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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 492

  • L’OMS publie aujourd’hui une mise à jour des médicaments qui doivent être stockés pour les urgences radiologiques et nucléaires ainsi que ses conseils aux gouvernements pour les administrer

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis aujourd’hui à jour sa liste de médicaments qui doivent être stockés pour les urgences radiologiques et nucléaires, ainsi que des conseils politiques pour leur gestion appropriée. Ces stocks comprennent des médicaments qui préviennent ou réduisent l’exposition aux rayonnements, ou traitent les blessures une fois l’exposition survenue.

    “En cas d’urgence radiologique, les personnes peuvent être exposées à des doses allant de négligeables à potentiellement mortelles. Les gouvernements doivent mettre les traitements à la disposition de ceux qui en ont besoin – rapidement”, a déclaré le Dr Maria Neira, Sous-Directrice générale par intérim de l’OMS, Division des populations en meilleure santé. “Il est essentiel que les gouvernements soient prêts à protéger la santé des populations et à répondre immédiatement aux urgences.”

    Site officiel de l’OMS

    Le rapport de l’OMS (en anglais)

  • Deux États de l’Union européenne vers la rupture des relations diplomatiques avec la Russie

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

     

    Franchissant un pas de plus dans les relations avec la Russie, le ministère des Affaires étrangères estonien a confirmé le renvoi de l’ambassadeur russe dans son pays, ce à quoi le ministère russe a répondu en ordonnant à l’ambassadeur estonien de quitter la Russie, au plus tard le 7 février. La rupture des relations diplomatiques, c’est-à-dire la fermeture des ambassades, serait la dernière étape avant l’entrée en guerre.

    Il s’agit de la dernière manche d’un conflit qui a débuté avec l’expulsion de diplomates russes pour mettre les personnels des ambassades russe et estonienne « à parité » (8 diplomates et 15 travailleurs détachés seulement), en réalité une mesure de rétorsion après l’intervention militaire russe en Ukraine. Puis la Russie a expulsé les diplomates estoniens des consulats de Saint-Pétersbourg et de Pskov par « réciprocité » avec les expulsions dont elle avait fait l’objet.

    En décembre 2022, la Banque centrale d’Estonie a commencé à diffuser au public, avec l’accord de la Banque centrale européenne, une pièce commémorative de 2 euros qu’elle avait frappée en juillet. Sur son verso, celle-ci, en hommage à l’Ukraine indépendante, comporte un slogan nazi [1]. En effet, le 30 juin 1941, le « nationaliste intégral » Stepan Bandera proclama l’indépendance de l’Ukraine avec l’appui des nazis [2].

    Le 23 janvier, Tallinn a annoncé le transfert de 113 millions d’euros d’aide militaire estonienne aux forces armées ukrainiennes, comprenant « tous les obusiers FH-70 de 155 mm », ainsi que des obusiers D-30 de 122 mm, des obus d’artillerie et des Carl Gustaf M2 lance-grenades antichars.

    Depuis le 9 janvier, l’Estonie réfléchit à étendre sa « zone maritime exclusive » en créant une « zone maritime contiguë » dans laquelle ses gardes-côtes pourront arraisonner tout navire. Compte tenu de l’étroitesse de la mer Baltique, Tallinn bloquerait ainsi, en violation du droit international, les entrées et sorties du port de Saint-Pétersboug, la seconde ville de Russie.
    En 1939, l’Union soviétique tenta de négocier avec la Finlande un moyen de protéger Leningrad (actuel Saint-Pétersbourg), à partir des îles du golfe de Finlande, d’une invasion nazie, mais les Finlandais ne comprirent pas la préoccupation soviétique. Prise à la gorge, l’URSS envahit une partie de la côte finlandaise (« guerre d’hiver »), ce qui fut utilisé par les Occidentaux pour l’exclure de la Société des Nations (ancêtre de l’actuelle ONU).

    Prenant exemple sur l’Estonie, la Lituanie a annoncé qu’elle expulsait l’ambassadeur de Russie.

    Source : voltairenet.org

  • Le prix des carburants : on continue de se moquer des Français !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    1° janvier 2023, le gazole se vendait environ à 1,75€ le litre avec un baril à 86$ et une parité euro dollar à 1,066$, sans la ristourne de 10 cts par litre qui était tombée le jour même. Pour mémoire, en janvier 2022, il valait environ 1.64€/litre, baril à 88$ et une parité à 1,14$.

    Or, depuis quelques jours, je voyais les prix du brut descendre et la parité euro dollar remonter, ce qui devait avoir une issue favorable à la baisse des prix des carburants. Que néni ! Cette semaine, le gazole frôle allègrement les 1.92€ !

    Tous les matins, dans mon demi-sommeil, j’écoute les affabulations de France Tout Faux (France Info) afin de détecter le bobard du jour. A 6H35 le jeudi 26 janvier, bingo, lors du «  brief éco », un journaliste explique pourquoi le carburant augmente alors que le baril stagne et que la parité euro dollar s’améliore : (sic) « cela est dû à deux facteurs, le premier la fin de la ristourne (Oh, le bon gros mensonge !), le deuxième, les pétroliers en France, sont obligés de compléter les offres de raffinages dans leurs installations afin de pallier au manque de produits finis ». «  Et donc, pour payer ces nouvelles infrastructures, ils le répercutent dans le prix ! (re-sic) »

    J’analyse la chose de la façon suivante pour faire passer la pilule : Un, ils mentent sans vergogne (mais nous y sommes malheureusement habitués), deux les pétroliers, qui ont perdu pas mal d’argent lors des derniers mois avec les grèves de leurs salariés, tentent de rattraper le retard et sont soumis aux injonctions de l’UE en matière d’indépendance énergétiques depuis le conflit en Ukraine.

