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squat - Page 2

  • Tours : un propriétaire change les serrures de son bien squatté par des migrants, les associations parlent d’un « acte malveillant » et portent plainte

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2020

    Par  le 24/03/2020

    Alors que depuis le 17 mars 2020, la vingtaine de jeunes migrants qui dormaient au squat le plan B à Tours avaient été pris en charge par la DDCS (Direction Départementale de la Cohésion Sociale), les bénévoles du collectif qui vient en aide aux mineurs étrangers non accompagnés sont inquiets.

    En effet ils ont découvert que les serrures du squat ouvert depuis fin 2018 dans le quartier Velpeau ont été changées, visiblement par le propriétaire des lieux. Ce dernier aurait en effet profité de l’absence d’occupation des locaux pour faire changer les verrous, empêchant les jeunes et les bénévoles d’y revenir et ce malgré la présence d’affaires personnelles encore dedans.

    Pour les bénévoles du collectif de soutien, cette action relève d’un « acte malveillant » et les bénévoles expliquent avoir déposer une plainte. Ils s’appuient notamment sur le fait que les lieux étaient occupés, et qu’une procédure judiciaire est actuellement en cours (l’audience qui avait été renvoyée se tiendra normalement le 7 mai).

     

    (…) Info Tours via fdesouche

  • Toulouse : À l’intérieur du plus grand squat clandestin parti en fumée

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2020

    Aquarius antifas squat

    Un incendie s’est déclaré, mardi 4 février au 44 avenue de Muret. Un squat géré par des associations d’extrême gauche regroupant plusieurs centaines de clandestins. Nos équipes s’étaient rendus sur place en novembre dernier. 

    Le 23 novembre dernier, les associations d’extrême gauche occupant illégalement les anciens locaux d’Enedis au 44 avenue de Muret, organisaient des journées portes ouvertes. L’occasion pour Infos-Toulouse d’aller voir le plus grand squat de la ville et de dresser un aperçu de ce lieu de vie clandestin. Il est important de préciser que malgré la mention « portes ouvertes » l’accès aux niveaux supérieurs, composés notamment de 275 chambres, était interdit aux visiteurs sans explication. Le rez-de-chaussée comportant plusieurs salles communes et aménagées pour l’occasion pouvaient cependant être visitées. 

    Un centre d’accueil pour clandestin

    Beaucoup de résidents du squat ne parlent pas français ou très mal. La maîtrise de la langue est d’ailleurs un véritable problème pour communiquer avec ces immigrés. En effet, il s’agit d’un obstacle de taille dans les démarches d’obtention des titres de séjours et autres papiers administratifs. À ce titre, la plupart d’entre eux sont en situation irrégulière.

    Lire aussi : Jean-Luc Moudenc interdit les campements sauvages dans le centre-ville

    Pour faire face à ce problème, l’association Saveurs d’exil propose des services de traiteurs sur Ebay. 21 militants d’extrême gauche et clandestins,  cuisinent et animent des buffets. Les bénéfices leurs sont ensuite reversés et permettent le défraiement de professeurs de français bénévoles. Les migrants profitent de deux heures de cours particulier, trois fois par semaine, censés leur apporter les bases de la langue française.

    « Des familles réfugiées », vraiment ? 

    Si beaucoup de militants associatifs présentent ces centaines de squatteurs comme des familles de réfugiés, fuyant les pays ravagés par la guerre, dans les faits il n’en est rien. Ainsi, les femmes et les enfants du squat ne dépassent pas la vingtaine d’individus. Pour le reste il s’agit de jeunes hommes, seuls pour la plupart.

    En discutant avec certains d’entre eux sur les raisons pour lesquelles ils migrent vers la France, les motivations personnelles, loin de celles alléguées par leurs soutiens, sont les principaux moteurs de leur venue en Europe.

    Lire aussi : Toulouse. Un squat pour clandestins toléré par les pouvoirs publics

    Omar (le prénom a été modifié) est arrivé du Soudan à bord d’une embarcation de fortune en se fiant à ceux qui lui vendaient l’Europe et la France comme le nouvel eldorado. Il fuyait « une situation familiale compliquée et était déjà passé par d’autres pays africains ou encore l’Arabie Saoudite », desquels il avait été rejeté. À présent, comme beaucoup d’autres habitants du squat, il considère que « les aides sociales de la France sont loin d’être à la hauteur de nos espérances ».

    Victime de cette désillusion, ils se contentent de vivoter sur les aides accordées et réclament plus de solidarité financière de la part des institutions françaises, non contents d’avoir un logement quand certains français doivent passer l’hiver sur le pavé.

