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  • Le Collectif Némésis remporte une victoire à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2025

    synthesenationale

    Le Collectif Némésis remporte une victoire à Toulouse

    François Monestier, Polémia cliquez ici

    Depuis des mois, les partisans et les adversaires de Némésis attendaient le rendez-vous de Toulouse, histoire pour les uns de rappeler le combat mené par Alice Cordier et ses militantes exemplaires, pour les autres de continuer leur propagande indigéniste et de semer la terreur dans de nombreuses villes de notre pays. Un combat courageux salué d’ailleurs par Bruno Retailleau qui a récemment félicité la présidente de Némésis pour sa ténacité, au grand dam, bien sûr, des potes de Mélenchon.

    Vandalisme tous azimuts

    Le collectif toulousain Du pain Des Roses n’a pas dérogé à la règle en demandant l’interdiction de la réunion de Nemesis prévue le jeudi 23 janvier dans une salle municipale toulousaine à l’initiative du Cercle des Capitouls.

    Menaces verbales, intimidations diverses et variées, les activistes toulousains sous la coupe du député insoumis François Piquemal et de l’association particulièrement violente des Soulèvements de la Terre voulaient avoir la peau de Némésis. Ils ne digéraient pas, en effet, que les responsables toulousaines de ce collectif identitaire aient osé brandir deux innocentes pancartes « Islamo-gauchistes, hors des facs » lors d’une conférence de presse de Mathilde Panot , tenue à Toulouse le 24 octobre dernier.

    Quoi de mieux donc que de vandaliser la salle municipale prévue pour la réunion ? Et v’là que nos courageux démocrates ont tagué, dès potron-minet, la porte de ce lieu de réunion, collé les serrures des différentes portes d’accès, et – ensauvagement suprême- tapissé certaines d’entre elles d’excréments. Le tout accompagné de messages à la hauteur de leurs gestes : « Elle (Alice Cordier) vient répandre sa propagande bourgeoise, patriarcale et raciste dans notre ville » ainsi que de l’annonce d’une manifestation de protestation .

    Un maire sous influence ?

    Que voulez-vous qu’il arrivât ? Jean-Luc Moudenc, maire divers-droite de Toulouse et macroniste de cœur, a interdit la réunion …identitaire, puis émis un arrêté municipal … interdisant l’accès à la salle, prétextant des risques de « manifestations radicalisées et des affrontements ». Un comble de donner raison à des émeutiers qui ont mis à feu et à sang une salle municipale et dont la remise en état sera payée par le toulousain de base. Adepte du double langage, Moudenc a dénoncé « ces dégradations qui sont une attaque révoltante et insupportable contre les services de proximité des Toulousains » mais s’est bien gardé de défendre la liberté d’expression dont il se gargarise d’habitude. Il est vrai qu’il panique à un an des Municipales qui pourraient faire basculer à l’extrême-gauche la troisième ville de France. Mais ce n’est pas en caressant ces démocrasseux dans le sens du poil qu’il a une chance de l’emporter.

    Tout est bien qui finit bien

    Au dernier moment et alors que plus de cent cinquante personnes allaient être privées de conférence, les organisateurs trouvaient une salle privée afin de pouvoir enfin écouter Alice Cordier et ses militantes venues témoigner de la violence et des agressions sexuelles commises dans notre pays et ailleurs – la Suède ou la Grande Bretagne par exemple – par des allogènes. Applaudissements nourris et satisfaction d’avoir fait un pied de nez aux décoloniaux et autres  écologistes radicaux. Pour une fois, force a été donnée au courage de dire et à la volonté de faire.

    Collectif Némésis cliquez ici

  • Toulouse (31) : un policier hors service reconnu dans la rue puis violemment agressé sous les yeux de sa compagne par une bande

    Publié par Guy de Laferrière le 14 novembre 2024

    (…) Les faits se sont produits vers 18 heures alors que ce policier, affecté à la CRS 84 de Montauban (Tarn-et-Garonne), était au volant de sa voiture, près du métro Mermoz, dans le quartier de La Faourette. Le policier en repos se trouvait avec sa compagne, et le couple venait déposer un colis.

    Le fonctionnaire s’est stationné puis a entendu quelqu’un crier “Y a un flic !”, d’après l’une des sources. Un homme au visage dissimulé s’est approché du véhicule et lui a ordonné de “dégager”. Face au refus du policier, l’agresseur lui a porté des coups de poing au visage et lui a craché dessus. Le suspect a ensuite ameuté d’autres individus pour s’en prendre à la victime. “La scène s’est déroulée non loin d’un point de deal”, souligne une deuxième source.

    D’autres agresseurs au visage dissimulé sont alors arrivés et ont tapé sur la voiture du couple qui a été endommagée. Le policier a alors accéléré et pris la fuite. Plusieurs auteurs ont suivi le véhicule des victimes.

    Le fonctionnaire s’est présenté au commissariat de Bellefontaine et a déposé plainte. Blessé, il a été conduit à l’hôpital. Sa compagne est sous le choc. (…)

    Trois jeunes hommes de 18 à 23 ans ont été arrêtés puis placés en garde à vue. Une enquête a été ouverte et les policiers du service local de police judiciaire (SLPJ) ont été chargés des investigations. (…)

    Actu17 via fdesouche

  • Immonde spectacle à Toulouse

    Publié par Guy de Laferrière le 29 octobre 2024

    lafautearousseau

     Ce Dimanche 27 octobre 2024 sonnait la fin (enfin !) d'un immonde spectacle exceptionnel (?) à Toulouse : le dénouement et le clou du spectacle de la Compagnie La Machine. 

