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toulouse - Page 6

  • Toulouse : Une interprète assermentée en langue arabe arrêtée, elle est soupçonnée d’avoir escroqué le tribunal en surfacturant ses prestations à hauteur de 10.000€ par mois

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mai 2023

    Une interprète en langue arabe assermentée vient d’être mise en examen. Cette traductrice inscrite auprès du tribunal correctionnel de Toulouse est soupçonnée d’avoir menti au ministère de la Justice pour percevoir des honoraires supplémentaires.

    (…)

    La Dépêche via fdesouche

  •  L'Autoroute A69 entre Toulouse et Castres ? Résolument contre...

    Publié par Guy de Laferrière le 24 avril 2023

    lafautearousseau

     L'Autoroute A69 entre Toulouse et Castres ? Résolument contre... On va engloutir les meilleures terres agricoles du Languedoc, abattre des dizaines d'arbres centenaires, bétonner encore plus et couper en deux des villages... et tout cela pour faire gagner quinze minutes (même si les "pro" disent que ce sera trente...), pour un prix exorbitant et faire un nouveau cadeau aux concessionnaires privés... Même si les "voisins d'opposition" ne sont pas forcément notre tasse de thé, ne laissons pas la révolte contre un projet "du passé/dépassé" aux mains des casseurs/terroristes/révolutionnaires...

    Le point de vue de Reporterre (dont nous ne partageons pas toujours les points de vue, justement) :

    https://reporterre.net/A69-les-raisons-de-la-colere-contre-l-autoroute-Toulouse-Castres

    Autoroute Castres Toulouse : l'annonce qui donne raison aux opposants | Le  Club

     

  • Toulouse : sous la menace d’un cutter, une bande retient et terrorise deux jeunes filles dans un appartement ; les suspects sont âgés de 15 à 26 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 20 avril 2023

    Même apeurées, elles ont réussi à alerter police secours. Lundi soir, vers 22 heures, les policiers de Toulouse ont reçu l’appel de deux jeunes filles, de 18 et 20 ans, en détresse expliquant qu’elles étaient retenues dans un appartement par des intrus.

    Quand les fonctionnaires ont frappé à la porte de ce logement du quartier de Lardenne, les deux victimes en ont surgi, fondant en larmes dans les bras l’une de l’autre. A l’intérieur, cinq jeunes – quatre garçons et une fille – dissimulés sous des cache-cous et des capuches. L’un d’eux était muni d’un cutter et venait d’extorquer sous la menace de la lame le téléphone dernier cri, la carte bancaire et le code d’une des plaignantes.

    Un des intrus connaissait les lieux

    La plus âgée des victimes connaissait vaguement un des membres de la bande qu’elle avait invité chez elle quelques jours auparavant après une rencontre en boîte de nuit. C’est donc sans méfiance qu’elle lui a ouvert sa porte et qu’il a pu rentrer dans les lieux avec ses complices. Les suspects, âgés de 15 à 26 ans, sont toujours en garde à vue ce mardi pour « extorsion aggravée en réunion ».

    20minutes.fr via fdesouche

  • À Toulouse, des étudiants d’extrême-gauche occupent la fac, brûlent des copies et pillent le Crous : ils exigent un 10/20 aux partiels. Même les communistes ne le supportent plus. (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2023

    18/04/23

    Une trentaine d’étudiants occupent un bâtiment de Toulouse-2 depuis le 8 mars et en profitent pour dégrader les lieux. Ils exigent d’obtenir 10/20 à tous les partiels.

    Difficile de savoir ce qui se passe concrètement dans le bâtiment «Gai Savoir», à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. Depuis le 8 mars, un petit groupe d’étudiants opposé à la réforme des retraites occupe jour et nuit un bâtiment de la faculté situé sur le campus du Mirail. Une mobilisation désormais isolée et contestée par la plupart des associations étudiantes, de droite comme de gauche.

    «Une trentaine d’étudiants occupent les locaux et le dégradent quotidiennement. Nous avons pu constater de nombreux tags, graffitis et du mobilier dégradé. L’odeur d’urine est insoutenable», décrit l’UNI, qui affirme avoir constaté les dégâts sur place. Des vols et violences ont également été relevés par le syndicat de droite. «Des objets appartenants à des professeurs comme à des étudiants ont été dérobés», précise l’UNI. Plusieurs copies d’examen – dont personne n’est en mesure d’affirmer si elles étaient vierges ou remplies – ont également été brûlées «symboliquement»«Nous avions un bâtiment tout neuf, il est désormais détruit et va nécessiter de nombreux travaux», poursuit l’Union nationale inter-universitaire.

    Le Figaro


    16/04/23

     Revendications ubuesques, salles de cours transformées en discothèque, les étudiants communistes critiquent vertement le virage de la mobilisation à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. “C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes

    « Nous n’avons pas peur de passer pour un syndicat jaune qui trahit la cause. On se devait de réagir et dénoncer ce qui ne va pas », ose Raphaël Montazaud, le président de l’union des étudiants communistes (UEC). L’élève en L2 en philosophie et ses camarades ne digèrent pas la tournure que prend le mouvement social au sein de l’université Jean-Jaurès à Toulouse ces derniers jours.

