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paris - Page 23

  • Municipales à Paris : Mohamed M. Barki, candidat LREM dans le 18e vit dans un logement social alors que lui et sa compagne possèdent 2 appartements

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2020

    Par  le 13/03/2020

    Paris. Un candidat LREM aux municipales habite dans un logement social alors qu’il est propriétaire

    Un candidat sur la liste LREM du XVIIIe arrondissement de Paris bénéficie d’un logement social alors qu’il est propriétaire d’un appartement. Sa compagne est également propriétaire d’un autre bien. Il affirme que le bailleur social connaissait sa situation au moment de lui octroyer l’appartement. Pierre-Yves Bournazel, tête de liste LREM de l’arrondissement, nie avoir eu connaissance de la situation.

    […]

    Ouest France


    Mohamed Midani M Barki, figure de Montmartre et candidat LREM sur la liste de Pierre-Yves Bournazel, est logé en HLM tout en étant propriétaire dans le quartier. Il s’explique.

    […]

    il est aussi propriétaire d’un appartement place du Tertre (XVIIIe). Il en avait « un autre de 30 m2, mais, explique l’intéressé, je l’ai vendu ». Combien ? « Au prix du marché », explique l’intéressé.

    […]

    Le Parisien

     
  • Paris : la délinquance s’envole par rapport au reste du pays, parts croissantes des étrangers et mineurs non accompagnés

    Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2020

    Par  le 30/01/2020

    […]
    À bien regarder les chiffres de la base des crimes et délits enregistrés par la police et la gendarmerie depuis 2015, on constate une différence frappante entre Paris et la France sur les vols et les cambriolages.

    « On ne nie pas la réalité des chiffres, mais il y a des spécificités parisiennes, notamment la part croissante des étrangers auteurs dans les faits constatés (48 % l’an dernier à Paris contre moins de 20 % hors de l’Ile-de-France), la part grandissante de mineurs non accompagnés, et dans certains quartiers une fixation de délinquance low cost due à des poches de grande misère », résume Valérie Martineau.

    Un constat à nuancer

    Pour Laurent Mucchielli, sociologue spécialisé dans les questions de sécurité, directeur de recherches au CNRS, la pointe de l’iceberg ne dessine pas le bloc de glace. « Les statistiques ne constituent pas un enregistrement direct de la réalité, mais sont le résultat du travail des policiers », rappelle le chercheur.
    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Hidalgo candidate pour finir le job

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    hidalgo candidate,paris

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    @JeanFranoisTou1
     
    Hidalgo candidate pour finir le job : il reste bien encore quelques rues à saloper, quelques milliers de rats à introduire, quelques quartiers à transformer en coupe-gorges, quelques automobilistes à éradiquer et 10 ou 15 centres pour migrants à créer. #Paris2020 #Hidalgo2020
  • PARIS, CAPITALE DU TIERS MONDE

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2019

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 24, 2019, 12:27

    Des statistiques portant sur la criminalité à Paris viennent d’être publiées.

    Elles sont absolument accablantes.

    Elles montrent un accroissement très net d’une année sur l’autre dans tous les domaines : vols, vols avec violence, agressions, cambriolages. Paris est devenue l’une des capitales les moins sûres du monde développé.

    Si la criminalité à Paris augmente, le taux d’élucidation des crimes, lui, diminue, et on peut aisément voir là une relation de cause à effet : un criminel qui pense avoir peu de risques de se faire prendre et d’être sanctionné est bien davantage incité à commettre un crime que s’il pense qu’il se fera prendre et sera sanctionné.

    Sous-jacent à cela, on peut discerner une multitude de facteurs : l’inefficacité de la police, qui manque de moyens et d’effectifs, et qui se trouve souvent affectée à d’autres tâches que la sécurité de la population, une justice de plus en plus politisée et de plus en plus laxiste, la présence dans Paris ou sur son pourtour immédiat de bidonvilles résultant de la présence croissante d’immigrants illégaux.

    La criminalité et l’ensemble des facteurs que je viens d’énumérer créent pour ceux qui vivent à Paris une existence quotidienne de plus en plus pénible et de plus en plus désagréable.

