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adolescents

  • Draveil (91) : une fillette de 12 ans dénonce deux adolescents qui l’auraient violé dans une cave sous la menace d’un couteau en 2021

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Une jeune fille s’est présentée au commissariat de Draveil pour dénoncer deux camarades d’école. Elle explique que les deux garçons l’ont violée en 2021. A Draveil, dans l’Essonne (Île-de-France), deux adolescents, aujourd’hui âgés de 16 ans, sont suspectés d’avoir commis plusieurs viols sur une fillette âgée de 12 ans à l’époque des faits, sur la période allant du 22 novembre au 2 décembre 2021. Les trois adolescents se trouvaient dans le même établissement scolaire.

    Comme le rapporte CNews, une enquête a été ouverte pour viol en réunion. Les deux adolescents ont été interpellés et entendus, ce lundi, après que la jeune fille les a désignés comme étant ceux qui avaient abusé d’elle.

    Pendant son dépôt de plainte, la jeune fille a expliqué aux enquêteurs que les deux garçons l’avaient menacé avec un couteau pour qu’elle les suive dans une cave. Elle assure avoir été victime de viol.

    Les deux garçons ont été relâchés après leur garde à vue et le dossier a été transmis au parquet pour qu’il soit examiné les faits afin qu’il décide s’il donne suite à cette affaire.

    RMC via fdesouche

  • Toulouse : un surveillant de lycée roué de coups par des adolescents de 14 ans et 15 ans pour une cigarette

    Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2022

    Toulouse : un surveillant de lycée roué de coups par des adolescents de 14 ans et 15 ans pour une cigarette

    Deux adolescents n’ont pas accepté qu’un surveillant en pause leur refuse une cigarette mardi en fin de journée. Ils l’ont violenté.

    Passé à tabac pour une cigarette. Un surveillant de lycée a été agressé vers 18 heures ce mardi, dans le quartier Croix-Daurade à Toulouse. Alors qu’il prenait une pause aux abords de l’établissement, il a été accosté par deux adolescents. Ils lui ont demandé de lui donner une cigarette. Le surveillant leur a expliqué qu’il n’en avait pas et qu’il ne fumait pas. Sa réponse n’a pas convaincu ses interlocuteurs. À seulement 14 ans et 15 ans, ils se sont jetés sur lui et lancés dans un véritable passage à tabac. Leur victime a reçu des coups de poing au visage puis a essuyé une balayette.
    Témoins de la scène, des élèves de lycée sont venus au secours du surveillant qui est parvenu à se réfugier dans un local communal. Les deux jeunes garçons, qui seraient extérieurs à l’établissement, ont été interpellés par la police et placés en garde à vue. Lors de leurs auditions, l’un a reconnu sa participation aux faits en la minorant. L’autre a nié en bloc.

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • Nantes : Une dizaine d’adolescents aspergent une agente de l’identité judiciaire avec un extincteur alors qu’elle relevait des empreintes sur une scène de cambriolage

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2022

    Nantes. Une dizaine d’adolescents aspergent une agente de l’identité judiciaire avec un extincteur

    Une agente de l’identité judiciaire a été aspergée avec un extincteur par un groupe de jeunes, ce mardi 24 mai 2022, à Nantes (Loire-Atlantique), alors qu’elle relevait des empreintes avec une victime sur une scène de cambriolage.

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • Myopéricardites liées au vaccin COVID-19 chez les adolescents : de nouveaux éléments inquiétants

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Auteur : 
     

    Une nouvelle étude évaluée par des pairs montre que plus des deux tiers des adolescents atteints de myopéricardite liée au vaccin COVID-19 présentaient des anomalies cardiaques persistantes des mois après leur diagnostic initial, ce qui soulève des inquiétudes quant aux effets potentiels à long terme.

    Ces résultats, publiés le 25 mars dans le Journal of Pediatrics, remettent en question la position (https://www.youtube.com/watch?v=3i9jMCf0wK0) des agences sanitaires américaines – y compris le CDC – qui affirment que l’inflammation cardiaque associée aux vaccins Pfizer et Moderna mRNA est « légère ».

    Les chercheurs de l’hôpital pour enfants de Seattle ont examiné les cas de patients âgés de moins de 18 ans qui se sont présentés à l’hôpital avec des douleurs thoraciques et un taux élevé de troponine sérique (https://www.mountsinai.org/health-library/tests/troponin-test#:~:text=Very%20high%20levels%20of%20troponin,weeks%20after%20a%20heart%20attack.) entre le 1er avril 2021 et le 7 janvier 2022, dans la semaine suivant l’administration d’une deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer.

