Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 490

  • Cocktails Molotov sur les églises à Paris : un ukrainien arrêté et discrètement interné

    Publié par Guy de Laferrière le 29 janvier 2023

    Avec une discrétion inusitée pour ce type d’affaires – trois églises attaquées en moins de dix jours, tout de même, un SDF ukrainien âgé de 47 ans a été arrêté puis non moins discrètement hospitalisé d’office suite aux jets d’engins incendiaires sur les portails d’entrée de trois églises du centre et du nord-est de Paris.

    Pour rappel, trois églises ont été visées :

     

    • Saint-Martin des Champs dans la nuit du 18 au 19 janvier
    • Notre-Dame de Fatima à deux reprises, les 17 et 22 janvier
    • Saint-Laurent dans la nuit du 24 au 25 janvier

    En fin de compte, un suspect d’origine ukrainienne a été interpellé. Il est défavorablement connu de la justice, ayant été jugé et condamné à deux reprises pour vols. Il a été hospitalisé d’office lors de sa garde à vue.

     

    Source : medias-presse.info

  • Espagne – Foule immense pour les funérailles du sacristain assassiné par un islamiste

    Publié par Guy de Laferrière le 29 janvier 2023

    Espagne – Les funérailles de Diego Valencia, le sacristain décédé mercredi dernier après avoir été frappé à la machette par un homme de 25 ans d’origine marocaine qui a perpétré une attaque contre deux églises à Algésiras (Cadix), ont eu lieu ce vendredi à l’église de Nuestra Señora de La Palma.

    L’évêque du diocèse de Cadix et Ceuta, Mgr Rafael Zornoza, a célébré la messe, en présence de la famille de Diego, de ses amis et des autorités, comme le président de la Junta de Andalucía, Juanma Moreno, ou le maire de la ville, José Ignacio Landaluce. Mais c’est une foule immense qui a voulu accompagner le cercueil du défunt et lui rendre un dernier hommage.

    « Il est mort pour sa foi et en se souvenant de sa foi « , a déclaré l’évêque.

    Diego Valencia, 65 ans, marié et père de deux filles, était le sacristain de la paroisse depuis 16 ans.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le retour du spectre de la cyber-pandémie

    Publié par Guy de Laferrière le 28 janvier 2023

    Le Forum économique mondial est maître en stratégie de la peur. Il agite depuis plusieurs années le spectre de la « cyberpandémie « . Le sujet est revenu sur la table lors de l’édition 2023 du Forum de Davos.

    Jeremy Jurgens, directeur général du Forum économique mondial (WEF), a prédit qu’un « cyberévénement catastrophique » pourrait se produire « dans les deux prochaines années ».

    « La découverte la plus frappante que nous ayons trouvée est que 93% des cyber-leaders et 86% des cyber-entrepreneurs pensent que l’instabilité géopolitique rend probable un cyber-événement catastrophique dans les deux prochaines années « , a déclaré Jeremy Jurgens lors d’une conférence de presse à l’assemblée annuelle du WEF à Davos.

    « Cela dépasse de loin tout ce que nous avons vu dans les enquêtes précédentes « , a ajouté le représentant du WEF.

    « Les cyberattaques peuvent se propager de manière imprévisible « , a-t-il déclaré. « Nous l’avons vu dans l’attaque ViaSat qui a été menée contre l’Ukraine, qui visait initialement à fermer les services de communication pour l’armée ukrainienne, mais aussi à fermer des parties de la production d’électricité à travers l’Europe. »

    Jurgens a basé sa déclaration sur une récente enquête auprès des « cyberleaders » et des « chefs d’entreprise » mis en évidence dans les « Global Cybersecurity Outlook 2023 » du WEF.

    Le forum mondialiste annonce depuis des années à une « cyberpandémie », notamment avec ses conférences annuelles Cyber ​​Polygon.

    Dans son rapport sur les risques mondiaux 2022 , le WEF écrit que « si les cybermenaces continuent sans atténuation, les gouvernements continueront à exercer des représailles contre les auteurs (réels ou perçus), conduisant à une cyberguerre ouverte, à de nouvelles perturbations pour les sociétés et à une perte de confiance dans les gouvernements « .

    Tim Hinchliffe, rédacteur en chef du blog d’actualités technologiques The Sociable, a souligné que cela signifierait que les gouvernements n’auraient pas besoin d’identifier de façon certaine l’auteur de la cyber-attraque avant de riposter, mais simplement de présumer qui en est l’auteur, ce qui est la porte ouverte à toutes les manipulations.

    Lors de la Cyber ​​Polygon Conference en 2020, le fondateur du WEF, Klaus Schwab, avait déclaré que « la crise du COVID-19 serait considérée à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure « .

    « Nous connaissons tous, mais n’y accordons toujours pas suffisamment d’attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale, qui mettrait un terme complet à l’alimentation électrique, aux transports, aux services hospitaliers, à notre société dans son ensemble « , avait déclaré Schwab.