    « Depuis mercredi dernier, date de la dernière assemblée générale à la fac, il y a eu un glissement sur les revendications. La mobilisation ne tourne quasiment plus autour de la réforme des retraites. On est passé sur un mouvement de lutte pour mettre en place le 10 améliorable‘», explique le jeune syndicaliste. Le « 10 améliorable » ou 10 « plancher » consiste à poser comme acquis la moyenne quelle que soit la qualité du travail.

    Un non-sens méritocratique qui dévalue forcément la qualité des diplômes en sortie d’études. « Jamais le “10 améliorable” n’a été appliqué autrement que de manière isolée et exceptionnelle. En 2020, le tribunal administratif a rendu un jugement contre cette mesure prise dans une université parisienne pour le semestre du premier confinement », indique l’UEC dans un communiqué de presse.

    Raphaël Montazaud affirme que certaines autres organisations étudiantes jouent un « jeu trouble » en faisant croire que le « 10 améliorable » est « possible à faire passer » et que certains adossent artificiellement cette revendication à la lutte contre la réforme des retraites. »

    Pire, l’étudiant en philosophie imagine que ce glissement dans le champ des revendications est « en train de dévaluer toute capacité de mobilisation. » « En tant que vice-président étudiant de l’université Jean-Jaurès, je reçois des mails d’étudiants affolés à cause d’un probable déplacement des dates d’examen. On sent aussi le personnel un peu traumatisé par ces blocages et ces occupations », assure-t-il.

    Le président de l’UEC qui au départ soutenait l’occupation du bâtiment « Gai Savoir » transformé en ZAM (Zone autogérée du Mirail) estime qu’il est temps de siffler la fin de la récré. « C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes ! Le Gai Savoir est en voie de zadification. Il y a un noyau dur d’une quinzaine de personnes à l’intérieur qui organisent plus des soirées qu’autre chose. Il n’y a plus d’objet politique à leurs démarches. À l’intérieur, certains étudiants se sont fait voler, d’autres se sont fait chasser sans raison. Il est temps que l’on dispose à nouveau de cours dans ce bâtiment. »

    La Dépêche

  • Polémique à la mairie de Toulouse : Les non-catholiques peuvent bénéficier jusqu’à 6 jours de congés payés supplémentaires. Un syndicat proteste.

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    Toulouse : ces congés religieux qui font polémique au Capitole

    Sur le papier, en plus des fêtes fériées, les agents de traditions religieuses juives, musulmanes ou bouddhistes ont droit à plus de congés que les autres, s’ils demandent des autorisations d’absences rémunérées.

    Les statuts de la fonction publique prévoient pour les agents territoriaux une autorisation d’absence payée pour les fêtes religieuses. Mais quid de celles qui sont des jours déjà fériés ? Un syndicat municipal dénonce une inégalité de traitement entre les diverses confessions religieuses.

    Les agents de la mairie de Toulouse de confession catholique sont-ils discriminés par rapport à leur collègue de religion juive, musulmane, voire bouddhiste, en matière de congés ? C’est ce que laisse entendre le syndicat autonome des territoriaux Toulouse métropole, le SATTMC-STT31, qui vient de lever un « lièvre » juridique autour des tableaux de service et surtout de la gestion des fêtes religieuses par la municipalité. Dans un tract envoyé à 15 000 exemplaires à tout le personnel, le délégué syndical, Jean-Christophe Béziat, s’étonne de l’application à géométrie variable d’une disposition du Code du travail.

    Des agents municipaux privilégiés

    « Les statuts de la fonction publique prévoient un nombre de jours légaux pour permettre aux agents de vivre en famille les fêtes relatives aux différents calendriers religieux, explique-t-il. Ces jours-là, les agents concernés peuvent déposer un jour de congé exceptionnel payé. Le problème, c’est que les fêtes chrétiennes comptent déjà au nombre des jours fériés en France et que les agents qui respectent ce calendrier ne peuvent pas profiter de ce dispositif en posant Noël, Toussaint ou Pâques… » , s’insurge-t-il. En creux, il remarque que toutes les autres confessions, qui profitent déjà de ces jours fériés, peuvent en plus sacrifier à leurs propres traditions en se faisant porter pâle, qui pour « Yom Kippour », qui pour « l’Aïd-el-Kebbir », qui encore pour le
    « Vesak ». Ce qui, au final, peut représenter une demi-douzaine de jours de congés payés supplémentaires dans l’année, quand les simples catholiques ou protestants doivent se contenter de l’ordinaire. « Il n’y a aucune raison que tout le monde ne profite pas de ces avantages. Il s’agit clairement d’une discrimination et d’une distorsion de la loi », assure Jean-Christope Béziat, dont le syndicat a déjà saisi le président de la République Emmanuel Macron, sur le sujet, ainsi que la Cour européenne des Droits de l’Homme pour trancher ce litige.

    (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche