Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 366

  • Si Macron « lèche le cul de la Chine », les bien-pensants lèchent le cul de l’Amérique !

    Publié par Guy de Laferrière le 20 avril 2023

    511167506.jpeg

    Marc Rousset

    Il suffit de lire dans le Figaro, depuis février 2022, les mensonges dogmatiques, outranciers, inconditionnels, systématiques, à sens unique, de mauvaise foi, pro-atlantistes, anti-russes, sur la guerre en Ukraine des journalistes Isabelle Lasserre et Laure Mandeville !  Il est surprenant de voir tous ces médias qui soutiennent habituellement Macron se retourner subitement contre lui, suite à ses déclarations gaulliennes en Chine, pour une fois pleines de bon sens ! La France ne doit pas être un valet de l’Amérique ; elle n’a absolument rien à faire en Ukraine, et encore moins à Taïwan, en Extrême-Orient, qui est chinoise depuis 1683, aussi longtemps que les Chinois ne voudront pas l’évincer de ses territoires stratégiques pleins d’avenir en Polynésie et en Nouvelle Calédonie !

    Même l’ONU a reconnu dès 1971 que Taïwan était partie intégrante de la Chine, d’autant plus que pendant 20 ans, suite à la guerre civile sur le continent, le seul représentant de la Chine à l’ONU a été Taïwan de Tchang-Kai-Chek, face à Mao-Tsé-Toung ! Le problème de Formose, c’est que l’immense majorité de la population se sent chinoise mais, échaudée à juste titre par ce qui est arrivé à Hong Kong, elle ne veut pas du régime autoritaire chinois et de son niveau de vie moins élevé ; en fait tout se passe comme si la guerre civile reprenait entre les deux Chine ! Il se trouve qu’en Ukraine, contrairement à la propagande occidentale, le contexte est différent car les civils russophones de Novorossia, occupés en fait par l’armée otano-kievienne, sont majoritairement favorables à la Russie et à Poutine !

    Si le voyage de Macron en Chine est une catastrophe de plus, comme tout ce que peut faire un adolescent attardé qui ne connait pas l’histoire, imbu d’une idéologie bien-pensante complètement dépassée, droit de l’hommiste progressiste, fédéraliste au niveau européen, atlantiste, du moins les paroles prononcées sur l’autonomie stratégique française et européenne, ainsi que sur le non alignement avec les intérêts américains, sont pertinentes. La France n’a pas à faire la guerre pour le compte des Américains que ce soit en Ukraine, en Irak ou à Taiwan ! Comme dit le dicton, parfois sur un tas de fumier, il pousse quelques belles fleurs…

    Macron doit donc être conséquent avec ses déclarations, mettre fin à ses rêves d’Europe fédérale, arrêter de vendre l’industrie française à l’encan (Alstom à General Electric). Si la France veut regagner son indépendance stratégique et quitter l’OTAN (ce que n’envisage pas Macron) encore nous faut-il une Armée forte, puissante, autonome et une puissance industrielle, agricole, économique, technologique suffisante ! Maastricht a créé une France déboussolée, dépendante et pauvre, pas le surplus de puissance qui avait été promis par Mitterrand car les Français se sont laissées piéger par un euro stable et surévalué en passant des lois sociales suicidaires pour leur compétitivité (35 heures, et retraite à 60 ans complètement aberrante). De plus, les charges sociales, suite à l’invasion migratoire et à la gabegie des dépenses publiques, ont tué l’industrie française et l’ont amenée à délocaliser !

     

    Source : synthesenationale

  • Disparition d’Emanuela Orlandi, et accusations contre Jean-Paul II, quelques rappels opportuns

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023

    Les déclarations fracassantes de Pietro Orlandi, le frère d’Emanuela Orlandi, suscitent bien de l’étonnement, des interrogations, voire de l’indignation ces jours-ci (1). Les chroniques sont pleines de déclarations sur la vie privée de Karol Wojtyla, qui aurait eu des amantes et aurait su quelque chose sur la fin de la pauvre Emanuela Orlandi.

    Dans l’histoire, nous avons eu de nombreux Vicaires légitimes du Christ qui furent de grands pécheurs mais ne modifièrent pas la Doctrine et la Morale

    À cet égard, certains catholiques, à juste titre, rappellent que « les éventuels péchés personnels de ceux qui siègent sur le trône ne devraient pas intéresser les catholiques » outre mesure. « Dans l’histoire, nous avons eu de nombreux Vicaires légitimes du Christ qui furent de grands pécheurs, en particulier de luxure, avec des enfants et des petits-enfants. Pourtant, ils ne modifièrent pas la Doctrine et la Morale, ni la liturgie, mais l’ont transmise sans altération et dans une parfaite orthodoxie. De plus, les papes Borgia, malgré un mode de vie libertin, nous ont laissé des encycliques splendides, absolument catholiques ».

    Quelle qu’ait pu être la vie privée du pape Jean-Paul II, il a été le premier à appliquer la nouvelle théologie du Concile Vatican II, qui a rompu avec 2000 ans de Tradition.

    En revanche, quelle qu’ait pu être la vie privée du pape Jean-Paul II, il a été le premier à appliquer la nouvelle théologie du Concile Vatican II, qui a rompu avec 2000 ans de Tradition. Il a détruit les deux premiers commandements par un œcuménisme fou qui mettait sur le même plan toutes les religions. Vérité et erreur, Bouddha placé sur le tabernacle lors d’Assise 86. Syncrétisme et œcuménisme sont la synthèse de son enseignement. Il a embrassé le Coran et a visité des synagogues et des temples luthériens. Il a autorisé la communion sur la main et permis des liturgies clownesques. Il a fait de la collégialité un élément de base, afin d’avilir la papauté romaine.

    L’œcuménisme de Jean-Paul II est bien plus grave que les accusations sans preuves d’Orlandi

    Il a manipulé le Rosaire dicté par la Vierge, en y ajoutant les Mystères lumineux, comme s’il se sentait encore meilleur que la Sainte Vierge Marie. En bref, il a détruit l’Eglise de l’intérieur. C’est sur ce point que les catholiques se doivent de réfléchir au-delà de la sensiblerie.

    Pour le reste, la justice terrestre se chargera, si elle le peut, de trouver la vérité et nous l’espérons pour la famille Orlandi, qui souffre depuis de trop nombreuses années.

    Francesca de Villasmundo

    (1) Autres articles concernant ce dossier

     

    Source : medias-presse.info

  • L’euthanasie des enfants de 1 à 12 ans aux Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023

    Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l'euthanasie des enfants
    Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l’euthanasie des enfants

    Le gouvernement néerlandais est sur le point d’adopter une nouvelle règlementation de l’euthanasie pour les enfants âgés de 1 à 12 ans. La mesure a été annoncée vendredi dernier par le ministre de la Santé, Ernst Kuipers. Pendant ce temps, le nombre de décès par suicide assisté ne cesse de croître dans le pays et représente déjà plus de cinq pour cent de tous les décès.

    Cette nouvelle règlementation concernera l’euthanasie appliquée aux enfants entre 1 et 12 ans qui ont “une maladie ou un trouble si grave que la mort est inévitable”. L’euthanasie des enfants est déjà pratiquée en Belgique et aux Pays-Bas depuis quelques années.

    Le nombre de personnes décédées aux Pays-Bas à l’aide d’une procédure d’euthanasie a augmenté de 13,7% l’année dernière, pour atteindre un total de 8 720 cas, représentant 5,1% de tous les décès enregistrés dans le pays en 2022, selon les chiffres officiels.

     

    Source : medias-presse.info

  • Nike choisit un transgenre pour la promotion de ses vêtements de sport féminins

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023

    Nike choisit un transgenre pour la promotion de ses vêtements de sport féminins
    Nike choisit un transgenre pour la promotion de ses vêtements de sport féminins

    L’un des boycotts conservateurs les plus réussis de mémoire récente a fait perdre à Bud Light des milliards de dollars à cause de sa décision de présenter l’influenceur transgenre Dylan Mulvaney comme mascotte.

    Mulvaney a aussi été recruté par Nike. Mulvaney est un homme. Il n’a pas de seins. Cela n’a pas empêché Nike d’embaucher Mulvaney pour modéliser des vêtements pour femmes, notamment des leggings et un soutien-gorge de sport. Il est difficile de ne pas voir la décision de Nike comme une provocation délibérée. Nike est une entreprise engagée sur les terrains sociétaux et politiques.

    Nike, avec sa campagne “BeTrue”, présente un marketing de marque ciblant directement le mouvement LGBT : ” La collection Be True 2022 est une célébration de l’amour à travers l’identité, l’expression et le sport. Les athlètes LGBTQIA+ redéfinissent ce que le sport signifie pour l’avenir et unissent les gens autour d’un objectif commun : l’amour de chaque athlète, l’expression de genre et l’orientation. “

    Nike est félicité par le lobby LGBT Human Rights Campaign. Nike a été l’une des premières marques à présenter un athlète “transgenre” dans une campagne marketing et a sponsorisé un documentaire sur le sujet. En 2017, ils ont récidivé . La société a lancé une paire de chaussures spécialisées pour célébrer le soulèvement de Stonewall. En 2019, Nike a produit une vidéo faisant la promotion des athlètes « transgenres ». Nike donne une petite fortune chaque année à une gamme d’organisations LGBT pour soutenir la promotion de l’agenda LGBT. En bref, l’agenda politique du mouvement LGBT est l’une des principales priorités d’entreprise de Nike.

    Nike va plus loin en approuvant explicitement un programme LGBT destiné aux enfants. Le 5 avril, OUTMemphis , un groupe LGBT, a publié une publicité pour une “Journée de terrain pour les jeunes Queer” le 22 avril pour les jeunes de 13 à 25 ans, déclarant que “La journée de terrain pour les jeunes Queer est de RETOUR et PLUS GRANDE que jamais!” avec DJ, maquillage et tie-dye. Au coin de la publicité se trouve un petit encadré affichant le sponsoring par Nike.

    Le mouvement LGBT est passé rapidement de la redéfinition du mariage à l’endoctrinement de la jeunesse américaine – et Nike est à leurs côtés.

    Chaque mois de juin, le monde des affaires hisse le drapeau arc-en-ciel ; les entreprises paient d’énormes chars pour participer aux défilés de la fierté dans différents pays occidentaux ; un bref coup d’œil au « Corporate Equality Index » de la Human Rights Campaign vous donnera une idée de l’étendue de leur influence.

    C’est précisément pourquoi le boycott réussi de Bud Light est important – car il s’agit d’une leçon. Il est possible de les atteindre par les conséquences économiques de leur propagande subversive si les défenseurs de la Famille se montrent déterminés.

     

    Source : medias-presse.info

  • Un flop à 5 milliards, révolte contre la pub pro trans de Budweiser

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023

    La trouvaille politiquement correcte pour vanter la bière Budweiser s’est avérée être un incroyable boomerang : 5 milliards de dollars envolés. Il y en a qui pointent du doigt le sexisme, mais en attendant la société est obligée de prendre du recul et de revoir sa pub avec le trans Dylan Mulvaney, celui choisi par Nike pour la promotion de ses vêtements de sport féminins.

    Dans l’éternelle bataille pour savoir qui est le plus progressiste d’Amérique, la marque de la célèbre bière Bud Light, la plus populaire des Etats-Unis, a décidé de s’appuyer sur l’activiste transgenre Dylan Mulvaney, mais la décision s’est avérée être un boomerang sensationnel : la part de l’entreprise en bourse s’est effondrée (-4,7 %), perdant environ 4,56 milliards de dollars de capitalisation. Les impérissables accusations de sexisme ne manquent pas, mais en attendant l’entreprise a préféré faire marche arrière en créant un nouveau spot « patriotique ».

    L’affaire Bud Light et sa campagne publicitaire woke

    À la recherche de nouveaux groupes de consommateurs, Bud Light a décidé d’entamer un partenariat avec l’une des références du monde trans : né en 1996, Dylan Mulvaney peut se targuer d’avoir 1,8 million de followers sur Instagram et 10 millions de followers sur TikTok et sa transition de l’homme à la femme a été au centre du débat public. Profitant de la pandémie, il a raconté son expérience sur les réseaux sociaux, suscitant l’intérêt de nombreuses entreprises : de Nike à Kate Spade, il est devenue l’un des trans les plus demandés, gagnant plus d’un million de dollars. Mulvaney a également été accueilli à la Maison Blanche pour une rencontre avec Joe Biden. « Dieu vous aime », furent les mots de Joe le président démocrate pro-lgbtqi+.

    Bud Light a voulu en profiter : parier sur Dylan Mulvaney pour un sponsoring, « c’est comme choisir Lionel Messi pour tirer un penalty ». Mais même la poule aux œufs d’or peut s’avérer être un mauvais choix. Intitulée 365 Days of Girlhood, la campagne publicitaire de Bud Light a tout misé sur l’histoire transitionnelle de l’influenceur transgenre, avec des canettes de bière sur lesquelles son visage était imprimé.

    Contre toute attente de l’Anheuser-Busch, la maison mère de Bud Light, l’annonce a été reçue froidement. En plus de la baisse drastique des ventes, l’entreprise a dû faire face à de véritables actions de boycott : le chanteur John Rich a annoncé qu’il avait retiré la bière de son bar de Nashville, tandis que Kid Rock a sorti une vidéo qui le voit utiliser les Bud Lights pour l’entraînement à la cible.

    Entre sexisme et retour en arrière, la cancel culture pert la bataille

    Face à la polémique, beaucoup ont pointé du doigt le sexisme pour justifier le flop du coup publicitaire. Les accusations habituelles contre l’Amérique intolérante et la prétendue tranche transphobe de la société ont fleuri mais rien n’y a fait. Les fidèles consommateurs de la bière, les mâles blancs ou noirs hétérosexuels, ont boycotté la marque. « Je suis une cible facile », a pleurniché Mulvaney.

    Malgré les excuses promptement présentées, « Nous n’avons jamais eu l’intention de faire partie d’une discussion qui divise les gens. Notre métier est de rassembler les gens autour d’une bière », a écrit Brendan Whitworth dans une lettre ouverte publiée sur le compte Twitter de l’entreprise, Bud Light a préféré prendre du recul pour tenter de sauver la situation : après avoir perdu des milliards, elle a décidé d’accomplir un virage à 180° et de lancer une publicité patriotique, identitaire, en bref à l’opposé de la précédente woke. Les chevaux galopent de la côte est à la côte ouest, traversant les espaces les plus significatifs du pays tandis que le peuple américain est occupé à hisser le drapeau des États-Unis. Une publicité qui célèbre les valeurs stars and stripes, l’amitié mais aussi une certaine virilité, the american spirit. Bien loin de la mentalité de la cancel culture des progressistes à la mode Mulvaney.

    Reste à savoir si cela suffira à arrêter le boycotte.

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info