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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 529

  • Paris : un homme malentendant violemment agressé par un groupe de jeunes pour son téléphone ; deux clandestins mineurs algériens interpellés

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Un homme souffrant d’un handicap auditif a été agressé dimanche soir, porte de Clignancourt à Paris, par plusieurs individus. Deux mineurs algériens ont été placés en garde à vue.

    […]

     

    CNews via fdesouche

  • Givors (69) : ils l’embarquent, le séquestrent et le tabassent car il a conversé et proposé des cigarettes à leur sœur de 15 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Un jeune homme de 20 ans en BTS au lycée polyvalent Aragon-Picasso de Givors a été embarqué de force dans une voiture à la sortie des cours en fin de journée. L’affaire aurait débuté par une conversation entre l’étudiant et une jeune fille de 15 ans, à qui il aurait « conversé » et « proposé des cigarettes ».

    Selon Le Progrès, le jeune homme avait été prévenu un peu plus tôt dans la journée par les surveillants de l’établissement et la lycéenne de 15 ans, avec laquelle il avait parlé, que les grands frères de cette dernière risquaient de l’attendre à la sortie. 

    Abandonné dans le centre-ville de Givors

    Conduit dans un endroit désert, un secteur boisé en périphérie de Givors, le jeune homme a été lynché à coups de pied et ses lunettes ont été brisées. Abandonné dans le centre-ville de Givors, il a erré avant d’être récupéré par sa mère vers 18 h 25, toujours selon le journal.

    Deux des auteurs présumés se sont rendus à la police, deux complices ont également été interpellés le lendemain des faits.

    Parmi eux, trois adultes de 23 à 25 ans, dont deux des frères de l’adolescente. Un mineur de 17 ans a aussi été arrêté.

    Les trois adultes étaient jugés ce lundi en comparution immédiate, pour enlèvement, séquestration et violences aggravées commises en réunion.

    mlyon via fdesouche

  • La Réunion : La CGTR “exige” des commerçants qu’ils ferment leurs rideaux sur le parcours de la manifestation contre la réforme de retraites, sous peine “d’en assumer toutes les conséquences”

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    “Nous ne saurons accepter des rideaux ouverts” martèle la CGTR (NDR : affiliée à la confédération CGT) en ce (dernier) jour de soldes… “Les salariés (…) n’acceptent plus que les commerces restent ouverts comme si de rien n’était”. “Il faut comprendre la colère des salariés”, écrit le syndicat en guise d’avertissement. Et, tout en revendiquant une “démarche préventive”, prévient que : “les commerçants et leurs représentants devront assumer toutes les conséquences” d’éventuels débordements.

    Fréquemment mise en œuvre aux Antilles par les syndicats indépendantistes, cette pratique constitue une première à La Réunion et témoigne d’une radicalisation du mouvement.

    A midi, linfo.re faisait état, photo à l’appui, d’une intrusion de manifestants de la CGTR dans les locaux du magasin “Pardon”, régulièrement visé par la mouvance identitaire de gauche pour ses publicités provocatrices.

    Clicanoo – JIR via fdesouche

  • Nantes : un migrant algérien en situation irrégulière se faisait appeler « le caïd des sans-papiers » et semait la terreur dans la ville

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Cet homme et deux autres, tous trois natifs du même village algérien, répondaient, ce lundi 6 février, à Nantes, de trafic de stupéfiants et, pour deux d’entre eux, de séquestration et de violences avec arme. Ils ont été condamnés de deux à cinq ans de prison ferme et deux font l’objet d’une interdiction du territoire national pendant dix ans.

    Ils sont trois prévenus dans le box du tribunal correctionnel de Nantes, ce lundi 6 février. Tous trois natifs de Chlef, en Algérie, en situation irrégulière pour deux d’entre eux. Comme beaucoup de ces jeunes migrants qui comparaissent régulièrement en urgence pour des affaires de stupéfiants ou pour des cambriolages.

    Y a-t-il un lien entre eux ? On peut le supposer, à l’écoute du long exposé de la présidente du tribunal, Ariane Gajzler, et surtout de la démonstration du procureur, Thierry Rolland, s’appuyant sur un témoignage anonyme, sur les plaintes de deux victimes et sur la surveillance mise en place par la police.

    […]

     

    Ouest-France via fdesouche

  • Vendée : se disant « écœuré » par la justice, un couple songe à quitter la France après avoir été victime de squatteurs professionnels

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Se disant «écœuré» par la justice française après des mois de loyers impayés, de nombreux dégâts à réparer et une altercation physique, le couple va mettre en vente son restaurant cet été.

    La décision n’est pas encore définitive. Elle infuse un peu plus chaque jour qui passe. «Avec mon mari, on se questionne beaucoup sur le fait de vendre tous nos biens et de changer de pays», tranche Audrey Oberweis. Cette Lorraine d’origine, installée en Vendée en 2015, ne décolère pas. Dans son viseur : ses anciens locataires qu’elle qualifie de «squatteurs professionnels», la lenteur de la justice et des lois qu’elle juge trop protectrices avec «les escrocs». Un constat cinglant qui fait suite au «cauchemar» vécu par cette quadragénaire et qui a marqué son moral et son physique.

    Dans son histoire, outre une perte financière, il est aussi question de violences. Pour bien la comprendre, il faut remonter quelques années en arrière. En 2019, avec son mari, ils acquièrent un restaurant. Afin de rembourser son prêt et se garantir une rentrée d’argent fixe, le couple met en location sa maison acquise en 2015 et déménage au-dessus du restaurant dans des conditions plus spartiates. «Nous avons loué à des personnes qui nous avaient été recommandées. Leur dossier était bon. D’ailleurs, au début, ils payaient rubis sur l’ongle», retrace-t-elle.

    La situation va se tendre radicalement en août 2021. Huit mois plus tôt, le couple avait averti leurs locataires, via une lettre remise en mains propres, de son souhait de revendre ce bien meublé. Le délai légal en la matière était donc bien respecté voire dépassé. Arguant de difficultés à trouver un autre logement, les locataires changent de ton. Ils affirment ne pas vouloir quitter les lieux sans décision de justice. «Le monsieur s’est énervé, s’est mis à nous injurier puis il m’a mis un coup de poing», décrit Audrey dont les blessures ont été évaluées à huit jours d’incapacité temporaire totale (ITT) et pour lesquelles elle attend toujours réparations.

    (…) Dans ce désordre, le couple retrouve des papiers administratifs qui vont les renseigner sur le profil de leurs locataires. «Nous avons découvert qu’ils avaient déjà connu trois expulsions. Ce sont des squatteurs professionnels. Depuis 2009, ils étaient irréguliers dans le paiement de leurs loyers que ce soit avec un bailleur social ou privé. Ils accumulaient les dettes, faisaient un dossier de surendettement puis recommençaient la même chose», déplore avec amertume Audrey.

    «Ce n’était pas à l’ordre du jour avant cette histoire qui nous a dégoûtés, précise celle dont la santé a aussi été affectée par cette affaire. Nous sommes écœurés de la justice française vu les délais impartis entre chaque procédure. Il faut que la loi évolue et arrête de protéger les escrocs.» Si Audrey et son mari réfléchissent à une potentielle expatriation, une chose est sûre : plus jamais ils ne mettront en location un bien.

    Le Figaro via fdesouche