    En pire, c'était un peu comparable, dans la forme comme dans le fond (surtout le fond...) aux scènes ignobles de la cérémonie d'ouverture des JO cet été, à Paris. Mais, alors qu'à Paris - et nous l'avions relevé - il y avait de bons moments - là, à Toulouse, l'horreur était "le tout" du spectacle, elle en était l'alpha et l'oméga, du chiffre de la Bête ("666") au Minotaure, tout ce monde infernal défilait "comme chez lui" dans les rues de la ville rose, devant un public composé d'un petit nombre de gens sachant pertinemment ce qu'ils faisaient et adoraient, et d'une grande majorité d'incultes - les enfants de Jules Ferry et d'une école républicaine qui a fabriqué des zombies ignares en masse - qui se croyait peut-être dans une sorte de Carnaval, les pauvres en culture !...

    Heureusement, des manifestants ont sauvé l'honneur et ont, courageusement, manifesté en "marchant contre" l'horreur de la Bête paradante, arborant son chiffre de "666"

    (extrait vidéo 0'42)

    https://x.com/ladepechedumidi/status/1850575339333771399

    @ladepechedumidi's video Tweet

    La Rédaction de lafautearousseau a beaucoup apprécié l'excellente intervention de Gabrielle Cluzel, dans Face à l'info :

    "...Cette fête satanique a coûté 4,3 millions d’euros, bien sûr financée par nos impôts ! Les chrétiens, nous sommes les seuls à crier notre colère face aux dérives du wokisme dans notre pays. Et nous passons encore une fois pour les méchants et eux pour les gentils..."

    (extrait vidéo 3'03)

    https://x.com/titibellini/status/1850987666399232267

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  • Toulouse : un homme en djellaba armé d’un tournevis agresse une femme pour une histoire de place sur le quai du métro ; l’individu est en fuite

    Publié par Guy de Laferrière le 30 août 2024

    fdesouche
     

    Une femme a été agressée et frappée à coup de tournevis par un homme en djellaba dans le métro de Toulouse, ce jeudi, vers 11h30, indique une source policière. A la station “Trois cocus”, la victime s’est installée à côté de l’auteur sur un siège, sur le quai du métro, quand il l’a invectivée et lui a ordonné de changer de place. Un différend verbal a alors éclaté et l’individu a porté un coup de tournevis au visage de la victime, blessée à la lèvre supérieure. Elle a été prise en charge à l’hôpital sans pronostic vital engagé. Le suspect en fuite est activement recherché.

    Amaury Brelet – Valeurs actuelles

  • Toulouse. Des hôtels transformés en hébergements d’urgence pour accueillir des femmes qui viennent de partout : Maghreb, Nigéria, Indonésie ou encore Géorgie

    Publié par Guy de Laferrière le 11 août 2024


    Entre les murs de certains hôtels, les résidents ne sont pas toujours des touristes. C’est le cas de l’Occitania à Toulouse (Haute-Garonne), entièrement dédié à l’hébergement d’urgence depuis quelques années. Depuis plusieurs années, des hôtels sont transformés en hébergement d’urgence pour des familles en difficulté. C’est le cas de l’Occitania à Toulouse (Haute-Garonne), qui accueille des femmes et leurs jeunes enfants qui ont fui la guerre ou la violence.

    Ces solutions d’hébergement d’urgence sont permises par l’État, qui alloue des enveloppes en faveur d’une politique sociale. Dans ces chambres pas comme les autres, Naïlati est originaire des Comores. Avec son enfant en bas âge, elle a débarqué dans cet hôtel le 17 juin. “J’ai eu mon enfant à Mayotte. Je me suis séparé du père et je suis venu ici” lâche-t-elle.

    Je me suis dit que je devais me débrouiller. On m’a dit qu’on aidait les gens ici : grâce à une assistante sociale, on a fait les démarches pour venir dans cet hôtel.” Un soulagement pour cette maman, qui “serait peut-être à la rue” sans cette solution.

    Soraya, une Algérienne âgée de 38 ans, a, elle, bénéficié d’un hébergement dans cet hôtel pendant deux ans et demi. “Je suis rentré en France et grâce au 115 (le numéro d’urgence sociale), j’ai eu cet hébergement avec mon enfant” raconte cette femme qui loge désormais dans un appart hôtel ailleurs. “Ici, c’est bien car c’est comme une famille. On aide les autres et on partage tout.”

    Elles n’ont pas forcément choisi de venir et sont désorientées. Elles ont donc besoin d’être rassurées et de sentir qu’on va les prendre en charge, dans un environnement serein et calme” sait Vincent Gilabert. Il organise notamment des sorties plage et cinéma, des films aux enfants ou des ateliers lecture. Pour toutes ces femmes, ces solutions d’hébergement d’urgence sont temporaires. Et chacune espère un jour disposer un jour de son propre logement.

    Francetvinfo via fdesouche