Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2020
Camélia Jordana évoque, depuis le festival du film francophone d’Angoulême, son engagement et les combats qui l’animent.
“Je pense qu’il y a un énorme travail de décolonisation à faire dans mon pays, qui n’a pas été fait, enchaîne-t-elle. Je crois que c’est à ma génération de s’adresser aux autorités, au gouvernement, à mes compatriotes. Je crois que si on commence à faire ce travail-là, les folies qui se passent dans ce pays-là, avec le temps, pourront peut-être guérir”.