    Si 35 patients répondaient aux critères, 19 ont été exclus pour diverses raisons. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) cardiaque des 16 patients restants a été réalisée trois à huit mois après leur premier examen. Les IRM ont montré que 11 d’entre eux présentaient un rehaussement tardif au gadolinium (LGE) persistant, bien que les niveaux soient inférieurs à ceux des mois précédents.

    Selon l’étude, « la présence de LGE est un indicateur de lésion cardiaque et de fibrose et a été fortement associée à un pronostic plus défavorable chez les patients atteints de myocardite aiguë classique. »

    Dans une méta-analyse de huit études, le LGE s’est révélé être un facteur prédictif de décès toutes causes confondues, de décès cardiovasculaire, de transplantation cardiaque, de réhospitalisation, de myocardite aiguë récurrente et de nécessité d’une assistance circulatoire mécanique. De même, une méta-analyse portant sur 11 études a révélé que « la présence et l’étendue du LGE sont un facteur prédictif significatif de résultats cardiaques défavorables ».

    « Cet article apporte des preuves supplémentaires de la gravité de la myocardite chez les adolescents causée par les vaccins COVID-19 », a averti (https://childrenshealthdefense.org/defender/heart-damage-teens-after-second-pfizer-shot/) le Dr Madhava Setty, rédacteur scientifique principal de The Defender.

     The Journal of Pediatrics

  • Temps covid : quelques 17% des adolescents voudraient mourir ou se faire du mal

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2022

    Auteur : 

    Veulent-ils vraiment sauver des vies, en ces temps de folie covidienne, les politiciens qui nous gouvernent et les médecins de plateaux, et leurs discours anxiogènes et diviseurs ?

    A dose de Rivotril, d’enfermement dans les Ephads, d’interdiction de traitements avant hospitalisation, de vaccination forcée avec des injections expérimentales, est-ce réellement prendre soin des plus âgés ?  

    Et sacrifier comme c’est le cas actuellement les jeunes générations sur l’autel des instincts jouisseurs de « boomers » égoïstes et des intérêts mercantiles de laboratoires pharmaceutiques, est-ce épargner les vies futures ? A lire les conclusions d’une étude parue en Italie, la réponse est non.

    17,3% des adolescents, dépassés par la pandémie, pensent qu’il vaudrait mieux mourir ou disent vouloir se faire du mal (2% presque tous les jours et 15,3% plus de la moitié des jours).

    C’est le résultat d’une enquête promue par la Fondation Soleterre et l’Unité de recherche en traumatologie de l’Université catholique de Milan.

    Un échantillon de 150 adolescents âgés de 14 à 19 ans a été interrogé en décembre dernier sur les sentiments et pensées dominants liés au confinement et à la pandémie : 69,3 % ont déclaré que le traumatisme pandémique est devenu une partie de leur identité ; 34,7% ont déclaré avoir du mal à s’endormir.

    Plus précisément, 40,7 % des adolescents déclarent avoir des difficultés à donner un sens à ce qu’ils ressentent ; 34 % de ne pas être en mesure de contrôler leur comportement lorsqu’ils sont contrariés ; 50 % se mettent en colère contre eux-mêmes lorsqu’ils se sentent contrariés ; 64% de l’échantillon pense que sans covid, ils seraient aujourd’hui une personne différente ; 12% des personnes interrogées ont déclaré ne pas se sentir en forme ; 36% déclarent se sentir tristes.

    « Je crois qu’il y a, dans notre pays, dit Damiano Rizzi, président de Soleterre et psychothérapeute du développement, une urgence qui passe avant toutes les autres : prendre soin de la santé mentale des enfants et des adolescents en développant des lignes directrices cliniques pour atténuer les effets négatifs de la pandémie covid grâce à des stratégies de santé publique. »

    « Nous ne pouvons pas considérer la douleur mentale, un problème lié uniquement à un groupe d’âge spécifique, mais, met en garde contre Rizzi, c’est le problème du pays tout entier : si 17,3 % des jeunes de 14 à 19 ans pensaient ‘’presque tous les jour‘’ et ‘’plus de la moitié des jours‘’ que, par rapport à leur état d’esprit actuel, il vaudrait mieux mourir ou se blesser à cause de la douleur que la vie provoque. Nous parlons, en valeurs absolues, de plus de 490 000 personnes en danger potentiel et qui ont besoin d’une assistance psychologique immédiate pour éviter des conséquences pires. »

    Des données effrayantes répercutées auprès des gouvernements depuis des mois et des mois par de nombreux professionnels de la santé mentale tant en Italie, qu’en France et dans bien d’autres pays occidentaux, sans que les « petits hommes gris » des palais présidentiels, des ministères, de Bruxelles et d’ailleurs, souvent sans enfants, tel Macron, ou invertis tel le mignon Attal, ne daignent écouter : mettre en place le passe sanitaire, volet du crédit social à la chinoise, et de la surveillance de masse, est un impératif en marche

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info