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bagnolet

  • Bagnolet : La commune PS est au bord de la faillite, le clientélisme avec la mouvance indigéniste locale dénoncé

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mars 2023

    C’est ce qui s’appelle partir en claquant la porte. Premier adjoint en charge des finances de la commune de Bagnolet, Olivier Taravella (PS) a démissionné la semaine dernière. La lettre d’explication qu’il a envoyée au maire PS Tony Di Martino, que Le Point a consultée, est courtoise sur la forme, mais très sévère sur le fond. Selon lui, la commune fonce dans le mur, entraînée par « les dépenses de personnel, particulièrement élevées ». Bagnolet n’a « plus les moyens d’entretenir une telle masse salariale », prévient celui qui était en charge des finances depuis 2014.

    Ayant trouvé une situation compliquée à son entrée en fonction, l’élu s’était attaqué à un redressement tous azimuts, renégociant des emprunts toxiques, rationalisant les dépenses. En 2017, rappelle-t-il, il avait proposé « un plafond à 40 millions d’euros de masse salariale », seuil déjà généreux. À titre de comparaison, Alfortville, qui compte environ 37 000 habitants, comme Bagnolet, affiche 27 millions d’euros de dépenses de personnel pour 2021. Olivier Taravella n’a pas été entendu. La masse salariale prévue pour 2023 à Bagnolet est de 50 millions d’euros, soit une hausse de 25 % en seulement sept ans.

    (…)

    Élue déléguée au numérique de Tony Di Martino de 2014 à 2017, Marie-Laure Brossier estime qu’une partie de la dérive des frais de personnel tient au clientélisme municipal. Pour gagner la mairie en 2014 et la garder en 2020, Tony Di Martino s’est allié à la mouvance indigéniste-coloniale, localement très influente. « Il a été obligé de multiplier les embauches pour renvoyer l’ascenseur », déplore l’ex-conseillère. Selon elle, c’est ainsi qu’il faudrait interpréter les propos d’Olivier Taravella, lorsqu’il évoque « des contrats surnuméraires et des postes dont le besoin n’est pas démontré », alors que « des recrutements nécessaires sont reportés ».

    (…)

    Le Point via fdesouche

  • Bagnolet (93) : les familles africaines réfugiées dans un parc déboutées par le tribunal administratif, la mairie de gauche demande leur expulsion

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2022

    Le tribunal administratif de Montreuil a débouté l’association MyMaraude qui réclamait le relogement dans un gymnase municipal de Bagnolet de femmes et enfants sans papiers, essentiellement d’origine ivoirienne ou malienne, réfugiés dans le parc Josette-et-Maurice-Audin. La mairie de Bagnolet a dans la foulée demandé leur expulsion du parc municipal.

    Fin juillet, elles y avaient été hébergées en urgence par l’État, alors qu’elles étaient installées dans un campement de fortune formé sur des trottoirs situés en lisière du parc des Guilands, toujours à Bagnolet. 317 personnes avaient été recensées sur ce premier camp. Évacuées, elles avaient été dispersées dans plusieurs gymnases de Seine-Saint-Denis. Une trentaine de femmes et une vingtaine d’enfants essentiellement d’origine ivoirienne ou malienne, avaient de leur côté été mis à l’abri au gymnase Jean-Renault de Bagnolet, dont elles ont finalement été expulsées le 4 août. Une partie des familles a ensuite été transférée vers la province, sans obtenir d’après l’association MyMaurade de solution d’hébergement. Elles ont donc décidé de revenir devant le gymnase de Bagnolet. Expulsées de la voie publique le 12 août, elles ont alors trouvé refuge dans ce nouveau parc.

     « On est écœuré que le tribunal n’ait pas annulé la décision de les expulser du gymnase, regrette Yasmine Boussalem, présidente de l’association MyMaraude. C’est d’autant plus révoltant que la ville de Bagnolet a annoncé dans la foulée avoir déposé une requête pour les expulser du parc où elles viennent de trouver refuge. Tout le monde se fiche de savoir où elles vont aller ! Ces femmes qui ont fui les violences qu’elles subissaient dans leurs pays sont rejetées comme la peste. »  […]

    Le Parisien via fdesouche

  • «Ils font régner un tel climat de haine» : Bagnolet (93), ce laboratoire indigéniste aux portes de Paris

    Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2021

     Dans cette commune de Seine-Saint-Denis de 36.000 habitants, la polémique enfle autour du soutien apporté par la municipalité à une association indigéniste. Un territoire miné par l’idéologie communautariste et racialiste.

    Ce modeste appartement c’est son petit nid. Elle l’assure, elle ne le quittera pour rien au monde. Cette ville de banlieue parisienne, à 6 kilomètres à vol d’oiseau de Notre-Dame, elle y a grandi, elle y travaille et refuse de partir.

