Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2019
Auteur : Michel Janva
L’étendard portant les Noms de Jésus et de Marie a été brisé ! Voici la statue de la sainte de la patrie, place des Pyramides à Paris :
Avant :
Source : lesalonbeige
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Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2019
L’étendard portant les Noms de Jésus et de Marie a été brisé ! Voici la statue de la sainte de la patrie, place des Pyramides à Paris :
Avant :
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2019
Paris championne des inégalités ? C’est vrai pour l’accès à la propriété, mais aussi dans les établissements scolaires. (…)
Pour y remédier, le groupe propose à l’occasion du Conseil de Paris qui débute ce mardi la mise en place d’un bonus-malus dans les collèges de la capitale. Plus précisément, les élus souhaitent que le budget fourni à chaque établissement varie en fonction de son niveau de mixité sociale. La proposition est soutenue par les écologistes, La France Insoumise et les Radicaux. (…)
Plus de mixité sociale pour un meilleur apprentissage
Pour le groupe d’extrême gauche [PC-FdG], défendre la mixité sociale doit permettre d’éviter les stratégies d’évitement scolaire mis en place par certains parents. Un choix dénoncé par le groupe écologiste qui se dit favorable à cette proposition. « De plus en plus de familles aux revenus moyens préfèrent mettre leurs enfants dans le privé pensant qu’ils auront plus de chances pour leur avenir », souligne Fatoumata Koné, vice-présidente du groupe dans le XIXe arrondissement. « Ça pose la question de la fraternité », abonde l’élu communiste. (…)
20 Minutes via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2019
Relayée par plusieurs médias, la rumeur d’ouverture d’une nouvelle salle est démentie par la mairie de Paris, même si l’entourage d’Anne Hidalgo reconnaît le bilan « très positif » du premier dispositif. Un point sur l’expérimentation doit être fait « à la rentrée », par un groupe de travail qui doit « regarder s’il y a un besoin de nouvelle salle ».
« Il n’en est pas question », martèle de son côté Emmanuel Grégoire. Les lieux de repos prévus par le plan « ne sont pas des lieux de consommation mais des lieux d’accueil bienveillants », insiste le premier adjoint. Toutefois, une « zone de tolérance » pour fumer du crack autour de certains lieux de repos avec une présence plus souple de la police est envisagée, assurent plusieurs sources.
Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2019
Dans un article publié sur le Hufftington Post, on découvre le terrible quotidien des habitants du 18ème arrondissement et du nord du 10ème à Paris : insécurité, saleté, trafics, disparition de la mixité femmes-hommes, toxicomanie, rixes, prostitution… L’article est écrit par
Si chaque quartier concerné a des spécificités, tous ont en commun de souffrir de maux devenus endémiques et dont la liste est longue comme une nuit sans fin: insécurité, saleté, incivilités, trafics en tous genres, toxicomanie, rixes, prostitution, ghettoïsation, disparition progressive de la mixité femmes-hommes… […]
A Château Rouge, où pourtant une association de quartier a réussi le tour de force de faire condamner la Ville de Paris et l’Etat pour “carence fautive”, une habitante dresse un tableau bien sombre: saleté, captation de l’espace public, infraction aux lois, commerçants indélicats et prostitution; à Barbès ce sont les vendeurs de cigarettes de contrefaçon “Marboro bled” et les vols à l’arraché au pied de la station du métro; à la Goutte d’or: une jeune commerçante dénonce le trafic de drogues et autres pratiques illégales qui découragent tous ceux qui veulent faire vivre ce quartier pacifiquement; à La Chapelle où des groupes communautaires rivaux se disputent l’occupation des trottoirs parfois à coups de couteau et barres de fer, la vie est devenue “un véritable enfer” pour les riverains. S’y frayer un passage au milieu d’attroupements composés uniquement d’hommes représente pour une femme une épreuve quotidienne: l’engagement des politiques, venus dans le quartier, en 2017, afficher leur soutien aux femmes et dire leur indignation lorsque ce sujet faisait la Une des journaux, n’aura été qu’un feu de paille. Quant à la station de métro du même nom, essayer d’y entrer ou d’en sortir sans être agressé relève de l’exploit. Et ce n’est pas par hasard que celles et ceux qui sont obligés d’emprunter le souterrain qui mène à la Gare du Nord l’ont baptisé “passage de l’angoisse” ou “couloir de la mort”. Sans parler de la fameuse “colline du crack” et des campements où s’entassent des migrants dans des conditions indignes, un peu plus loin au Nord. Du côté des rues Pajol et Philippe de Girard, les habitants n’en peuvent plus des déchets laissés sur place après les distributions alimentaires assurées par certaines associations dont les motivations idéologiques font question. Près de l’hôpital Lariboisière, la SCMR communément dite “salle de shoot” -qui, les riverains en conviennent, entend répondre à un problème sérieux de santé publique- les nuisances à l’extérieur, de jour comme de nuit, se sont multipliées: deal et consommation de rue, bagarres entre dealers, incivilités, commerces obligés de mettre la clé sous la porte, etc. Autant de problèmes qui s’étendent par capillarité jusqu’à la Gare de l’Est et le voisinage de la rue Lafayette. Que dire enfin des abords immédiats de la Gare du Nord? Sinon qu’ils sont un vaste cloaque à la porte de la première gare d’Europe.
A cela, ajoutons la disparition des commerces traditionnels de proximité au profit de la mono-activité (téléphones portables, vêtements de mariage, produits “exotiques”…), la multiplication d’officines multifonctions mêlant téléphones mobiles recyclés, produits alimentaires, alcools, bar à chicha et trafics en tous genres. […]
De ce rapide panorama, il ressort qu’une “ghettoïsation” s’est installée, avec le risque fort que s’amenuise la mixité sociale caractéristique de ce Nord-Est de Paris, à laquelle les habitants sont attachés. Face à l’inertie des pouvoirs public qui, jusqu’ici, ont fermé les yeux sur la gravité de la situation, les moins optimistes en viennent à penser qu’ils vivent dans des “territoires perdus de la République”. […]
C’est la “théorie” du grand remplacement…
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2019
En 1983, aux élections municipales de Paris,Jean Marie Le Pen obtenait le premier succès électoral de l'histoire du Front National. En 2019 Marine Le Pen annonce qu'il n'y aura pas de liste RN à Paris aux prochaines municipales. La boucle est bouclée.