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toulouse - Page 4

  • Armes, explosifs, entraînements militaires : comment un groupe terroriste d’ultragauche a préparé une guérilla en Occitanie. Sept militants jugés à partir de mardi 3 octobre à Paris.

    Publié par Guy de Laferrière le 02 octobre 2023

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    Un ancien sniper formé au combat au Kurdistan irakien, un punk travaillant comme artificier chez Eurodisney, une jeune femme titulaire d’un double master en littérature ou un fils d’officier de l’armée française : sept militants d’ultragauche vont comparaître à partir de ce mardi 3 octobre devant le tribunal correctionnel de Paris pour ce qui est présenté comme le premier procès du terrorisme d’ultragauche en France depuis Action Directe.

    S’en prendre aux policiers et aux militaires

    Démantelé en décembre 2020 par la DGSI, ce groupuscule, dont les membres nient tout projet de passage à l’acte, est né à partir de 2018 en Occitanie, autour d’un personnage clé. Florian Dahuron, 39 ans, est soupçonné d’avoir initié toute une série d’actions pour “constituer un groupe, entraîner et former ses membres, leur trouver des armes (…) dans le but clairement énoncé d’abattre les institutions républicaines en s’en prenant à “ses chiens de garde” que sont les policiers et les militaires” selon l’enquête dirigée par deux juges anti terroristes. Les magistrats se sont plongés dans cette mouvance radicale qui reste très active : “En 2021, l’ultragauche a revendiqué 153 actions sur le territoire national”, en détruisant notamment des antennes-relais, et en “laissant entrevoir son potentiel violent contre les personnes via l’utilisation du black bloc lors de manifestations ou affrontements dans les Zad”. Plusieurs des prévenus se sont connus dans la Zad du barrage de Sivens ou à celle de Notre-Dame-des-Landes. […]

    Un squatt de Toulouse et une maison abandonnée

    Ce sont notamment un squat de Toulouse, rue Brouardel, et une maison abandonnée de Pins-Justaret, un village de l’agglomération toulousaine, qui ont servi de point de rencontre et de lieu d’entraînement militaire au groupe, qui a aussi tenté de fabriquer des explosifs, dont le redoutable TATP, utilisé par les islamistes du 13 novembre à Paris.

    Mais on les localise aussi dans le Tarn, l’Aveyron, autour d’une yourte à Bollène dans le Vaucluse, ou encore en Sologne. Il faut dire qu’ils sont très mobiles, plusieurs d’entre eux vivant dans des camions, avec des caches aménagées où des armes longues ont été découvertes.

    Des disques durs et clés USB cryptées

    Autre caractéristique : les suspects sont “très prudents et méfiants à l’égard des moyens de surveillance étatique”, ont “une forte culture du secret” et “une grande réserve à l’égard des moyens de communication.” Au point de tenir en échec les limiers de l’antiterrorisme, qui n’ont pas réussi à décrypter bon nombre des disques durs et clés USB saisis pendant l’enquête.

    Côté défense, on nie tout projet terroriste, en dénonçant “un travestissement de la réalité du dossier”, une interprétation erronée du contexte”, et une “pression des services de police” sur certains prévenus. Le procès est prévu jusqu’au 27 octobre.

    Midi Libre via fdesouche

  • Toulouse : Une cinquantaine de squatteurs d’extrême-gauche prennent d’assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2023

    Une cinquantaine de squatteurs prennent d'assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Ce dimanche 3 septembre, une maison d’un quartier de Toulouse a été prise d’assaut par un important groupe de squatteurs. Les forces de l’ordre sont intervenues.

    L’agent de sécurité posté pour surveiller la maison inhabitée depuis quelque temps n’a pas fait le poids. Une cinquantaine de squatteurs se sont barricadés dans cette habitation toulousaine ce dimanche en fin d’après-midi indique La Dépêche.

    Ils se sont ensuite barricadés à l’intérieur pour tenter d’empêcher toute tentative d’expulsion. Une voisine qui est allée à leur rencontre a été violemment agressée, ajoutent nos confrères.

    Treize squatteurs interpellés

    Quand la police est arrivée sur place, les squatteurs ont argué être installés dans la maison depuis plusieurs jours mais des vidéos prises par l’agent de sécurité et les voisins ont contredit leur version, permettant l’intervention des forces de l’ordre.

