Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021
Entre-soi, guévarisme mondain, frelatage culturel, tunnels de déclarations bien-pensantes ou larmoyantes à effet ipéca garanti, sketchs sédatifs... Depuis quarante-cinq ans la cérémonie des César nous bassine avec des films sans spectateurs, des metteurs en scène sans talent et des acteurs sans étoffe.
Marquée par la fausse provocation — dérisoire tant la nudité est devenue banale — du déshabillage sinistre d'une histrionne gauchiste, féministe et donc nécessairement moche, l'édition 2021 de ce pensum se déroulait — situation sanitaire oblige — sans public, c'est à dire sans les représentants de la caste ciné-médiatique en celluloïd. Le public, le vrai, a, quant à lui, depuis longtemps fuit cette mascarade camphrée.
JFT.
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