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abus sexuels

  • Suède : un Somalien tente de violer deux garçons de 11 et 12 ans sous la menace d’un couteau. Il recevra des soins psychiatriques et sera pris en charge en tant que mineur

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2020

    Deux petits garçons ont été victimes d’abus sexuels lorsqu’ils étaient seuls. Dans les deux cas, les victimes ont été menacées avec un couteau. Le châtiment de l’auteur qui a déjà été condamné pour une une longue liste d’infractions était sa prise en charge en tant que mineur. Le verdict a fait l’objet d’un appel par le procureur, qui estime que la classification criminelle et la sanction devraient être renforcées. L’expulsion du pays n’est cependant pas pertinente.

    C’est à Upplands Väsby au nord de Stockholm qu’Adan Mohamed Hassan, un immigrant somalien de 17 ans, est au centre de deux affaires de crimes sexuels contre deux garçons de 11 et 12 ans, sous la menace d’un couteau. Les garçons ont souffert de problèmes mentaux après ces expériences d’horreur. Adan vivait à l’époque dans une maison HVB (centre d’aide résidentiel pour jeunes) de la région. […]

    Samnytt.se via fdesouche

  • Zanotti, le prêtre italien immigrationniste accusé de fraude et d’abus sexuel aux dépens des… migrants

    Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2020

    Le père franciscain Zanotti est une figure emblématique italienne de l’immigrationnime à tout va, un de ces prêtres conciliaires, ayant troqué la soutane pour l’habit du bon samaritain socialiste, faisant de la politique en tant qu’assistante sociale de toute la misère du monde, promouvant l’accueil des migrants et l’ouverture à l’autre, donneur de leçons de morale aux Salvini et autres… En 2007, il a reçu le « Prix pour la Paix » de la région Lombardie en Italie. « Educateur spirituel » comme il se définit, il est aussi le fondateur de la communauté Oasi7, un centre d’accueil pour migrants. En bref, le prototype du clerc progressiste, ayant toutes les qualités sociales vantées par le pape argentin.

    Mais à ce qu’il parait, derrière la solidarité, il y a le côté obscur. Bien obscur. Le père Zanotti est dans de sales draps ! Déjà mis en examen pour association de malfaiteurs visant à escroquer les frais d’accueil des migrants, il est maintenant accusé d’abus sexuels par un clandestin, hôte de son centre d’accueil Terre promise.

    Selon les enquêteurs, le couvent dans lequel frère Zanotti est deus ex machina a signalé des dépenses inexistantes, émettant ainsi de fausses factures, falsifiant le registre de présence des migrants, leur fournissant de la nourriture périmée, pour obtenir les 35 euros par jour payés par l’État pour chaque migrant hébergé. Par ailleurs, les migrants travaillaient au noir pour le compte du centre d’accueil.  

    Maintenant à cette mauvaise histoire s’ajoute une autre aussi mauvaise. Et ce n’est pas une nouvelle histoire, mais quelque chose qui avait émergé il y a deux ans. Le religieux est en effet accusé d’abus sexuels par un immigré qui était un invité de la communauté de Bergame.

    En juillet il y a deux ans, tel que le rapporta le Corriere della Sera, le garçon soutint avoir été maltraité dans la communauté de Zanotti (qui accueille des réfugiés et des mineurs en difficulté), attirant l’attention des autorités sur des petits films et des photographies pornographiques, déposés à la fois au parquet de Rome qu’au Vatican, assortis d’une plainte pour violences sexuelles. Sur ces supports, le frère capucin est en compagnie d’un garçon. L’étranger raconte, en gros, qu’il a été contraint, sous la menace de coups et de chantage, de devenir l’amant du père Zanotti.

    Qu’ont fait le pape François et la Curie, si prompts cependant à anathémiser quiconque s’oppose à l’invasion migratoire, en défense du migrant ? Rien ! Durant ces deux années aucune mesure radicale des autorités ecclésiastiques n’est arrivée. Les Capucins, ordre auquel appartient Zanotti, ont juste émis une  déclaration dans laquelle ils se distanciaient du père, qui continue pourtant à porter l’habit franciscain.

    Avec l’arrestation pour fraude le 16 juin dernier du père Zanotti et de deux autres gestionnaires de la coopérative Terre promise, les enquêteurs se penchent plus sérieusement sur le témoignage du jeune migrant qui raconte : « le père Zanotti a commencé à me faire des cadeaux chers, il m’a promis un travail rémunéré et, si j’avais consenti à ses demandes […] il m’a menacé que sans lui j’aurais passé ma vie au milieu de la route avec les désespérés… Et il m’a forcé à prendre du Viagra (une fois il m’a même fait avaler trois comprimés) pour qu’il puisse se satisfaire… »