    Pourtant, quand Corinne (son prénom a été changé à sa demande) raconte Bagnolet, la description se décline avec des mots au vitriol. «Bagnolet est la ville la plus endettée de France, le taux de pauvreté concerne près de 30% de la population. Depuis des mois, une enquête financière est en cours sur des soupçons d’emploi fictif au sein de la mairie. Un proche du maire a récemment été condamné pour des faits de corruption dans l’attribution de logements sociaux. Et pour finir d’achever le tableau, notre ville après une campagne sanglante, est passée entre les mains de politiques acoquinés avec des communautaristes et indigénistes. Franchement, cette commune, déjà bien mal en point, n’avait pas besoin de ça !… Le naufrage est sans fin.»

    Le constat de cette Bagnoletaise est amer. Sa colère est vive et ses mots sont durs. «Un petit groupe d’indigénistes est désormais aux manettes de la mairie et s’en donne à cœur joie, soupire-t-elle. Ces individus ont décidé d’en faire leur petit laboratoire à ciel ouvert du racialisme et du communautarisme. Cette conquête de leur idéologie toxique a été rendue possible par la main tendue du maire socialiste Tony Di Martino. Bagnolet est dorénavant une véritable baronnie islamo-indigéniste, un terrain sur lequel ils imposent leurs propres règles du jeu.»

    Le Figaro via fdesouche

  • “Tuez-le, c’est un sale chien de flic” : un policier lynché au sol par plusieurs individus, “qui souhaitaient sa mort”, dans une cité de Bagnolet (93)

    Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2021

    INFO LCI – Lors de l’interpellation de dealers à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), un policier s’est retrouvé isolé et a été passé à tabac par plusieurs individus qui, selon lui, souhaitaient sa mort.

    Une scène d’une rare violence. Où rien ne semble arrêter le déchaînement de coups si ce n’est la fuite de la victime. Un policier de 32 ans, membre du groupe de soutien opérationnel de Paris (GSO 75) – une unité spécialisée dans les tactiques d’intervention, les techniques d’effraction ou la sécurisation des milieux clos – a déposé plainte mardi 27 avril auprès de ses collègues du commissariat des Lilas (Seine-Saint-Denis) après avoir été passé à tabac, selon son récit, lors d’une opération de police dans une cité de Bagnolet.

    “Fumez-le !”

    (…) Un homme avec une capuche s’approche du fonctionnaire et crie alors : “Fumez-le, c’est un schmitt, tuez-le !”. Le policier démarre et tente de s’extraire de la cité, mais plusieurs personnes lui barrent la route, lui jettent des pierres et lui donnent des coups de pied afin de le faire chuter. “Je chute au sol et je prends plusieurs coups de pieds dans la tête, pendant que je me faisais frapper, j’entendais ‘Tuez-le, c’est un sale chien de flic, tuez-le’. Je prends conscience que je ne pourrais pas récupérer le scooter, que ma vie est en danger et qu’ils sont déterminés dans leurs violences”, raconte le policier dans son procès-verbal que LCI a consulté.

    Le fonctionnaire de police parvient néanmoins à se remettre debout et tente d’enfourcher à nouveau son deux-roues pour fuir. Mais d’autres assaillants le mettent au sol. “Je me faisais lyncher au sol. Je continue à recevoir des coups de pied type pénalty pleine tête, je ne suis protégé que par mon casque de moto. […] Ma tête faisait des allers-retours gauche-droite sous la violence des coups et j’entends encore ‘on va te fumer, on va te crever, sale fils de pute, sale keuf’”, raconte-t-il.

    (…) LCI via fdesouche

  • Bagnolet (93) : Le squat antifa servait-il d’entrepôt de cocktails Molotov pour l’ultragauche ? Quatre personnes interpellées

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2020

    Par  le 19/05/2020
    aziz zemouri@azizzemouri1

    Le squat servait d'entrepôt de cocktails Molotov à l'ultragauche  https://www.lepoint.fr/societe/le-squat-servait-il-d-entrepot-de-cocktails-molotov-pour-l-ultragauche-19-05-2020-2376209_23.php 

    Le squat servait-il d'entrepôt de cocktails Molotov pour l'ultragauche ?

    Quatre personnes ont été interpellées dimanche soir par la police, avant d'être déférées au parquet de Bobigny pour fabrication d'engins explosifs.

    lepoint.fr
    aziz zemouri@azizzemouri1
     

    Le squat des à @LePoint 4 défèrts pour fabrication d’engins incendiaires

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    La police a-t-elle enfin trouvé le quartier général des « Antifa » (antifascistes, NDLR) parisiens ? Ou ne s’agit-il que d’un simple dépôt de « munitions » en vue de préparer « l’insurrection qui vient », voire « le grand soir » ? Dimanche, en filochant des militants considérés comme membre de l’ultragauche, les policiers en civil de la brigade anticriminalité ont découvert plusieurs dizaines d’objets incendiaires – des cocktails Molotov prêts à l’emploi – fabriqués dans l’ancienne clinique de la Dhuys située à Bagnolet, face au 46, rue Lénine.

    Ce lieu autrefois réputé de la Seine-Saint-Denis, mais tombé en déshérence, est devenu un squat de la mouvance anarcho et gauchiste, selon les ex-renseignements généraux de la préfecture de police. Sur les murs tagués, les baqueux ont pu noter quelques inscriptions, parmi lesquelles : « Bienvenue à notre QG Paris Antifa75 » ; « Un flic, une balle, justice sociale ».