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toulouse - Page 4

  • Toulouse : sous la menace d’un cutter, une bande retient et terrorise deux jeunes filles dans un appartement ; les suspects sont âgés de 15 à 26 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 20 avril 2023

    Même apeurées, elles ont réussi à alerter police secours. Lundi soir, vers 22 heures, les policiers de Toulouse ont reçu l’appel de deux jeunes filles, de 18 et 20 ans, en détresse expliquant qu’elles étaient retenues dans un appartement par des intrus.

    Quand les fonctionnaires ont frappé à la porte de ce logement du quartier de Lardenne, les deux victimes en ont surgi, fondant en larmes dans les bras l’une de l’autre. A l’intérieur, cinq jeunes – quatre garçons et une fille – dissimulés sous des cache-cous et des capuches. L’un d’eux était muni d’un cutter et venait d’extorquer sous la menace de la lame le téléphone dernier cri, la carte bancaire et le code d’une des plaignantes.

    Un des intrus connaissait les lieux

    La plus âgée des victimes connaissait vaguement un des membres de la bande qu’elle avait invité chez elle quelques jours auparavant après une rencontre en boîte de nuit. C’est donc sans méfiance qu’elle lui a ouvert sa porte et qu’il a pu rentrer dans les lieux avec ses complices. Les suspects, âgés de 15 à 26 ans, sont toujours en garde à vue ce mardi pour « extorsion aggravée en réunion ».

    20minutes.fr via fdesouche

  • À Toulouse, des étudiants d’extrême-gauche occupent la fac, brûlent des copies et pillent le Crous : ils exigent un 10/20 aux partiels. Même les communistes ne le supportent plus. (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2023

    18/04/23

    Une trentaine d’étudiants occupent un bâtiment de Toulouse-2 depuis le 8 mars et en profitent pour dégrader les lieux. Ils exigent d’obtenir 10/20 à tous les partiels.

    Difficile de savoir ce qui se passe concrètement dans le bâtiment «Gai Savoir», à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. Depuis le 8 mars, un petit groupe d’étudiants opposé à la réforme des retraites occupe jour et nuit un bâtiment de la faculté situé sur le campus du Mirail. Une mobilisation désormais isolée et contestée par la plupart des associations étudiantes, de droite comme de gauche.

    «Une trentaine d’étudiants occupent les locaux et le dégradent quotidiennement. Nous avons pu constater de nombreux tags, graffitis et du mobilier dégradé. L’odeur d’urine est insoutenable», décrit l’UNI, qui affirme avoir constaté les dégâts sur place. Des vols et violences ont également été relevés par le syndicat de droite. «Des objets appartenants à des professeurs comme à des étudiants ont été dérobés», précise l’UNI. Plusieurs copies d’examen – dont personne n’est en mesure d’affirmer si elles étaient vierges ou remplies – ont également été brûlées «symboliquement»«Nous avions un bâtiment tout neuf, il est désormais détruit et va nécessiter de nombreux travaux», poursuit l’Union nationale inter-universitaire.

    Le Figaro


    16/04/23

     Revendications ubuesques, salles de cours transformées en discothèque, les étudiants communistes critiquent vertement le virage de la mobilisation à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. “C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes

    « Nous n’avons pas peur de passer pour un syndicat jaune qui trahit la cause. On se devait de réagir et dénoncer ce qui ne va pas », ose Raphaël Montazaud, le président de l’union des étudiants communistes (UEC). L’élève en L2 en philosophie et ses camarades ne digèrent pas la tournure que prend le mouvement social au sein de l’université Jean-Jaurès à Toulouse ces derniers jours.

    « Depuis mercredi dernier, date de la dernière assemblée générale à la fac, il y a eu un glissement sur les revendications. La mobilisation ne tourne quasiment plus autour de la réforme des retraites. On est passé sur un mouvement de lutte pour mettre en place le 10 améliorable‘», explique le jeune syndicaliste. Le « 10 améliorable » ou 10 « plancher » consiste à poser comme acquis la moyenne quelle que soit la qualité du travail.

    Un non-sens méritocratique qui dévalue forcément la qualité des diplômes en sortie d’études. « Jamais le “10 améliorable” n’a été appliqué autrement que de manière isolée et exceptionnelle. En 2020, le tribunal administratif a rendu un jugement contre cette mesure prise dans une université parisienne pour le semestre du premier confinement », indique l’UEC dans un communiqué de presse.

    Raphaël Montazaud affirme que certaines autres organisations étudiantes jouent un « jeu trouble » en faisant croire que le « 10 améliorable » est « possible à faire passer » et que certains adossent artificiellement cette revendication à la lutte contre la réforme des retraites. »

    Pire, l’étudiant en philosophie imagine que ce glissement dans le champ des revendications est « en train de dévaluer toute capacité de mobilisation. » « En tant que vice-président étudiant de l’université Jean-Jaurès, je reçois des mails d’étudiants affolés à cause d’un probable déplacement des dates d’examen. On sent aussi le personnel un peu traumatisé par ces blocages et ces occupations », assure-t-il.

    Le président de l’UEC qui au départ soutenait l’occupation du bâtiment « Gai Savoir » transformé en ZAM (Zone autogérée du Mirail) estime qu’il est temps de siffler la fin de la récré. « C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes ! Le Gai Savoir est en voie de zadification. Il y a un noyau dur d’une quinzaine de personnes à l’intérieur qui organisent plus des soirées qu’autre chose. Il n’y a plus d’objet politique à leurs démarches. À l’intérieur, certains étudiants se sont fait voler, d’autres se sont fait chasser sans raison. Il est temps que l’on dispose à nouveau de cours dans ce bâtiment. »

    La Dépêche

  • Polémique à la mairie de Toulouse : Les non-catholiques peuvent bénéficier jusqu’à 6 jours de congés payés supplémentaires. Un syndicat proteste.

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2023

    Toulouse : ces congés religieux qui font polémique au Capitole

    Sur le papier, en plus des fêtes fériées, les agents de traditions religieuses juives, musulmanes ou bouddhistes ont droit à plus de congés que les autres, s’ils demandent des autorisations d’absences rémunérées.

    Les statuts de la fonction publique prévoient pour les agents territoriaux une autorisation d’absence payée pour les fêtes religieuses. Mais quid de celles qui sont des jours déjà fériés ? Un syndicat municipal dénonce une inégalité de traitement entre les diverses confessions religieuses.

    Les agents de la mairie de Toulouse de confession catholique sont-ils discriminés par rapport à leur collègue de religion juive, musulmane, voire bouddhiste, en matière de congés ? C’est ce que laisse entendre le syndicat autonome des territoriaux Toulouse métropole, le SATTMC-STT31, qui vient de lever un « lièvre » juridique autour des tableaux de service et surtout de la gestion des fêtes religieuses par la municipalité. Dans un tract envoyé à 15 000 exemplaires à tout le personnel, le délégué syndical, Jean-Christophe Béziat, s’étonne de l’application à géométrie variable d’une disposition du Code du travail.

    Des agents municipaux privilégiés

    « Les statuts de la fonction publique prévoient un nombre de jours légaux pour permettre aux agents de vivre en famille les fêtes relatives aux différents calendriers religieux, explique-t-il. Ces jours-là, les agents concernés peuvent déposer un jour de congé exceptionnel payé. Le problème, c’est que les fêtes chrétiennes comptent déjà au nombre des jours fériés en France et que les agents qui respectent ce calendrier ne peuvent pas profiter de ce dispositif en posant Noël, Toussaint ou Pâques… » , s’insurge-t-il. En creux, il remarque que toutes les autres confessions, qui profitent déjà de ces jours fériés, peuvent en plus sacrifier à leurs propres traditions en se faisant porter pâle, qui pour « Yom Kippour », qui pour « l’Aïd-el-Kebbir », qui encore pour le
    « Vesak ». Ce qui, au final, peut représenter une demi-douzaine de jours de congés payés supplémentaires dans l’année, quand les simples catholiques ou protestants doivent se contenter de l’ordinaire. « Il n’y a aucune raison que tout le monde ne profite pas de ces avantages. Il s’agit clairement d’une discrimination et d’une distorsion de la loi », assure Jean-Christope Béziat, dont le syndicat a déjà saisi le président de la République Emmanuel Macron, sur le sujet, ainsi que la Cour européenne des Droits de l’Homme pour trancher ce litige.