    Le père Zanotti résume à lui seul l’hypocrisie de la bien-pensance et de l’humanitarisme modernes… mais aussi la dérive immorale de bien des clercs de cette Eglise conciliaire anthropocentrique ayant substitué l’amour des hommes à l’Amour de Dieu. 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Un évêque missionnaire lie les “abus sexuels” à l’arrivée d’homosexuels dans les séminaires

    Publié par Guy Jovelin le 22 février 2019 

    Le sommet mondial organisé au Vatican ayant pour thème La protection des mineurs dans l’Église risque d’accoucher d’une souris ! Parce que la véritable cause de ces violences sexuelles sur mineurs, et de cette crise de mœurs sans précédent, est manifestement occultée par le pape François lui-même et la majeur partie des intervenants qui préfèrent parler de « pédophilie » de « cléricalisme » « d’abus de pouvoir » au lieu et place « d’actes homosexuels ».

    L’autopsie de ces ces violences indignes, qu’ils relient aux mœurs inverties des clercs coupables, réalisée par les cardinaux Brandmüller et Burke dans une lettre ouverteenvoyée aux évêques réunis au Vatican depuis hier 21 février jusqu’à dimanche, est consolidée par les déclarations d’un évêque espagnol, missionnaire en Afrique, Mgr Aguirre, publiées par le site américain LifeSiteNews :

    « Un évêque espagnol, écrit Life Site News, qui est missionnaire en Afrique a déclaré que la principale raison de la crise des abus sexuels commis par des religieux est liée à l’entrée des homosexuels dans la prêtrise catholique dans les années 1970.

    Mgr Juan Jose Aguirre, missionnaire en République centrafricaine (RCA), a commenté cette affirmation dans une interview accordée à Crux le 19 février, alors qu’il parlait du sommet sur les abus qui se déroule à Rome cette semaine, où se réuniront les présidents des conférences épiscopales du monde entier. discuter de la manière de gérer la crise.

    Après avoir déclaré que la crise ”touchait toute l’Église”, Mgr Aguirre en a cité trois raisons.

    ‘La première est l’entrée au séminaire des prêtres homosexuels qui ont vécu leur homosexualité au sein de l’Église de 1970 à 1990. Deuxièmement, l’arrivée d’Internet, grâce à laquelle les pulsions négatives de nombreux prêtres ont été éveillées. Troisièmement, il y a des prêtres qui n’occupent pas bien leur temps, qui ont trop de temps libre et se laissent tenter par le diable’‘, a-t-il déclaré.”C’est une situation terrible, horrible, qui touche tous les continents”, a-t-il déclaré.

    Reconnu en Espagne pour son témoignage héroïque en RCA, qui aurait été affligé par le terrorisme islamique et la cupidité de ceux qui exploitent les ressources naturelles, Mgr Aguirre a souligné que les raisons qu’il avait avancées pour expliquer la crise des abus sexuels cléricaux valaient aussi pour les enseignants. Cependant, il a déclaré que ce dernier phénomène “n’est pas rapporté dans les nouvelles, comme lorsqu’un prêtre ou un évêque est accusé”.

    Né à Cordoue, dans le sud de l’Espagne, Mgr Aguirre fait partie de la congrégation combonienne des missionnaires. Réfléchissant sur les 38 années où il a été affecté à la RCA en conflit, l’évêque a déclaré: ”Je suis arrivé en RCA il y a 38 ans et au cours de ces 38 années, j’ai été ému par l’amour, l’affection, par le fait de ne pas vouloir regarder mon propre nombril mais regarde mon frère en face.”

    Connu affectueusement par son surnom, Mgr «Juanjo», le missionnaire a ajouté:”la parabole du Bon Samaritain m’a ému, sans lui demander s’il est un homme ou une femme, blanc ou noir. avec un passeport de l’Inde ou du Nigeria. Nous, les missionnaires, sommes présents dans des situations à risque. Lorsque des ONG ou des gouvernements sont partis pour des raisons de sécurité ou de prudence, l’Église est la dernière à éteindre la lumière. Nous sommes là. […] Sans sa grâce, nous ne serions rien.”

    ”Nous sommes une église persécutée depuis des années”, a-t-il déclaré à Crux.”L’année dernière, cinq prêtres ont été tués.” Les religieuses qui travaillaient dans son diocèse ont dû fuir parce que des mercenaires du groupe Séléka ont tenté de les violer. ”Les séminaristes sont à Bangui [la capitale]. Ils sont protégés, mais mes prêtres se trouvent dans une zone à haut risque, tout comme moi. Nous sommes en première ligne de combat face à un groupe mercenaire djihadiste appelé Séléka, financé par l’Arabie saoudite et les pays du Golfe. Ils sont venus en Afrique centrale pour la conquérir, pour mettre leurs griffes dans l’or du pays, le mercure, le cobalt et le coltan.”

    La Fondation Bangassou a été créée en 2003 pour aider le travail missionnaire de Mgr Aguirre. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info