    Treize squatteurs – des “sans-abri ou des proches de la mouvance extrême gauche”, d’après les témoins interrogés par La Dépêche – ont été placés en garde à vue pour “violation de domicile” et agression. Ils nient pour le moment toute violence sur la voisine.

    www.midilibre.fr via fdesouche

  • Toulouse : un conducteur blessé à l’épaule par un policier après un refus d’obtempérer. Il avait percuté une voiture de police et heurté un policier

    Publié par Guy de Laferrière le 21 août 2023

    Un conducteur a refusé de s’arrêter, dimanche 20 août au soir, dans le secteur de l’hôpital Purpan, à Toulouse. Bloqué, il a reculé dans la voiture de police avant de heurter un policier qui a ouvert le feu. Le conducteur, un homme âgé de 26 ans dont le passé l’aurait déjà amené à croiser à plusieurs reprises les forces de l’ordre et la justice, a été touché au bras. Une enquête est ouverte.

    Les policiers ont pris en chasse dimanche vers 22h15 un conducteur qui venait de refuser à plusieurs reprises de s’arrêter dans les quartiers de la Rive gauche de Toulouse. Dans sa fuite, ce conducteur a pris la rue Hilaure Chardonnet mais il s’est retrouvé coincé devant une barrière qui marque la sortie d’un des parkings d l’hôpital Purpan.

    Bloqué avec la voiture de police derrière lui, il a fait marche arrière à deux reprises pour percuter le véhicule de police. Un policier a quitté son véhicule et, arme à la main, il a demandé au conducteur d’arrêter sa voiture, une BMW. Ce dernier aurait alors encore tenté de forcer le passage et il a heurté le policier qui se trouvait sur sa droite. Le coup de feu serait parti à ce moment-là, traversant le pare-brise avant de blesser le conducteur. […]

    Choqué, le policier qui a ouvert le feu devrait être rapidement par l’inspection générale des services, la police des polices, co-saisie de l’enquête avec l’unité des atteintes aux personnes de la sûreté départementale de la Haute-Garonne.

    La Dépêche via fdesouche

  • Toulouse : une jeune femme poignardée dans le dos sans raison en sortant du métro. L’agresseur maîtrisé par un passant

    Publié par Guy de Laferrière le 15 août 2023

    Une jeune femme de 26 ans a été soudainement poignardée dans le dos ce dimanche matin à Toulouse, en sortant du métro. L’agresseur, un homme de 39 ans, a été maîtrisé par un passant et est actuellement en garde à vue. Ses motivations restent inconnues.

    Cette violente agression a eu lieu vers 9 heures, à la sortie de la station de métro Patte d’Oie. “La jeune femme venait d’arriver en haut de l’escalator lorsqu’elle a été poignardée sans raison, dans le bas du dos“, décrit une source proche de l’enquête. La victime, très sérieusement blessée, s’est effondrée devant son agresseur et a demandé de l’aide.

    Les premières investigations ont montré que cet homme ne connaissait pas sa victime. Il n’y aurait d’ailleurs eu aucun contact entre eux avant ce violent coup de couteau.  L’homme avait un couteau sur lui au moment de son interpellation

    Actu 17 via fdesouche

  • Toulouse : Ils devaient redynamiser le centre-ville, les kiosques art-déco ferment 1 mois après leur ouverture sous pression des dealers et des vendeurs à la sauvette

    Publié par Guy de Laferrière le 05 août 2023

    Toulouse. Les kiosques ont subitement fermé leurs portes : voici pourquoi

    (…)

    Surprise, mardi 1er août au matin à Toulouse. Les kiosques de Jean-Jaurès, récemment rebaptisés Les Baraques, ont subitement fermé leurs portes, avec des tensions sur l’esplanade.

    « Les Baraques » n’ont pourtant rouvert leurs portes à Toulouse que depuis le mois de juin… Et ces kiosques étaient vides depuis 2016. L’objectif pour la mairie est clair : redynamiser cet axe très fréquenté, au carrefour des deux lignes de métro de la Ville rose. Mais voilà, après plus d’un mois d’activité, les choses ne tournent pas comme elles devraient.

    D’après le gérant, la situation est sous tension avec des « habitués » de cette esplanade. Rappelons que c’est historiquement un axe où vendeurs à la sauvette et autres dealers ont pignon sur rue.

    “On a quatre ou cinq altercations par jour ! Il y a des menaces de mort, des vols, et des jets de bouteilles envers mes employés. Les gens ne se sentent pas en sécurité. Je crains pour mon intégrité physique et celle de ma femme. On est à cran.”

    actu.fr via fdesouche