déchets et un nouveau blocage d’un site ont aussi participé à perturber le ramassage.

    Le 14 avril dernier, l’opposition En Marche a critiqué vertement la mairie : « les rats pullulent et les odeurs sont immondes. En tout c’est presque 4000 T de poubelles, de déchets, qui se sont accmulés sur les trottoirs et dans la rue. C’est la conséquence des grèves que vous soutenez et des blocages illégaux [notamment de sites d’incinération] que vous ne dénoncez pas ».

    Une démarche qui suscite l’ironie dans les rues de Nantes. « Tous les soirs, je file un ou deux sacs à mes employés qui habitent hors de l’agglomération, c’est ça où ils bossent avec l’odeur des sacs qui s’empilent dans la réserve, les gugusses de l’opposition, ils se sont bougés pour nettoyer au moins un peu, ne serait-ce qu’une benne ou deux ? », ironise un restaurateur de l’hyper-centre.

    Pour cet habitant du Bouffay, « municipalité, opposition, éboueurs, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. La première est complètement dépassée comme d’habitude, donc elle fait l’autruche en accusant le gouvernement, la seconde arrive après la bataille, enfonce toutes les portes ouvertes au bélier et brasse du vent – on devrait les brancher au réseau électrique, des vraies éoliennes, ces girouettes ! Et les éboueurs ont fait une grève inutile, perdu du pognon en pure perte, galèrent pour rattraper les dégâts…sauf que la réforme est passée et que les déchets sont toujours là».

    Alain de Tintiniac

     

    Source : medias-presse.info

  • La presse relaye l’action de Civitas contre le spectacle transgenre pour enfants prévu à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Il y a quelques jours, nous vous signalions l’action de sensibilisation menée par Civitas à Nantes contre un spectacle de promotion de l’idéologie du genre auquel seront conviés les enfants de plusieurs écoles nantaises durant la Semaine Sainte. La section locale de Civitas a organisé un collage et un tractage aux abords de douze écoles de Nantes. Et l’affaire commence à faire du bruit. Des parents se sont naturellement inquiétés que leurs enfants soient soumis à la propagande LGBT. Et la presse a été alertée.

    Un premier article est paru dans Ouest France.

    Ce matin, c’est au tour du Figaro de traiter le sujet.

    Les remous causés par cette affaire ont obligé la majorité municipale de Nantes a tenté de se justifier via un communique qui élude le fonds du problème : nos enfants n’ont pas à être soumis à de la propagande LGBT.

    La section Civitas locale entend bien continuer à mettre la pression pour protéger nos enfants.

     

    Source : medias-presse.info

  • Insécurité

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mars 2023

    Voici quelques jours, les religieuses de la Fraternité apostolique bénédictine ont annoncé leur départ de la paroisse Notre-Dame, au centre-ville de Nantes.

    Leur départ est lié à une insécurité croissante et galopante.

    Les religieuses précisent : « Nous ne sommes pas des “franciscains du Bronx” et nous ne sommes pas censées être des agents de sécurité, bien que nous ayons pris quelques leçons d’“autodéfense”. »

    Elles ont été insultées. Des énergumènes leur ont même craché dessus. Elles croisaient régulièrement dans l’église des personnes en état d’ébriété avancée, quand ce n’était pas une odeur de cannabis qui flottait dans l’air en lieu et place de celle de l’encens.

    Ce n’était pas dans le Bronx ou à Mogadiscio, pas même dans le 9-3, mais bien dans le centre-ville de Nantes.

    Et ce n’était pas une lutte entre gangs, mais la petite délinquance qui pourrit la vie des honnêtes gens.

    Naturellement, ni l’État, ni la municipalité socialo-écolo-communiste de Nantes ne sont responsables de rien : c’est la faute à pas de chance !

    Mais la réalité est qu’en France, des religieuses sont obligées par l’ensauvagement à quitter leur paroisse.

    Non, cette France-là n’est déjà plus la France !

    Il faut dire et redire qu’il n’existe pas 36 solutions pour lutter contre cette insécurité : il faut appliquer la « tolérance zéro », mille fois évoquée (et appliquée quand la « cible » est un automobiliste conduisant 2 km/h au-dessus de la limite de vitesse), mais jamais appliquée lorsqu’il s’agit de véritables délinquants.

    Il ne faut pas s’étonner qu’une ville où les tags sont considérés comme de « l’art urbain » devienne rapidement crasseuse et accueille tous les drogués des environs – avec ce que cela entraîne de trafic et finalement de violence.

    Si toute personne prise sur le fait en train de faire un graffiti devait payer instantanément une amende, nos rues seraient propres.

    Et, si nos rues étaient bien tenues, elles seraient moins violentes. Voilà ce que la gauche laxiste refuse d’entendre.

    Naturellement, il faudrait aussi stopper l’invasion migratoire : les millions d’immigrés inassimilés, indifférents à notre patrimoine, et traînant dans les rues ne peuvent, en effet, qu’être évidemment un facteur aggravant de cette « délinquance du quotidien ».

    Autant lutter contre le terrorisme demande de sérieux moyens, autant la lutte contre cette insécurité « de base » ne demande qu’une chose : du courage – mais c’est une denrée fort rare chez les politiciens.

     
  • ALERTE : spectacle idéologie du genre à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

    ALERTE : spectacle idéologie du genre à Nantes

     

    AUX PARENTS QUI AIMENT LEURS ENFANTS

    Au moins 35 classes nantaises – y compris des établissements privés- sont conviées au spectacle musical « Fille ou garçon » les 6 et 7 avril à Nantes.
    Spectacle de Marion ROUXIN et Eric DORIA, organisé par l’association nantaise La Bouche d’Air, Il est destiné à « tout public à partir de 5 ans ».

    Cette représentation s’inspire en fait d’un livre disque de 11 portraits chantés par Madame ROUXIN qui posent « la question des différences entre les sexes et l’influence du monde adulte sur les enfants ».

    L’histoire trace l’itinéraire de Camille, « une fille dans un corps de garçon », en abordant « le thème de l’homoparentalité ou en s’interrogeant sur leur identité », et vise à « remettre en cause les stéréotypes », peut-on lire sur le site de l’ouvrage. Il s’agit en fait d’une propagande grossière des théories subversives et déconstructrices de la famille naturelle et traditionnelle dont la philosophe américaine Judith BUTLER, féministe radicale, fut la théoricienne dans les années 1980.

    Parents qui aimez vos enfants, faites connaître votre désaccord aux enseignants, refusez d’inscrire vos enfants à cette sortie, alertez les autres parents d’élèves et la paroisse dont dépend votre école ! Dites NON au prétendu droit de l’école de disposer de vos enfants par cette intrusion idéologique intolérable et cette caution donnée à des plaidoyers militants, au détriment du bien de l’enfant.

    civitas-institut.com
    civitas.loire.atlantique@gmail.com

     

    Source : lesalonbeige

  • Nantes : 5 ans de prison pour trois faux policiers au lourd casier judiciaire qui volaient des personnes âgées

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Le tribunal correctionnel de Nantes a condamné mercredi 1er mars au soir à cinq ans de prison trois hommes, issus de la communauté des gens du voyage, qui se déguisaient en policiers pour tromper leurs victimes, le plus souvent des personnes âgées. Les trois prévenus, un père de 55 ans, son fils de 31 ans et un troisième homme de 34 ans, marié à la nièce du premier, ont été reconnus coupables de vols aggravés et de transport d’arme. Les voleurs, munis d’une fausse carte professionnelle de police, d’un brassard ou d’une casquette se présentaient au domicile de leurs victimes en faisant croire qu’ils voulaient prévenir des cambriolages. Les trois accusés affichaient respectivement 19, 9 et 20 condamnations sur leur casier judiciaire.

    Ces vols ont été commis entre juillet et octobre 2022 dans diverses communes de Loire-Atlantique (La Baule, Pornichet, Vertou, Saint-Herblain, etc.) et du Maine-et-Loire, principalement au préjudice de personnes âgées. Le mode opératoire était toujours le même: les voleurs, munis d’une fausse carte professionnelle de police, d’un brassard ou d’une casquette se présentaient au domicile de leurs victimes en faisant croire qu’ils voulaient prévenir des cambriolages. Ils s’emparaient ensuite de leurs biens (bijoux, argent liquide, fusil…) par ruse mais aussi parfois par la force.

    Tout au long de l’audience, les trois accusés, issus de la communauté des gens du voyage et en détention provisoire depuis le fin novembre 2022, ont fermement nié les faits. Leurs avocats ont pointé les «nombreuses incohérences» de l’enquête et plaidé la relaxe pour la plupart des faits reprochés. «On a voulu faire un dossier d’envergure d’une enquête qui ne concerne qu’un petit nombre de faits», a affirmé à l’AFP Me Gwendoline Tenier, avocate du père et du fils, se disant «extrêmement choquée par la sévérité des réquisitions».

    Le ministère public avait requis des peines de 8 à 10 ans de prison contre les trois auteurs, dénonçant leur caractère «dangereux» en raison de leur ancrage «ancien» dans la délinquance et «sans aucun égard pour les personnes les plus vulnérables de notre société».

    L’une des victimes, une femme âgée de 83 ans, assistait à l’audience. En août 2022, les faux policiers lui avaient arraché du doigt une bague en diamant, l’avaient aspergée d’eau de Cologne et lui avaient dérobé un collier en or. «C’était un choc mais j’ai beaucoup de tristesse pour les personnes dans ce box, dont certaines ne savent ni lire ni écrire. Pourquoi tant de différence entre leur vie et la mienne?», a-t-elle déclaré à l’AFP.

    Le Figaro via fdesouche