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vaccin - Page 7

  • L’Union Européenne fait pression pour un passeport vert numérique

    Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2021

    C’était, dans un passé récent, une théorie des complotistes, vilipendée par la conscience morale universelle et la bien-pensance covidienne qui n’avaient de mots assez durs pour diaboliser ceux qui osaient hypothéquer sur une obligation vaccinale détournée via un passeport vert, sésame pour un retour « à la vie normale ».

    Aujourd’hui, la théorie complotiste devient réalité : l’Union Européenne veut imposer un passeport vert numérique appelé Digital Green Pass pour les déplacements de travail ou de vacances, au nom de la « sécurité de tous ». Ce qui signifie en clair que le vaccin sera obligatoire pour pouvoir voyager.

    Un projet qui présente de nombreux obstacles, compte tenu des nombreux sceptiques en France, en Allemagne et aussi en Italie qui ont déjà déclaré qu’ils ne recevraient pas d’injection de sérum. Pour eux qu’en sera-t-il ? Et qui garantira le secret des données médicales ?  Et puis il y a un autre problème objectif : tous les pays n’ont pas encore des doses suffisantes. Bien sûr, dans les mois à venir, des livraisons de millions de doses sont prévues mais vacciner tout le monde prend du temps. « Préparez-vous à une campagne de masse », exhorte alors une Union européenne qui rêve passeport numérique au plus vite.

    « La proposition sera présentée d’ici mars », a annoncé Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. « Ce mois-ci, nous présenterons une proposition législative pour le laissez-passer numérique. Le but est de certifier que les personnes ont été vaccinées, ou de préciser les résultats des tests de ceux qui n’ont pas pu se faire vacciner. » Le système « respectera la protection, la sécurité et le caractère privé des données personnelles la protection des données, la sécurité et la vie privée », assure la présidente de la Commission européenne sur Twitter en anticipant les voix critiques.

     

    « Le green pass covid facilitera la vie des Européens. L’objectif est de leur permettre, progressivement, de se déplacer en toute sécurité dans l’UE ou à l’étranger, pour le travail ou le tourisme », a-t-elle souligné.

    Ce passeport vert « sera une proposition législative. Ce ne sera donc pas facultatif, mais aura la valeur d’un instrument juridique basé sur les traités de libre circulation. Une fois présentées aux dirigeants, lors du sommet du 25 mars, sur cette base les mesures seront prises pour organiser la vraie mobilité », a ajouté la vice-présidente de la Commission européenne, Margaritis Schinas. Le porte-parole de la Commission européenne, Eric Mamer, a expliqué que l’exécutif travaille sur une proposition juridique visant à « faciliter la libre circulation en toute sécurité dans l’UE ».

    L’objectif est que le laissez-passer soit en vigueur dans trois mois ou en été. « Le passeport concernera les déplacements entre une frontière et une autre, mais pas ce qui peut être fait avec le laissez-passer au sein de l’État membre », a déclaré le porte-parole.

    Pour éviter la « discrimination », seuls 5% des Européens ont été vaccinés à l’heure actuelle, ce passeport vert contiendra également les résultats de tous les tests ou l’immunité réussie après la maladie du covid. Le laissez-passer vaccinal sera basé sur des certificats médicaux de vaccination sur lesquels les États membres se sont déjà accordés. Les lignes directrices sur les données qu’elles contiendront ont déjà été approuvées en janvier, et il faudra désormais trois mois pour les travaux techniques. La présidente de la Commission européenne a insisté sur l’importance de « développer une approche européenne » du système de passeport vaccinal. « Si nous n’y parvenons pas, les initiatives bilatérales » des Etats membres « créeront encore plus de difficultés » et même de grandes entreprises comme « Google et Apple sont prêtes à proposer des solutions à l’OMS ».