    Et c’est sans prendre en compte d’autres facteurs : les manifestations qui sporadiquement s’achèvent en émeutes, les grèves qui bloquent les transports collectifs, la quasi-impossibilité pendant les grèves d’utiliser un véhicule automobile en raison de l’asphyxie délibérée de la circulation par les autorités de la ville (et même quand il n’y a pas de grèves, circuler en voiture dans Paris est devenu très difficile, et trouver une place de stationnement plus difficile encore).

    Des touristes viennent toujours, attirés par les images d’un Paris d’autrefois qui a pourtant d’ores et déjà presque disparu. Il reste des monuments.

    Il n’y a plus d’harmonie urbaine : des édifices hideux sont venus dépareiller l’architecture de quartiers entiers.

    Et quand, en raison de l’insécurité ambiante, des touristes se font agresser ou dévaliser, Paris leur laisse un souvenir impérissable, mais pas du tout celui auquel ils s’attendaient.

    J’ai longtemps vécu à Paris. Je vis désormais très loin. Je ne reviens à Paris que de manière brève (deux ou trois jours) et pour des motifs précis.

    Je ne reconnais plus la ville dans laquelle j’ai vécu.

    Je suis triste pour les gens qui y vivent et qui subissent tout ce que je viens de décrire, mais je constate aussi que, lors des élections municipales, ceux qui ont fait de Paris une ville d’insécurité et qui l’ont enlaidie sont non seulement réélus, mais gagnent du terrain.

    J’ai beaucoup de mal à comprendre que des gens puissent voter pour subir.

    L’explication qui m’a longtemps semblé la plus pertinente était que le nombre d’électeurs parisiens vivant d’assistances diverses s’accroissait, et que s’opérait un phénomène classique de marché politique et d’achat des voix des uns avec l’argent des autres.

    Mais cette explication ne tient pas : si Paris devenait une ville d’assistés, les prix dans le secteur immobilier s’effondreraient.

    Or, ce n’est pas le cas.

    L’explication essentielle réside aujourd’hui à mes yeux dans la mentalité de gauche et dans un lavage de cerveau permanent qui permet à celle-ci de s’épandre.

    Pour les tenants de cette mentalité, l’insécurité est un problème, mais « la répression n’est pas la solution » – et il n’y a sans doute pas de solution.

    Et si, comme c’est à l’évidence le cas, l’insécurité vient de l’immigration incontrôlée, c’est un problème aussi, mais « il faut avoir de la compassion pour des gens qui viennent du monde pauvre et qui ont une existence misérable ».

    Ce qu’on trouve à Paris se retrouve, à moindre degré, dans d’autres villes de France, et, à moindre degré aussi, dans d’autres capitales d’Europe.

    Les États-Unis eux-mêmes sont touchés, et San Francisco, Los Angeles, Chicago, New York suivent la même voie sans issue que Paris, qui devient peu à peu une capitale du tiers-monde, sans que ses habitants semblent tous s’en apercevoir.

    Quand j’étais adolescent, et encore influencé par mes professeurs de gauche au lycée, je pensais que la gauche, c’était la générosité.

    Je sais maintenant que la gauche détruit et salit tout ce qu’elle touche.

     

    Source : les4verites

  • Municipales à Paris. Générations présente ses priorités : migrants, mixité sociale, logements sociaux, écologie et démocratie locale

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2019

    Par  le 19/10/2019

    Ce vendredi 18 octobre, le mouvement Générations, mouvement fondé par Benoît Hamon, a présenté ses chefs de file pour les municipales parisiennes. Parmi les 17 chefs de file, on trouve 15 femmes. Le mouvement a également présenté ses cinq priorités pour Paris : un accueil renforcé des migrants, la mixité sociale, le logements sociaux (objectif 30%) , l’écologie et la démocratie locale.

    Générations, qui revendique 1 100 adhérents dans la capitale et huit conseillers de Paris dans la majorité de Mme Hidalgo, affirme seulement débuter les discussions avec les socialistes et les communistes en vue d’une éventuelle alliance dès le premier tour. Le PCF a présenté ses priorités mardi, dont plusieurs sont similaires à celles de Générations. […]

    ouest-france via fdesouche