    (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • Toulouse : un homme passé à tabac et volé pour avoir demandé à un passager de ne pas fumer dans une rame de métro

    Publié par Guy de Laferrière le 30 mas 2023

    Le banal rappel au civisme s’est transformé en tabassage en règle. La scène remonte au 18 février dernier dans une rame du métro de Toulouse (Haute-Garonne) qui circulait entre Bagatelle et le terminus de Basso-Cambo. Un passager allume, tranquille, une cigarette. Et un autre voyageur, incommodé, lui demande sans agressivité de l’éteindre. Mais ce rappel au règlement va lui coûter très cher. L’intéressé n’apprécie pas en effet d’être ainsi tancé, il se rue sur son interlocuteur et fait tomber sur lui une pluie de coups. L’agression se double d’un vol puisqu’il profite du passage à tabac pour arracher le sac à dos de la victime et le faire passer à un complice présent dans la rame.

    Son propriétaire s’accroche, il poursuit ses agresseurs en courant jusque sur le parvis du terminus. Deuxième accrochage, deuxième volée de coups pour l’usager de 24 ans qui ira porter plainte peu après au commissariat.

    L’enquête s’est dénouée en ce début de semaine grâce au long travail de recoupement des images de vidéoprotection des spécialistes de la cellule technique d’aide à l’enquête de la sûreté départementale. Il a permis d’identifier deux hommes, âgés de 18 et 22 ans, déjà connus des services de police, et interpellés chez eux. Le téléphone de la victime a été retrouvé chez l’un d’eux qui a aussi conduit les policiers dans un buisson de son quartier où se trouvait encore le sac à dos vidé.

    L’un des deux agresseurs a fait le choix d’une procédure de « plaider coupable ».

    20 minutes via fdesouche

  • Tarbes (65) : une grosse livraison d’armes destinées à des délinquants de Toulouse interceptée sur le parking d’un hôtel, trois ressortissants turcs interpellés

    Publié par Guy de Laferrière le 12 mars 2023

    Une importante livraison d’armes a été interceptée mardi sur le parking d’un hôtel de Tarbes (Hautes-Pyrénées) annonce ce vendredi dans un communiqué Frédérique Porterie, la procureure de la République de Bordeaux.

    La transaction a été interrompue par les gendarmes. Ce flagrant délit a été opéré conjointement par les militaires de la Section de recherches de Toulouse, à la suite d’une enquête menée par la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Bordeaux. Il a permis d’interpeller trois suspects, des ressortissants turcs, et de mettre la main sur « 45 armes de poing dotées de chargeurs de quinze munitions ».

    Ces armes, dont les enquêteurs soupçonnent qu’elles étaient destinées à des délinquants toulousains, « représentent une valeur marchande de plusieurs dizaines de milliers d’euros et surtout une menace importante pour la sécurité des personnes », souligne la magistrate.

    Les premières investigations montrent que ces armes, destinées à l’origine à tirer des munitions à blanc ou des cartouches de gaz, ont été modifiées « avec un réel savoir-faire » pour devenir létales. Les trois suspects ont été déférés ce vendredi devant le parquet de Bordeaux qui a requis leur placement en détention provisoire. Un juge d’instruction a été saisi des suites de l’enquête.

    20 minutes via fdesouche