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orban - Page 2

  • Hongrie : Viktor Orban a lancé une politique nataliste à grand frais pour doper la démographie de souche

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Voyage dans la Hongrie de Viktor Orban : familles, je vous paie…

    Derrière ses murs de barbelés de la frontière serbo-hongroise, qui depuis 2015 coupent aux migrants la route vers l’Union européenne, le pays multiplie les incitations à investir dans la layette. Les jeunes mariés peuvent prétendre au « chok ». Ce système de prêt à taux réduit de 10 millions de forints (soit 30 000 euros) pour l’achat d’un logement neuf devient de plus en plus avantageux à mesure que la famille s’agrandit. Au troisième bébé, les mensualités sont automatiquement remboursées. Les mères de quatre enfants ou plus se voient exonérées d’impôt sur le revenu, et les grandes tribus ne payent plus ni cantine ni manuels scolaires. « Si on fait un petit dernier, je l’appellerai Chokie… » blague ce quinquagénaire, photographe à Budapest, à la tête d’une famille recomposée. (…)

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Hongrie : Viktor Orban dénonce l’attitude « ennemie » de l’Union européenne. « Bruxelles ferait bien de comprendre que même les communistes n’ont pas réussi à nous avoir »

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Viktor Orban hausse le ton. Le Premier ministre hongrois, en meeting à Budapest à six mois des législatives qui s’annoncent serrées, a dénoncé samedi 23 octobre l’attitude de l’Union européenne envers son pays et la Pologne, digne de l’URSS selon lui. “L’Union européenne nous parle et se comporte avec nous et les Polonais comme des ennemis”, a-t-il lancé, devant une foule de sympathisants, massés pour un rassemblement à l’occasion de la fête nationale qui commémore le soulèvement de la Hongrie contre l’URSS en 1956.

    “Bruxelles ferait bien de comprendre que même les communistes n’ont pas réussi à nous avoir. Nous sommes le David que Goliath ferait mieux d’éviter”, a-t-il ajouté, affichant son soutien à Varsovie dans le conflit qui l’oppose à Bruxelles sur l’indépendance des tribunaux et la primauté du droit européen.

    Plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient fait le déplacement et défilé auparavant dans les rues de la capitale.

    Franceinfo via fdesouche

  • Le coup de poing d’Orban à l’immigration invasion

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2020

    Selon ce que rapporte le quotidien allemand  Der Spiegel, seulement 60 migrants ont obtenu de Budapest le permis de rester sur le sol hongrois en 2019 contre 1200 en 2017 et 327 en 2018. La politique anti-immigration de Viktor Orban porte ses fruits : non seulement les flux ont diminué, mais les demandes d’asile ont chuté parallèlement à des refus en augmentation.

    La Hongrie a rendu la possibilité de rentrer sur son sol et d’y rester plus difficile et a ainsi mis un terme à l’appel d’air que constitue un droit d’asile sans aucune limite : depuis l’année 2019, la gestion du système migratoire a été confiée exclusivement à la police et les demandes d’asile ne peuvent plus être présentées que dans deux check-point proches de la frontière serbe. Ces deux éléments ont influé sur les demandes effectivement déposées.

    Nonobstant que la Hongrie soit une des frontières de l’Europe, elle a réussi à être le pays qui a accueilli le moins de migrants de toute l’Union Européenne. Ce bilan a provoqué la colère de Bruxelles qui a demandé à Budapest de changer ses procédures et surtout d’avoir une approche ouverte vis-à-vis de l’immigration. Sans beaucoup de succès, Orban ne semblant pas intimidé par le courroux bruxellois ni prêt à abandonner sa ligne anti-immigration, la population hongroise étant derrière lui.

    La forte croissance économique et l’amélioration du train de vie des Hongrois ont en effet poussé ces derniers à soutenir les politiques du Fidesz, malgré les sévères critiques venues des cercles européens et les campagnes médiatiques contre Orban.

    Jeudi dernier, lors d’une inspection de la barrière frontalière avec son homologue slovaque, Peter Pellegrini, le chef d’État hongrois a évoqué les mensonges médiatiques sur l’immigration en rappelant que 95 % des clandestins qui arrivent en Europe sont des hommes jeunes, en âge de travailler, et non des familles avec femmes et enfants. Il a pareillement souligné la pression migratoire croissante à la frontière sud de la Hongrie et la réalité de cette invasion : “Il est interdit de le dire en Europe, mais il s’agit d’une invasion organisée”, a-t-il déclaré, assistée par « des organisations de traite à moitié humaines se faisant appeler des ONG » bénéficiant de l’aide de grands financiers.

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • UE : Victor Orban critique les «graves erreurs» des dirigeants européens concernant l’immigration et l’économie

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2019

    Par  le 28/07/2019

    Le Premier ministre hongrois a estimé samedi que l’Union Européenne avait fait de «graves erreurs» au cours des cinq dernières années concernant l’immigration et l’économie

    En visite en Roumanie à l’occasion d’un festival culturel hongrois dans la ville de Baile Tusnad, Victor Orban a déclaré que la Commission Européenne devait permettre à un Conseil des ministres de l’Intérieur européens de décider des problèmes migratoires, comparant son rôle à celui de l’Eurogroupe qui regroupe les ministres des Finances des pays de la zone euro.

    Orban s’en est également pris à ce qu’il a appelé le «militantisme politique» de la Commission Européenne, qui a lancé plusieurs procédures à l’encontre du gouvernement hongrois sur des sujets où celui-ci est considéré comme contrevenant aux règles européennes […], au nombre desquels on trouve des lois perçues comme limitant les droits des demandeurs d’asile […].

    «La Commission doit être le gardien des accords européens et cesser le militantisme politique», a affirmé Orban. «Elle n’est pas une formation politique, elle ne devrait pas avoir de programme ni lancer d’attaques contre des Etats membres.»

    Orban doit rencontrer jeudi à Bruxelles Ursula von der Leyen, la prochaine Présidente de la Commission Européenne. Orban a soutenu sa candidature et indiqué qu’il attendait d’elle une attitude plus conciliante envers la Hongrie et d’autres pays de la région qui s’opposent souvent à la position majoritaire de l’UE sur des sujets comme l’immigration ou les normes environnementales.

    La Hongrie fait aussi face à une procédure dite de l’article 7 […] que le gouvernement hongrois estime être motivée, comme toutes les critiques dont il a fait l’objet ces quatre dernières années, par sa politique de «tolérance zéro» à l’égard de l’immigration, notamment musulmane.

    Dans le domaine économique, Orban considère qu’il est temps de retrouver un idéal «d’économie européenne compétitive», avec davantage de créations d’emploi et «des baisses de taxes partout.»
    […]

    Orban […] a consacré environ la moitié de son intervention de 52 minutes au thème [de la démocratie libérale]. Il a estimé que la liberté chrétienne était attaquée à la fois sur le plan intérieur, par la volonté d’abandon de la culture chrétienne, et sur le plan extérieur, par l’immigration.

    «La conséquence, si ce n’est le but de l’immigration est de détruire l’Europe telle que nous l’avons connue,» a prévenu Orban.

     

    Orban, qui est âgé de 56 ans et a été élu pour un troisième mandat consécutif de quatre ans, et quatrième mandat en tout, en avril 2018, a estimé que la seule façon de renforcer la Hongrie dans les quinze ans à venir était de s’opposer «au Zeitgeist progressiste et à l’internationalisme progressiste.»

     

    AP via fdesouche