    Des squats très politiques

    Les militants associatifs d’extrême gauche constituent leur premier soutien, et il n’est pas étonnant d’en croiser sur place. À l’occasion des portes ouvertes nous avions pu discuter avec l’une d’entre eux. Malgré son état légèrement alcoolisée, elle a pu nous exprimer son point de vue sur les squats qu’elle fréquente assidûment. Selon elle, il s’agit « aussi bien de lieux de vie que de lieux politiques ». Pour le reste, elle se sera contenté de répéter les grands principes humanitaires déjà écrit sur des pancartes censées faire office de décoration pour l’occasion.

    Lire aussi : Dans l’enfer des squats à Montpellier

    Si l’incendie de ces locaux permet de mettre en lumière un problème jusqu’alors négligé par les autorités, aujourd’hui, ce sont près de 500 clandestins selon les associations, et 700 selon France Bleu, que la préfecture va devoir reloger dans les gymnases toulousains. 

    L’incendie a mobilisé près de 70 pompiers. Aucun blessé n’est à déplorer. L’enquête devra déterminer l’origine de ce sinistre. Il n’est pas sans rappeler l’incendie du 8 mars 2017, au plus grand squat toulousain d’alors, situé dans le quartier des Arènes. 400 sans-papiers y étaient logés dans des conditions d’insalubrité et d’hygiène déplorable, causant notamment le ras-le-bol des riverainsDes coups de feu avaient retentis quelques semaines plus tard, avant que les bâtiments soient évacués par les services de police. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Bonneuil-sur-Marne (94): elle se plaint du squat de son hall, sa chienne est exécutée

    Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2020

    Par  le 09/01/2020

    Mercredi en fin d’après-midi à Bonneuil-sur-Marne, un individu dont le visage était dissimulé a poignardé à mort un Malinois alors que sa propriétaire le promenait en laisse.

    Elle craignait des représailles. Mais elle ne s’attendait certainement pas à une telle cruauté. Une habitante de Bonneuil a assisté à l’exécution de sa chienne mercredi en fin d’après-midi quasiment devant chez elle.

    […]

    Pour les squatteurs, c’était une évidence. C’était bien la propriétaire du chien qui appelait régulièrement la police. Ces trois derniers jours, ils auraient à plusieurs reprises essayé de l’intimider en lui répétant qu’elle pouvait téléphoner aux forces de l’ordre tant qu’elle voulait et que de toute façon ils resteraient là dans ce hall d’immeuble.

    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Montpellier. Un squat d’extrême gauche hébergeait un réseau de cambrioleurs albanais

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2019

     21 juin 2019

     

    albanais
     

    21/06/2019 – 17h20 Montpellier (Lengadoc Info) – L’opération de gendarmerie menée cette semaine dans le quartier des Arceaux à Montpellier contre un réseau de cambrioleurs albanais a permis de révéler que certains des membres de ce réseau étaient, en fait, logés dans un squat tenu par des militants d’extrême gauche.

    Quatre interpellés au squat CSA Bonnard

    C’est un important coup de filet qui a eu lieu ce mercredi dans le quartier des Arceaux à Montpellier. La gendarmerie appuyée par le GIGN et la police nationale a mené une opération pour démanteler un réseau de cambrioleurs albanais qui sévissait dans le département de l’Hérault depuis un certain temps.

    Cette opération a eu lieu dans deux squats. Le premier, situé rue du Faubourg Saint Jaumes a été expulsé et une dizaine de personnes ont été interpellées. Mais le deuxième squat, situé rue Bonnard, était en réalité un squat tenu par des militants d’extrême gauche : le Centre Social Autogéré (CSA) Bonnard.

    Dans un communiqué publié sur leur page Facebook les squatteurs expliquent comment des policiers se sont présentés à l’entrée du CSA avec « un des habitants du CSA menotté car interpellé peu de temps avant pour une histoire de cambriolage afin de perquisitionner sa chambre ». Lors de cette perquisition ce sont en tout quatre squatteurs qui ont été interpellés, « essentiellement des Albanais » précise le communiqué.

    Le CSA Bonnard, un squat militant et antifa

    Le « Centre Social Autogéré Bonnard » n’est pas un simple squat de SDF et de migrants comme il en existe plusieurs à Montpellier. Avec la disparition du squat le Royal, le CSA Bonnard est un squat « politique », c’est à dire qu’il sert de lieu d’habitation mais également de lieu de réunion pour certaines organisations d’extrême gauche.

    Le CSA a, par exemple, servi de lieu pour des soirées des groupes antifa « Montellier Antifasciste et Populaire » et « Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault ». Le lieu a également servi à une soirée « contre la répression » organisée, entre autres, par l’Assemblée des Gilets Jaunes 34, une structure « gilet jaune » particulièrement infiltrée par des militants d’extrême gauche.

    Photos : DR/ CSA Bonnard

     

    Source : lengadoc-info