    Commentant les sombres prédictions du WEF concernant une éventuelle cyberattaque à grande échelle, Hinchliffe a estimé que « les mondialistes non élus profiteront de chaque crise pour exercer leur influence sur les politiciens, les chefs d’entreprise et la société civile« .

    « Peu importe si la crise a à voir avec la cybersécurité, le changement climatique, la pauvreté ou une pandémie mondiale – chaque solution proposée par le WEF appelle à des collaborations public-privé – une fusion plus étroite de l’entreprise et de l’État« , a écrit Hinchliffe. Et surtout un renforcement de mesures totalitaires.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’industrie médicale, cette nouvelle mafia

    Publié par Guy de Laferrière le 28 janvier 2023

    L’industrie médicale, cette nouvelle mafia

    Le Dr Louis Fouché a été interrogé dans Valeurs Actuelles sur la crise du système de santé. Extraits :

    En 2014, au Collège de France, Claude Le Pen, professeur d’économie, parlait de l’évaluation en santé. Une phrase m’est restée : « Nous sommes là pour liquider le modèle artisanal de la médecine. » Sous-entendu, il faut un modèle industrialisé, normatif et rentable de production et de consommation de biens et services de soins.

    Les politiques sont là pour faire advenir un programme d’optimisation des sociétés décidé à l’avance par des financiers extrêmement organisés. Ils sont les marionnettes d’un système de corruption mafieux absolument éprouvé. Les multinationales du médicament et du numérique, épaulées par leurs opérateurs financiers, sont aux manettes.

    Chaque année, à Chamonix, une réunion huppée réunit ceux qui décident du futur de notre système de santé. La fine fleur des ministères et quelques chefs de services ronflants rencontrent les investisseurs du médicament, du numérique et de la finance, pour recevoir leur feuille de route. Le programme est simple : mettre en place la santé digitale. Cela suppose la destruction préalable du système de santé. Le corps est une machine qu’il faut optimiser. Les soignants humains sont toujours imparfaits. C’est l’implacable algorithme qui va vous soigner. L’enjeu est idéologique mais surtout économique. Accaparer le marché juteux de la santé est un enjeu considérable. […]

    Marcia Angel, rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, écrivait :

    « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches scientifiques qui sont publiées ; ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. »

    L’éditeur en chef du Lancet, Richard Horton, a écrit que la majorité de la publication scientifique médicale n’était désormais plus destinée à mieux comprendre les maladies et leurs traitements mais à justifier la vente des produits de l’industrie pharmaceutique.

    Richard Smith, ancien rédacteur en chef du British Medical Journal, explique que les revues médicales sont le prolongement des départements marketing des industries du médicament. En 2013, il écrit :

    « Il est en effet effrayant de voir combien de similitudes il existe entre cette industrie et la mafia. La mafia gagne des sommes d’argent obscènes, tout comme cette industrie. Les effets secondaires du crime organisé sont des meurtres et des morts, tout comme dans cette industrie. La mafia corrompt les politiques, tout comme cette industrie… »

    Le livre de Peter Gotzsche, Remèdes mortels et crime organisé , qui a reçu en 2014 le premier prix de la British Medical Association, décrit que les pratiques frauduleuses, la corruption et les amendes qui en résultent pour les industries pharmaceutiques sont en fait intégrées à leur business model, au mépris manifeste et répugnant de la vie et de la santé humaine. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • 28 janvier : mort du bienheureux Charlemagne, roi des Francs, empereur d’Occident

    Publié par Guy de Laferrière le 28 janvier 2023

    Dessin de la statue de « Charlemagne et ses leudes », située devant Notre-Dame de Paris.

    Charlemagne du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » dans la nomenclature qui commence avec Clovis, né en 742 et mort le  à Aix-la-Chapelle, est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu’il n’en est pas le fondateur : les Carolingiens.

    Fils de Pépin le Bref, il est roi des Francs à partir de 768, devient par conquête roi des Lombards en 774 et est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le , relevant une dignité disparue depuis l’an 476 en Occident.

    Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes militaires, en particulier contre les Saxons païens dont la soumission est très difficile et violente (772-804), mais aussi contre les Lombards en Italie et les Musulmans d’Espagne.

    Souverain réformateur, chrétien fervent et soucieux d’orthodoxie religieuse, homme de culture, il protège les arts et les lettres et est à l’origine de la « renaissance carolingienne ».

    Son œuvre politique immédiate, l’empire, ne lui survit cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume successorale germanique, Charlemagne prévoit dès 806 le partage de l’Empire entre ses trois fils. Après de nombreuses péripéties, l’empire ne sera finalement partagé qu’en 843 entre trois de ses petits-fils (traité de Verdun).

     

    Source : contre-info