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toulouse - Page 6

  • Toulouse : un homme de 56 ans entre la vie et la mort après avoir été agressé en pleine rue pour une cigarette refusée, deux suspects de 16 et 30 ans interpellés, l’un avait le téléphone de la victime sur lui

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Un homme âgé de 56 ans se trouve dans le coma à l’hôpital après une violente agression à Toulouse (Haute-Garonne), survenue dimanche vers 06h30 raconte La Dépêche. Deux suspects âgés de 16 et 30 ans ont été interpellés et placés en garde à vue.

    La victime sortait d’une nuit festive lorsqu’elle a croisé le chemin de ses agresseurs au niveau de la place Robert-Schuman. Ces derniers lui ont réclamé une cigarette et le quinquagénaire aurait répondu qu’il n’en avait pas. Les deux hommes auraient aperçu un paquet qui dépassait de sa poche et l’ont agressé. Frappée, la victime s’est effondrée avant d’être dépouillée.

    (…) Les deux suspects ont été interpellés par les policiers à proximité du lieu des faits. L’un avait le téléphone de la victime sur lui. Le duo serait passé aux aveux durant ses auditions. Les enquêteurs du groupe d’appui judiciaire (GAJ) sont chargés de l’enquête.

    Actu 17 via fdesouche

  • Toulouse : la justice bloque l’expulsion de la centaine de migrants “mineurs” qui occupent l’université Paul Sabatier, pourtant des tests ont révélé que la grande majorité de ces “mineurs” sont en réalité majeurs

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Le tribunal administratif de Toulouse a levé vendredi la mesure d’expulsion qu’il avait prononcée en décembre contre les jeunes migrants qui occupent depuis un mois une aile du bâtiment 4R3 sur le campus de l’université Paul Sabatier.

    C’est “une victoire” pour la centaine de mineurs non-accompagnés qui occupent depuis mi-décembre une aile du bâtiment 4R3 de l’Université Paul Sabatier. Ce vendredi 13 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a finalement levé la mesure d’expulsion qu’il avait ordonnée le 29 décembre.

    La juridiction explique avoir pris en compte “un élément nouveau” pour modifier sa décision. La direction de l’université qui avait saisi le tribunal pour obtenir l’expulsion des jeunes migrants a justifié son action en justice en mettant en avant des risques chimiques et électriques dans le bâtiment en question. Elle avait notamment évoqué la présence “de bocaux de produits chimiques en sous-sol”, l’absence d’équipement adapté pour assurer la sécurité et l’hygiène des occupants et “un défaut de système de sécurité incendie”.

    Mais ce vendredi, lors d’une nouvelle audience, Me Fanny Sarasqueta, conseil des mineurs isolés a pu prouver “l’absence de risque avéré tenant à la présence de substances et produits dangereux ou à la présence de branchements électriques non sécurisés”.

    (…) Dans leur grande majorité, ces jeunes migrants se sont vus refuser le statut de mineurs isolés après leur évaluation par le DDAEOMI, dispositif chapeauté par le Département de Haute-Garonne, qui a conclu à leur majorité.

    La Dépêche via fdesouche

  • Toulouse : nuit de la Saint-Sylvestre

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

    fdesouche

    Image

    Toulouse :

    41 incendies, feu dans un foyer pour enfants, tentative de viol, commissariat attaqué : nuit de la Saint-Sylvestre agitée dans l’agglo toulousaine

    Selon un premier bilan, lors de ce réveillon la Saint-Sylvestre, les pompiers ont dû intervenir sur 41 incendies en Haute-Garonne. Un feu s’est notamment déclaré dans un foyer d’accueil pour enfants, aucun blessé n’est à déplorer.

    Un incendie s’est notamment déclaré dans un foyer d’hébergement pour enfants peu après minuit à Auzeville Tolosane. Le feu qui a rapidement été maîtrisé par les sapeurs-pompiers a pu être limité au rez-de-chaussée du foyer. 5 enfants et un adulte étaient sur les lieux lors de la propagation des flammes. Ils avaient pu sortir avant l’arrivée des secours.

    La Dépêche

    La police intervient pour une tentative de viol

    Une jeune femme a par ailleurs été victime d’une tentative de viol place Agapito Nadal au niveau du métro Arènes. Peu avant minuit, un passant a été alerté par des cris et est venu en aide à la victime. Le suspect, un homme de 22 ans, a été interpellé dans la foulée par les policiers toulousains. La jeune femme a porté plainte.

    France Bleu

    Mais les incidents de la nuit ne se sont pas résumés aux voitures brûlées. Selon nos informations, le commissariat de Bellefontaine, au Mirail, a été attaqué par des tirs de mortier. De même, des bouteilles en verre ont été jetées sur le parking du commissariat et des coups ont été donnés sur le rideau métallique devant l’entrée.

    Par ailleurs, un policier a été blessé par un conducteur de scooter. « L’auteur est toujours en fuite », indique une source policière à Actu Toulouse. 

    Actu.fr

  • Crachats, coups, injures raciales à Toulouse : un resquilleur sub-saharien du métro s’en prend à un agent maghrébin

    Publié par Guy de Laferrière le 26 décembre 2022

    Toulouse. Crachats, coups, injures raciales : le passager du métro s'en prend à un agent Tisséo

    La trêve de Noël a-t-elle encore la moindre signification en ce début de XXIe siècle ? Pas si l’on en croit cette histoire survenue dans le métro de Toulouse, durant la nuit du jeudi 22 au vendredi 23 décembre 2022.