    Fabriquer en France une usine complémentaire « à gamelles » appelée ainsi dans le jargon pétrolier coûte cher, très cher, au bas mot un milliard d’euros par raffinerie. Et si nos gouvernants avaient fait de l’indépendance énergétique au bon moment, nous ne paierions pas plus cher et de l’emploi qualifié serait conservé, nos pétroliers n’auraient pas fermés trois raffineries en France (Dunkerque, La Mède, Reichtett). La douloureuse représente donc 17 cts TTC (1,92 – 1,75), 14 cts pour les pétroliers et …3 cts de taxe ! Et là, c’est bizarre, on n’en parle pas ! Cela revient à environ 75 millions d’euros par mois, de quoi payer les 100 euros de prime carburant pendant quelques mois sans débourser quoi que ce soit, un malin ce « sinistre » de l’Economie.

    Donc au final, nos gouvernants et les pétroliers se fichent bien de nous…et de notre porte-monnaie qui en prend un coup de plus dans cette inflation galopante qui court et qui est loin d’être terminée.

    La cocotte-minute continue de surchauffer. Le pouvoir brandit le bâton au premier qui passera la tête par la fenêtre. Nous sommes à 1,92€ le litre de gazole, personne ne descend dans la rue alors qu’à 1,5€ il y avait 28 0000 manifestants gilets-jaunes et la situation financière des ménages a empirés. Tout cela n’est pas très sain et risque de se transformer en un volcan explosif qui va se déclencher sans crier gare ! Souvenir, souvenir, la montagne Pelée en Martinique a explosé en 1902, ensevelissant la commune de Saint Pierre après les blasphèmes et les hérésies locales, provoquant la mort de 30 000 personnes. A méditer pour nos gouvernants !

    Anatole CASTAGNE

     

    Source : medias-presse.info

  • Plus de 30 millions d’euros remboursés aux candidats à la présidentielle

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    Plus de 30 millions d’euros remboursés aux candidats à la présidentielle

    La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a publié les décisions relatives aux comptes de campagne de onze candidats à l’élection présidentielle des 10 et 24 avril 2022. Mme Marine LE PEN ayant formé un recours, la décision relative à son compte de campagne sera publiée par le Conseil constitutionnel dès lors qu’il aura statué.

    Remboursements du contribuable français auprès des candidats (pour les détails des dépenses et recettes de chaque candidat, cliquez sur les liens) :

     

    Source : lesalonbeige

  • « Pas d’argent » dans le budget de l’UE pour des clôtures frontalières, selon la Commission européenne

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    Alors que Vienne veut une frontière extérieure de l’UE «plus robuste» et Sofia deux milliards pour agrandir sa «barrière», Bruxelles préfère garder «ses» sous pour d’«autres choses».

    La Commission européenne a réitéré, jeudi, son opposition au financement par l’UE de murs ou de clôtures pour lutter contre l’immigration irrégulière, une demande émise par une partie des pays membres, dont l’Autriche encore récemment.

    «Il n’y a pas d’argent dans le budget de l’UE pour cela. Si nous devions dépenser de l’argent pour des murs ou des clôtures, il n’y aurait pas d’argent pour d’autres choses», a déclaré la commissaire européenne aux Affaires intérieures, Ylva Johansson, interrogée à son arrivée à une réunion des ministres de l’Intérieur à Stockholm.

    Discussion «intense»

    Lundi, le chancelier autrichien Karl Nehammer s’est rendu à la frontière entre la Bulgarie et la Turquie, le long de laquelle une clôture a été érigée par Sofia pour empêcher les arrivées de migrants. Il a indiqué «soutenir» la demande du président bulgare Roumen Radev à la Commission d’obtenir «deux milliards d’euros pour étendre cette clôture, afin de fournir une réelle protection pour l’Union européenne».

    «Il est nécessaire de rendre la frontière extérieure de l’UE plus robuste, pour que nous ayons la possibilité de voyager de façon sécurisée au sein de l’espace européen.»

    Gerhard Karner, ministre autrichien de l’Intérieur

    «Il s’agit d’équipements techniques, de caméras de surveillance, de drones, d’hélicoptères, de véhicules et de l’infrastructure elle-même. L’Autriche est clairement du côté de la Bulgarie quand il s’agit de soutenir ce pays dans cette démarche», avait ajouté le chancelier, qui compte soulever la question au prochain sommet européen des 9 et 10 février.

    Son pays, confronté à une forte hausse des demandes d’asile, avait bloqué, en décembre, l’intégration de la Bulgarie et de la Roumanie dans l’espace Schengen de libre circulation, redoutant que cela n’accroisse les arrivées de migrants.

    (…) Le Matin via fdesouche