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cérémonie des césar

  • Cérémonie des César

    Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2025

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    Comme chaque année, la cérémonie des César s’est transformée en tribunal de la bien-pensance et en grand-messe du progressisme. Oubliés le talent, l’exigence, l’excellence artistique ! Place aux quotas, aux cases à cocher et aux bons sentiments dégoulinants.
    Le triomphe d’Emilia Perez, un film centré sur un transsexuel, n’a rien d’un hasard : c’est un manifeste idéologique, un signal envoyé par l’industrie du cinéma qui ne jure plus que par la déconstruction de nos repères. Meilleur acteur et meilleure actrice ? Bien sûr, des représentants de la « diversité », parce que ce qui compte aujourd’hui, ce n’est plus la performance mais l’origine ethnique. Quant au prix de la révélation masculine, il ne pouvait évidemment revenir qu’à un migrant africain. Peu importe qu’il soit le meilleur ou non : il incarne le narratif que l’on veut nous imposer.
    Et que dire de Catherine Deneuve, monument en ruine du cinéma français, réduite à livrer l’hommage attendu à l’Ukraine, comme pour rappeler que même dans la culture, il est interdit de dévier de la ligne atlantiste ?
    Les César ne sont plus une célébration du cinéma français mais une farce militante, un concours de vertu où l’on récompense moins les films que leur conformité aux dogmes du moment. Affligeant.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Mascarade camphrée.

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    Entre-soi, guévarisme mondain, frelatage culturel, tunnels de déclarations bien-pensantes ou larmoyantes à effet ipéca garanti, sketchs sédatifs... Depuis quarante-cinq ans la cérémonie des César nous bassine avec des films sans spectateurs, des metteurs en scène sans talent et des acteurs sans étoffe.
    Marquée par la fausse provocation — dérisoire tant la nudité est devenue banale — du déshabillage sinistre d'une histrionne gauchiste, féministe et donc nécessairement moche, l'édition 2021 de ce pensum se déroulait — situation sanitaire oblige — sans public, c'est à dire sans les représentants de la caste ciné-médiatique en celluloïd. Le public, le vrai, a, quant à lui, depuis longtemps fuit cette mascarade camphrée.
    JFT.
    Peut être une image de une personne ou plus