    Alors, l’obligation de la vaccination pour tous, une théorie du complot ? Car l’on a beau alors torde les mots dans tous les sens, ce projet de passeport vert numérique vise bien à une obligation vaccinale détournée pour travailler et voyager. Et au fil des mois, il est fort probable que ce laissez-passer covidien deviendra tout autant obligatoire pour aller au restaurant, au cinéma, dans une salle de sport, pourquoi pas les magasins, les universités et autres lieux publics…  Et ceci n’est qu’une énième « théorie complotiste », qui a de fortes chances de se réaliser.

    Bienvenue dans le “meilleur des monde” d’après !

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Les vaccins peuvent faire disparaître le virus, mais pas la crise

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2021

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    Marc Rousset

    La Bourse de Paris a fini au-dessus des 5.700 points, ce vendredi, portée par les perspectives optimistes de reprise économique, suite à la vaccination. Wall Street a également clôturé sur des records, ignorant les mauvais chiffres de l’emploi américain. En décembre, 140.000 emplois ont été perdus, alors que les analystes tablaient sur 112.000 emplois créés. Quant à la folie Tesla, elle continue puisque l’action s’est approchée des 900 dollars, faisant d’Elon Musk l’homme le plus riche du monde, la capitalisation boursière de Tesla (834 milliards de dollars) représentant 80 fois celle de Renault et dépassant celle de Facebook.

    Certains se pâment d’admiration devant les nouveaux cours record du Bitcoin, qui s’approche des 40.000 dollars, alors que d’autres peuvent y voir, au contraire, une preuve supplémentaire de folie spéculative. Le cours anormalement élevé du Bitcoin est un canari dans la mine, qui annonce des explosions à venir. Acheter du Bitcoin consiste, en effet, à acheter du rien, avec de la monnaie de singe des banques centrales créée à partir de rien.

    Tous les boursiers dans le monde parient sur une forte reprise en été au plus tard mais, même si la pandémie disparaît, l’économie ne renaîtra pas, tel le phénix, de ses cendres. Il y a, déjà, 650.000 chômeurs de plus en France, soit 3 millions de chômeurs au total ; 25 % des Français seraient déjà dans la précarité. En 2020, la France a perdu plus de 250 milliards d’euros de PIB, avec une dette qui a davantage augmenté. Viendra le moment où l’État retirera l’assistance respiratoire aux entreprises ; ce sera alors le temps des faillites et des destructions massives d’emplois.

    La croissance, en 2021, peut très bien être proche de zéro, en France, avec des conséquences catastrophiques pour les finances publiques et l’endettement. Quant aux États-Unis, le marché du travail vient de retrouver son niveau du début des années 70, avec 60 % seulement de la population sur le marché du travail, au lieu de 67 % de 1990 à 2010. On assiste, en fait, à la destruction des classes moyennes, aussi bien aux États-Unis qu’en Europe, et lorsque les aides seront supprimées, il y aura des suicides et des descentes aux enfers effroyables pour un trop grand nombre de malheureux.

    Bruno Le Maire ne partage pas l’analyse de ceux qui pensent qu’après une année 2020 catastrophique, 2021 sera fantastique. Il pense que « le plus difficile est devant nous : avec un virus qui persiste et qui mute, plus de faillites, de destructions d’emplois et d’incertitudes politiques ». Il pèche, cependant, par optimisme en prétendant croire que la France peut se redresser en 2021 et afficher une croissance économique de 6 %, sans augmentation d’impôts.

    La dette de la France atteint, désormais, 120 % du PIB, soit une augmentation, en 2020, de 20 points (500 milliards d’euros), alors que celle de l’Allemagne est passée seulement de 60 % à 70 % du PIB. Comme d’autres États, la France émet de la dette qui est, en fait, achetée par la BCE. Le bilan de la BCE a explosé, à 7.000 milliards d’euros, soit 69 % du PIB, contre seulement 35 % du PIB pour le bilan de la Fed aux États-Unis. Cette augmentation bilantielle correspond aux augmentations de la masse monétaire. Il paraît impossible de faire le pari que les taux d’intérêt resteront à des niveaux aussi bas pendant des années

    Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, vient de déclarer qu’il ne fallait pas s’attendre à ce que la BCE maintienne les bas taux d’intérêt pour toujours, avec une mise en garde : « Nous ne prendrons pas en considération les coûts du service de la dette souveraine », ce qui signifierait la banqueroute immédiate pour la France et l’Italie et la fin du « quoi qu’il en coûte » pour Emmanuel Macron. Il faudra donc bien rembourser les dettes. Aux États-Unis, les taux obligataires sont en hausse, à 1,06 %, ce qui correspond à des anticipations d’inflation plus élevées.

