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toulouse - Page 6

  • Toulouse : le fléau des agressions à l’arme blanche

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2024

    Les attaques au couteau semblent se multiplier. Recrudescence de ces faits ou effet loupe de la surmédiatisation ? Décryptage d’un phénomène visible mais difficile à quantifier.

    Elles font des centaines de blessés chaque année dans nos rues, les agressions à l’arme blanche effraient autant qu’elles choquent l’opinion publique. Le meurtre de Thomas dans un bal à Crépol en novembre, ou celui d’un père de famille de Muret, tué par un ado de 15 ans, début avril, en sont les funestes illustrations.

    D’après l’Insee qui a basé son rapport sur des enquêtes de victimation, 44 000 personnes ont été victimes d’agressions à l’arme blanche entre 2015 et 2017. Une note confidentielle de la Direction nationale de la police judiciaire avance qu’en 2019 “la totalité des actes terroristes ont été commis à l’aide d’une arme blanche, idem pour 58 % des homicides liés aux rivalités entre bandes”.

    Phénomène « préoccupant » à Toulouse

    Dans la Ville rose, les blessures par armes blanches ne concernent pas seulement les quartiers sensibles, comme la place Anthonioz de Gaulle. Elles intervenaient encore récemment aux alentours de la gare Matabiau. Depuis début 2024, une trentaine d’individus ont été appréhendés en possession d’armes blanches par la police municipale : “Ce sujet est préoccupant, on ne le découvre pas” rappelle Emilion Esnault, adjoint au maire en charge de la sécurité.

    (…) “Ce type d’attaques est souvent dû à des règlements de comptes entre dealers ou vendeurs de cigarettes à la sauvette, ou des intimidations entre mineurs non accompagnés” et en centre-ville, “les rixes entre marginaux constituent le gros du volume des affaires.”

    La Dépêche via fdesouche

  • Deux étudiantes poursuivies pour avoir collé des affiches pro-vie

    Publié par Guy de Laferrière le 08 mai 2024

    Deux étudiantes poursuivies pour avoir collé des affiches pro-vie

    Au mois de mars, Jeanne et Amélie, étudiantes à Toulouse, ont été surprises par une équipe de policiers, alors qu’elles étaient en train en train de coller un message contre l’avortement.

    Elles ont été convoqués il y a 3 semaines et ont été auditionnées au commissariat. La mairie a porté plainte. Et elles doivent participer à une session de formation citoyenne afin de se réformer aux idées de la république…

    Deux nuits plus tard, leur message a été recouvert par les militants pro avortement, qui eux n’ont évidemment pas connu le même sort.

    Une cagnotte a été ouverte pour soutenir la défense les étudiantes poursuivies.

    Réaction de Laissez les Vivre SOS Futures Mères :

    Venant d’apprendre par la lecture du Salon Beige la condamnation à un stage de formation citoyenne de ces deux étudiantes toulousaines, l’association s’insurge contre des méthodes de lavage de cerveau dignes du Goulag et bien incompatibles avec ce qu’il reste de dits droits de l’homme dans notre pays. Si le fait de coller des affiches pro-vie expose à une condamnation c’est l’ensemble des manifestants des Marche pour la Vie qui pourrait être raflé. Dictature, dictature quand tu nous tiens.

     

    Source : lesalonbeige

  • Toulouse. “De longues minutes d’horreur” : une lycéenne de 16 ans enlevée à son arrêt de bus sous la menace d’un couteau puis violée, un suspect arrêté

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mai 2024

    Elle a vécu de longues minutes d’horreur, seule à seule, avec un prédateur. Une lycéenne de 16 ans a été victime d’une violente agression, lundi, en fin de journée. L’adolescente venait de terminer sa journée de cours et patientait à un arrêt de bus lorsqu’elle a été abordée par un homme.

    Ce dernier a prétexté vouloir passer un appel afin qu’elle lui prête son téléphone. La jeune fille ne s’est pas méfiée. Rapidement, l’agresseur a sorti un couteau et s’est mis à menacer la lycéenne.

    Il l’aurait contrainte à le suivre jusqu’à une voiture stationnée un peu plus loin et à monter dedans. Il l’a installée à l’arrière, l’a entravée avec la ceinture et un collier de serrage.

    L’homme a ensuite pris le volant pour se rendre dans un lieu isolé, à l’abri des regards. Toujours muni de sa lame, il aurait contraint sa victime à un acte sexuel. Le suspect, âgé de 26 ans, a pu être interpellé et placé en garde à vue.

    La Dépêche via fdesouche.

  • Toulouse. Un mort et un homme en urgence absolue après une fusillade à la sortie d’une discothèque

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2024

    Deux hommes ont été atteints par des coups de feu, vers 5h ce samedi 4 mai 2024, devant une discothèque, boulevard d’Atlanta. L’un d’eux est décédé. Le deuxième grièvement blessé a été transporté à l’hôpital en urgence absolue.

     Règlement de comptes, affaire liée aux stupéfiants ? L’enquête ne fait que commencer.

    France 3 via fdesouche

  • Toulouse : une mère et son fils dealer jettent 14.000 euros et 3 kilos de cannabis par la fenêtre lors d’une perquisition ; une seule peine (du sursis pour le fils) et l’argent est… restitué en raison d’un vice de procédure

    Publié par Guy de Laferrière le 20 janvier 2024

    (…) Il est 16 heures lorsque les forces de l’ordre toquent à la porte d’un appartement duquel émane un fumet caractéristique. « Ça sentait l’herbe à plein nez », souffle une source policière à Actu Toulouse. Une femme de 44 ans finit par ouvrir la porte.

    Elle fait part de son incompréhension. Son fils se trouve dans sa chambre. Peut-être est-il au courant ? Quand soudain une voix crépite dans le talkie-walkie : des paquets remplis d’herbe de cannabis sont en train d’être jeté depuis le fameux appartement.

    Les policiers en récupèrent 3 kg au total. Mais alors que les forces de l’ordre s’occupaient du fils de 25 ans, la mère disparaissait dans une autre pièce. Et les policiers au pied de l’immeuble voyaient cette fois… de l’argent tomber du ciel !

    « Il y avait 14 000 euros conditionnés en deux gros paquets », détaille notre source. « Tous deux connus des services », mère et fils ont échoué en garde à vue. Seul le jeune homme a finalement été déféré au parquet de Toulouse, mercredi 17 janvier 2024, en vue d’une comparution immédiate.      

    Actu Toulouse

    (…) Il a été condamné à 12 mois de prison avec sursis.

    En raison d’un vice de procédure relevé par l’avocate du jeune homme l’argent a été restitué à ce dernier. En effet, et malgré de récents et multiples allers-retours en Espagne prouvés par la téléphonie, le transport du cannabis et les probables importations n’ont pas pu être retenus. Il s’agit d’une erreur des policiers qui n’ont pas respecté le délai légal de trente minutes entre la perquisition et la notification des droits à l’individu placé en garde à vue.

    France Bleu