    Le resquilleur rappelé à l’ordre

    Vers 1 heure du matin, un homme s’engouffre dans la station de métro Esquirol avec la ferme intention de franchir les tourniquets sans ticket. Manque de chance, un agent Tisséo campe à proximité pour éconduire les resquilleurs.

    Le passager sans titre tente malgré tout sa chance, se fait rabrouer : il explose de fureur. « D’origine africaine, il a proféré des injures à caractère racial à l’encontre de l’agent d’origine maghrébine », soupire une source policière.

    Crachats et coup de poing à un policier

    Aux insultes ont succédé les crachats et les coups. L’agent Tisséo s’est réfugié dans le local de sécurité attenant et a immédiatement alerté la police. Qui a été accueillie de la même façon. Crachats, coup de poing à un fonctionnaire.

    « Déjà connu des services », cet homme de 28 ans a été maîtrisé et placé en garde à vue pour l’ensemble de son œuvre. Le tout, à deux jours de Noël, et pour un ticket dont le coût unitaire est inférieur à 2 euros…

    actu.fr via fdesouche

  • A Toulouse l’extrême-gauche règne par la censure et la violence sur la fac du Mirail: « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche » ironise le député LFI de la circonscription

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    […]

    « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche », abonde fièrement François Piquemal, député LFI de la 4ème circonscription de Haute-Garonne, sur laquelle est implantée l’université. Ici, l’espace idéologique semble être dominé sans partage. Slogans anticapitalistes, néoféministes, pro Palestine et anti « extrême-droite » offrent une mosaïque de couleurs rouges, où le bleu est proscrit. On y retrouve évidemment les formations situées à l’extrême gauche de l’échiquier politique, comme Révolution permanente, le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) de Philippe Poutou ou La France Insoumise. Même le Parti Socialiste et EELV y semblent exclus, sûrement trop ternes pour y figurer. De nombreuses manifestations partageant une idéologie commune et excluante, animent la vie du campus. « C’est très rare de passer une journée sans voir brandir des pancartes prônant l’antispécisme, l’écologie radicale ou autre », raconte Daphné, 21 ans, étudiante en civilisation étrangère.

    Dans un lieu de formation aspirant à développer un esprit critique, la diversité politique et idéologique n’est guère au rendez-vous. « Quand certaines idées ne passent pas, et bien elles ne passent pas », tonne François Piquemal, qui ajoute: « c’est tout de même préférable que les idées racistes ou de capitalisme extrême n’aient pas leur place ici ». Les tracts politiques de la droite et du centre y sont systématiquement retirés. « Nous avons beaucoup tracté durant les législatives, elles étaient déjà remplacées dès le lendemain », regrette Sébastien Canovas, responsable des jeunes Les Républicains de Haute-Garonne, parfois même en moins d’une heure.

    […]

    « C’est impossible pour quelqu’un de non politisé de devenir de droite dans cette université », explique Yann Montigny, ancien étudiant en japonais et membre de Génération Zemmour.

    Octobre 2021, vers midi, une journée assez banale sur le campus de l’université Jean Jaurès, qui va voir son sol se couvrir de rouge… sang. Alors que Damien, militant Génération Zemmour, finit son repas au self, il décide d’aller coller des affiches de son parti sur le campus avec un ami. « Il n’y avait pas trop de passage, on en a profité », se rappelle Damien. Un jeune homme, vêtu de noir de la tête aux pieds, s’approche alors des jeunes militants. « Il se place en face de nous et commence à nous insulter, nous menace et arrache nos stickers ». L’individu, un militant « antifa » selon Damien, se décide finalement à partir, avant de revenir, déterminé. « Je me penche pour récupérer d’autres stickers, et à ce moment là je prends un coup de poing américain dans le crâne », rapporte le jeune homme. Le crâne est légèrement ouvert et sanguinolant. « Quand la sécurité est arrivée, l’antifa leur a dit: « Attrapez-les, c’est des fachos ». Ils nous ont dévisagé ». Hospitalisé et recousu avec quatre points de suture, Damien a fait confirmer sa blessure par un médecin expert juridique, avant de déposer plainte. Mais cette dernière n’a pas abouti. « Les caméras étaient comme par hasard tournés autre part. L’université n’a ensuite rien communiqué sur l’incident… Cinq jours plus tard, je suis reparti coller des affiches, ils ne me font pas peur ». « C’est quand même une provocation de venir coller des affiches pour quelqu’un qui a été pénalement condamné par la justice », commente le député LFI François Piquemal. Contactée, la présidence n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations, tout comme le vice-président étudiant. Aucun professeur non plus n’a voulu communiquer sur le sujet. « Valeurs actuelles, c’est pas mon truc », a répondu un enseignant en histoire.

    […]

    « Certains cours étaient clairement orientés politiquement, certains ont changé de nom et sont devenus des cours de féminisme », déplore Tom, notre ancien étudiant en sociologie. D’autres, comme lui, confirment la présence de certains biais idéologiques : « Une professeur a dit que plus les gens votent à droite, moins ils sont cultivés », rapporte Marine, 25 ans, étudiante en sciences humaines économiques et sociales.

    […]

    Valeurs Actuelles via fdesouche