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nîmes - Page 2

  • Nîmes : condamné pour plusieurs cambriolages, ce jeune Tunisien déclare être un simple “passionné de maisons abandonnées”

    Publié par Guy de Laferrière le 31 décembre 2022

  • Une soixantaine de tombes dégradées dans le plus grand cimetière de Nîmes. Des statues, des croix du Christ, des plaques ont été arrachés des pierres tombales.

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

    Une soixantaine de tombes dégradées dans le plus grand cimetière de Nîmes

    « Faire ça à quelques jours de la Toussaint, je suis outrée. C’est révoltant. » Dans les allées du cimetière du Pont-de-Justice, à Nîmes, le chef-lieu du Gard, Elisabeth (elle n’a pas souhaité donné son nom), venue nettoyer le caveau familial, ne cache pas sa colère, ce dimanche. Quelques jours plus tôt, dans la nuit de mercredi 26 à jeudi 27 octobre, une soixantaine de monuments funéraires ont été dégradés. Des statues, des croix du Christ, des plaques ont été arrachés des pierres tombales. Sur certaines stèles, il ne reste qu’une trace en forme de croix, et quatre trous. Tous les objets funéraires ont disparu. Ils ont été dévissés.

    (…)

    Selon les premiers éléments de l’enquête, rapportés par Christine Tournier-Barnier, conseillère municipale déléguée à l’administration générale, les motifs de ces actes porteraient sur « un trafic de vol de bronze »« Ce sont des symboles en bronze qui ont été en priorité volés, des objets qui se revendent bien. Une vierge a aussi été dérobée mais elle a été retrouvée dans un fossé. Elle devait être trop lourde. » Une enquête est en cours, des empreintes ont été prises pour tenter de retrouver les voleurs. Jamais la ville n’a connu de tels actes de vandalisme dans ses cimetières.

    www.lemonde.fr via fdesouche

  • Nîmes : une mutinerie au centre de rétention administrative (structure qui abrite des clandestins) dimanche soir, plusieurs tentatives d’évasion

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2022

    Plusieurs détenus ont mis le feu à leur matelas, ce dimanche soir, après des tentatives d’évasion. La police a dû intervenir pour ramener le calme.

    Nouvelle journée de tensions, ce dimanche, au centre de rétention administrative de Nîmes. Plusieurs détenus ont mis, le soir, le feu à leur matelas. Une mutinerie qui fait suite à des tentatives d’évasions, ce week-end.

    Les pompiers sont intervenus pour maîtriser les flammes ; les policiers, eux, pour ramener le calme. Le syndicat Alliance police 30 demande une baisse des retenus au sein de la structure, confrontée, depuis plusieurs semaines, à des incidents.

    France Bleu via fdesouche

  • Nîmes (30). Six ans de prison pour le Comorien qui prostituait une lycéenne de 14 ans

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Cette sordide affaire de prostitution de mineure aurait eu toute sa place devant la cour d’assises. Mais c’est finalement par opportunité qu’elle a été examinée par le tribunal correctionnel.

    Durant toute l’audience, le mis en cause assure avoir simplement “voulu aider” cette jeune fille alors en fugue, en lui offrant une chambre d’hôtel et en mettant à sa disposition un téléphone portable.

    Durant ses absences, Nassourdine faisait “ garder ” Nina par un tiers : une autre adolescente du même âge, alors chargée, d’après ses déclarations aux enquêteurs, de récupérer puis de remettre l’argent des passes à Nassourdine en personne. “Elle ment !”, s’agace le prévenu, soupçonné par ailleurs d’avoir “offert” – sans exiger de contrepartie cette fois-ci – les services de Nina à deux de ses connaissances.

    Midi libre via fdesouche

  • Nîmes : Sonia, une jeune policière adjointe échangeait des messages sur Snapchat avec des détenus, elle est interdite d’exercer

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nïmes échangeait des messages avec deux détenus qui avaient des téléphones portables en prison. La jeune femme est condamnée à six mois de prison assorti d’un sursis. Le tribunal a prononcé une interdiction d’exercer la fonction de policier ou de gendarme pendant cinq ans.

    Sonia (le prénom a été modifié), jeune policière adjointe à Nîmes n’a pas su ou pas voulu couper les ponts avec ses amis du Chemin-Bas-d’Avignon. Des téléphones appartenant à des amis du quartier en détention et connus pour leurs antécédents judiciaires ont été saisis en septembre 2021 lors d’une fouille en prison. 

    Un officier de police judiciaire a découvert que l’une des personnes contactées avec ces téléphones portables était une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nîmes. L’un des détenus lui annonçait qu’il allait être placé en garde à vue. “T’es sûr ? C’est bon. T’inquiètes. Tu as besoin de quoi ? J’y serai à 6 heures (NDLR : au commissariat) “, lui répond la jeune femme après avoir vérifié l’information sur le registre des gardés à vue.

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche