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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 370

  • Bordeaux : « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » ; sous OQTF et ayant “souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance”, il écope de 6 mois de prison pour vol

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    Il a d’abord nié en bloc. Avant de reconnaître l’évidence. « Oui, c’est moi sur la vidéo, c’est moi qui ai pris le téléphone », murmure un jeune de 26 ans, dans le box des prévenus de l’audience des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Bordeaux.

    Il est jugé sous une identité, mais, depuis son arrivée sur le territoire français il y a neuf ans, a souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance au fil des alias présentés. Le 11 avril vers 20 h 45, cours Victor-Hugo à Bordeaux, une jeune femme s’est rendu compte que son téléphone avait disparu de son sac. Elle a pu géolocaliser son appareil et le voir se déplacer cours de l’Argonne et s’arrêter à Talence.

    La vidéosurveillance d’un bar a filmé la scène du vol. Le prévenu est clairement identifiable. Le lendemain, la victime s’est rendue à l’endroit où elle a perdu la trace de son smartphone. Là, elle a reconnu le voleur et appelé la police municipale.

    « Et les autres téléphones », s’interroge le président. « Je les ai achetés en magasin », rétorque le prévenu qui fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. « Je sais que je dois partir mais je n’ai pas d’argent, je n’ai pas de passeport et j’ai une fille, née en France, que je ne veux pas laisser derrière moi. »

    (…) « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » Le tribunal a opté pour une peine de six mois et une incarcération immédiate.

    Sud Ouest via fdesouche

  • La sensibilité aux odeurs corporelles et la xénophobie seraient liées : c’est ce qu’avance une étude menée sur 7.000 personnes issues de neuf pays

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    La sensibilité aux odeurs corporelles et la xénophobie seraient liées

    Avis aux nez sensibles. Si vous êtes facilement écœuré par les odeurs corporelles d’autres personnes, vous avez plus de chances d’être xénophobe. Une étude publiée par l’Institut Karolinska de Stockholm, et relayée par The Telegraph, est parvenue à ces résultats.

    7.000 personnes issues de neuf pays ont répondu à un questionnaire de l’institut suédois qui présente un scénario comportant un groupe fictionnel d’individus originaires du pays de «Drashnea» situé soit en Europe de l’Est, soit en Afrique de l’Est. Ces migrants fuient le chaos ambiant dans leur pays et cherchent à venir dans la région des personnes interrogées.

    Les sondés se sont vu poser six questions pour mesurer leur ressenti personnel quant à l’immigration, puis sur diverses odeurs désagréables (sueur, pieds, urine, haleine…). Ils devaient ensuite attribuer une note de dégoût, de 1 à 5, à chacune des senteurs.

    Il en est ressorti que ceux qui sont le plus écœurés par ces parfums sont également ceux qui sont le plus xénophobes. Par ailleurs, les personnes les plus âgées et les moins éduquées ont montré le plus d’aversion face aux migrants.

    www.slate.fr via fdesouche

  • Encore un revenant de "la section des piques de 1793"...

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    lafautearousseau

     À Paris, ce minot (terme non péjoratif) déclare à la télé qu'il veut "la retraite à 60 ans" : c'est pas beau, le bourrage de crâne façon "bobo/gaucho/fricos" ?
     
    Image
     
    Écoutez-le parler ce "petit minot" (on dit "petit minot" pour ne pas dire ce "petit c.."). Encore un revenant de "la section des piques de 1793"...
     

     

  • La prédiction du mage Attali pour août 2023 : une immense crise financière

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

     
    Ce qui est marrant, enfin, pas pour tout le monde, c’est quand un gros bonnet de la finance nous annonce une crise financière majeure.

    On se dit : le gars, qui est juge et partie, il n’a rien pu faire contre le tsunami qui arrive, et dont lui et ses amis ont bien profité ?

    Une immense crise financière menace. À moins d’agir vite, elle frappera, probablement au cours de l’été 2023. Et si, par procrastination générale, elle est reportée, elle n’en sera, plus tard, que plus sévère. Nous avons encore tout pour la dominer vraiment, à condition de comprendre que c’est tout notre modèle de développement qui est en cause.

    La situation mondiale ne tient aujourd’hui que par la force du dollar, lui-même légitimé par la puissance économique, militaire et politique des États-Unis, qui restent le premier refuge des capitaux du monde. Or ils sont aujourd’hui menacés par une très grave crise budgétaire, financière, climatique et politique :

    La dette publique américaine atteint 120 % du PIB, sans tenir compte des garanties données par l’administration fédérale aux divers systèmes de retraites des agents fédéraux ni du financement nécessaire des futures catastrophes climatiques. Or, depuis la mi-janvier 2023 le Trésor américain a atteint la limite de ce qu’il a le droit d’emprunter ($31.4Tr) ; les salaires des fonctionnaires et de l’armée ne sont plus payés que par des expédients (que la Secrétaire au Trésor dit ne pas pouvoir prolonger au-delà de début juillet 2023). Les Républicains, qui contrôlent la Chambre des représentants, se préparent à proposer ce que la Maison Blanche dénonce déjà comme des « coupes dévastatrices qui affaibliraient la sécurité nationale tout en accablant les familles de travailleurs et de la classe moyenne ». Et le projet des Démocrates, qui vise à une réduction du déficit en 10 ans, par une hausse massive des impôts des plus riches, n’a pas plus de chance d’être adopté par le Congrès. Les Américains pourraient une fois de plus s’en tirer par une nouvelle hausse du plafond de la dette, dont personne ne veut. Et qui ne résoudrait rien.

    La dette privée n’est pas dans un meilleur état : elle atteint 16 900 milliards de dollars soit 2 750 milliards de plus qu’avant la crise du Covid-19 ; soit 58 000 dollars par adulte américain ; ou encore 89 % du revenu disponible des ménages américains. Une bonne partie ne finance que des dépenses de consommation et l’achat de logements ; en particulier, la dette immobilière atteint 44 % du revenu disponible des ménages américains, soit le plus haut niveau historique, supérieur à celui de 2007, quand elle a déclenché la crise précédente. Et les Américains les plus pauvres continuent d’emprunter, avec la garantie de la Federal Housing Administration, pour acheter des logements avec un apport personnel limité à 5 % mais des mensualités pouvant aller jusqu’à 50 % de leurs revenus ! Système intenable. (…)

    À cela s’ajoute un climat révolutionnaire, où plus personne n’exclut une crise constitutionnelle, pouvant même conduire, selon certains, à la sécession de certains États.

    […]

    Comment l’éviter ?

    Il y a à cela quatre solutions : des économies radicales, dans le même mode de développement, (qui ne feront que créer de la misère et de la violence) ; une relance budgétaire et monétaire (qui ne fera que reporter l’échéance) ; la guerre (qui conduira au pire, avant peut-être d’ouvrir des opportunités pour les très rares survivants).

    Lire l’article entier sur attali.com

  • Novak DJOKOVIC offre deux de ses raquettes de compétition au profit de la Fondation Jérôme Lejeune

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    Novak Djokovic, fervent croyant
    Novak Djokovic, fervent croyant, remercie Dieu à chacune de ses victoires

    La Fondation Jérôme Lejeune organise le 4 mai 2023 une vente aux enchère, à l’hôtel Drouot, 9, rue Drouot, 75009 Paris, parrainée par Ari Vatanen, ancien pilote de Formule 1.

    Parmi les articles qui seront mis en vente, figurent deux des raquettes de compétition du joueur de tennis Novak DJOKOVIC, actuel numéro 1 mondial et vainqueur de 22 tournois du grand chelem (record partagé avec Raphaël Nadal) qu’il a utilisé en 2020 et 2021 en compétitions officielles.

    Chacune de ces deux raquettes sont estimée à 2000 à 3000 euros.

    Djokovic était déjà connu pour son opposition aux pseudo-vaccins contre le coronavirus qui l’a empêché de participer à plusieurs tournois, dont l’open d’Australie de 2022. On est heureux d’apprendre qu’il soutient concrètement la Fondation Jérôme Lejeune, du nom du scientifique qui a découvert l’origine de la trisomie 21 en 1958.

    Cette vente comprend en tout 120 lots. Le catalogue des lots et les modalités pour effectuer les offres d’achat sont disponibles sur le site de la fondation à l’adresse “https://www.fondationlejeune.org/venteauxencheres/”.

    Parmi les lots figures des peintures, des objets sportifs, des bijoux, des bouteilles d’alcool, etc.

    Outre son combat pour trouver des traitements contre la trisomie 21, la fondation est résolument pro-vie.

    Bon temps pascal à tous.

    Gontran PAUME

     

    Source : medias-presse.info