    Une autre source d’inflation sera l’augmentation de la très basse vitesse actuelle de circulation de la monnaie, après la fin de la crise sanitaire. On ne peut créer de la monnaie sans conséquence.

    La crise ne finira pas en 2021 ; un retour de l’inflation est possible. Il n’y a, en fait, personne capable de prévoir, malgré le vaccin, ce qui se passera très exactement dans les mois à venir.

     

    Source : synthesenationale

  • Images de l’infirmière s’écroulant en direct devant les caméras de la TV Américaine après avoir reçu le vaccin anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2020

    Voici les images de la télévision américain dont MPI vous parlait à l’instant. La télévision américaine filmait le personnel soignant du centre hospitalier de Chicago recevant le vaccin contre le Covid-19. Une infirmière s’effondre quelques instants après avoir reçu l’injection.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1339738931433263104

     

    La mixture contenue dans cette seringue est en passe d’être approuvée par l’UE qui accélère le calendrier vaccinal.

     

    Source : medias-presse.info

  • Vade retro, Vaccinas !

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    synthesenationale

    pfizer,vaccin

     

    La chronique de Philippe Randa

    La Grande-Bretagne est depuis le 2 décembre le premier pays au monde à autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer et BioNTech, basé sur une technologie innovante dite à ARN messager… ce qui a déclenché la colère de l’ancien Vice-Président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui estime, lui, que la pandémie est terminée et qu’elle peut donc être facilement gérée par un service de santé national en bon état de fonctionnement : « Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains. »

    Sur le site Lockdown sceptics, il s’en prend tout particulièrement au SAGE (Scientific Advisor Group for Emergencies), l’agence scientifique qui conseille le gouvernement du Royaume Uni et a notamment incité au funeste confinement : « Le SAGE soutient que tout le monde était susceptible d’être infecté, alors que seulement 7 % de la population l’a été. C’est tout à fait incroyable ! Ils ont ignoré tout ce qui est connu dans le domaine de l’immunologie sur les virus respiratoires. De même, ils n’ont rien vu ou ont rejeté un travail d’excellente qualité de nombreux immunologistes cliniciens de renommée mondiale qui ont montré qu’il y a environ 30 % des gens qui, au départ, sont déjà immunisés » (Déclaration peu reprise, sinon par le National Herald of India).

    Et d’ajouter : « Le SAGE a tort de manière évidente sur un point crucial en disant qu’il n’existe pas d’immunité de base, alors que cette immunité se situe autour de 30 % (et si vous incluez les jeunes enfants, cela monte à près de 40 % d’immunité – bien que nous devrions davantage parler de résistance que d’immunité). Et en prenant en considération la réalité de l’immunité collective, quand la susceptibilité d’être infecté par le virus tombe aussi bas, entre 28 % et 35 %, cette population ne peut plus être considérée comme l’agent d’une quelconque flambée épidémique et ainsi le virus décroît et disparaît. »

    En France, un Français sur deux est opposé à la vaccination que nous a promis Emmanuel Macron pour la mi-décembre. Annoncée, certes, mais qu’on s’en réjouisse ou qu’on s’en inquiète, les annonces d’un gouvernement, c’est comme leurs promesses : elles n’engagent que ceux qui y croient…

    EuroLibertés cliquez ici

  • Vaccin : la fabrique du consentement par la peur

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2020

    Auteur : 

    Le piège mondial se referme tout doucement…
    Ci-joint un dessin sur la fabrique du consentement par la peur.
     
    Bonne journée
    Laurent / ProjetKO
     
    site internet PROJETKO.FR: