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harcèlement sexuel

  • Jean-Vincent Placé tente d’embrasser une gendarme contre son gré, il est condamné à 5.000 euros d’amende pour « harcèlement sexuel »

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    Les faits, qui remontent à 2016, ont été commis au préjudice d’une gendarme affectée à la sécurité du logement de fonction de celui qui était alors secrétaire d’Etat au sein du gouvernement Valls.

    […]

    Ce soir-là, après le dîner, Jean-Vincent Placé, alors sénateur écologiste de l’Essonne et secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification au sein du gouvernement de Manuel Valls, regagne son logement de fonction situé rue de Babylone, dans le 7arrondissement de Paris. Une gendarme affectée à la sécurité du bâtiment se trouve à l’entrée, le secrétaire d’Etat tente de l’embrasser contre son gré, puis l’invite à le suivre en ces termes : « Venez avec moi et vous verrez, ça va être sympa. » Suffisant pour caractériser le harcèlement sexuel tel que défini par l’article 222-33 du code pénal, qui punit « le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle ».

    […]

    Cette nouvelle condamnation ne figurera pas au casier judiciaire de l’intéressé, pas plus que les trois mois de prison avec sursis et les 1 000 euros d’amende qui lui avaient été infligés en septembre 2018 pour violences et outrages. A l’époque, Jean-Vincent Placé avait été reconnu coupable d’avoir, quelques mois plus tôt lors d’une soirée arrosée dans un bar du centre de Paris, importuné et poussé une cliente, puis insulté les policiers venus le cueillir à la sortie de l’établissement dont il avait été expulsé.

    Le Monde via fdesouche
  • Condamné pour harcèlement sexuel, le député Stéphane Trompille n’est pas exclu du groupe LREM (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2020

    Par  le 26/05/2020

    «Au stade actuel», le président des députés LREM, Gilles Le Gendre, n’envisage pas de sanction contre l’élu de l’Ain, qui a fait appel du jugement prud’hommal le reconnaissant coupable de harcèlement sexuel contre une ancienne collaboratrice. Des cadres du groupe exigent pourtant son exclusion.

    (…) Libération


    « J’ai pleuré quand j’ai ouvert le courrier du conseil de prud’hommes. C’était un immense soulagement. Je suis encore sous traitements pour me sortir de cette affaire (…) En tout cas, j’espère que ça pourra encourager d’autres personnes harcelées à sortir du silence », explique l’ancienne chargée de com’ de Stéphane Trompille. Elle vit aujourd’hui à 600km de Bourg-en-Bresse.

    Embauchée en juin 2017, cette femme aura supporté « des propos sexistes et salaces » durant 7 mois, avant un arrêt maladie. Le député de l’Ain l’avait ensuite licenciée, -durant cet arrêt maladie-, pour « insuffisance professionnelle ».

    « J’avais suivi la campagne de M. Trompille, je l’ai vraiment vu changer après son élection », détaille l’ancien collaborateur qui décrit un homme de plus en plus hautain.

    A relire :

    Pierre Sautarel@FrDesouche

    C'est le même qui avait embrouillé un gilet jaune sur un rond point, je ne sais pas si vous vous en souvenez.

    Vidéo intégrée
     
     
     

     

    (Merci à Laurent)

  • Auch (32): « trois plaintes distinctes » un Erythréen de 27 ans interpellé pour harcèlement et chantage sexuel, remis en liberté

    Publié par Guy Jovelin le 20 février 2020

    Par  le 20/02/2020

    […]

    visé par trois plaintes distinctes. L’une pour harcèlement sexuel, l’autre pour agression sexuelle et enfin une dernière pour menaces. Cet Erythréen de 27 ans, qui habite Auch, a été placé en garde à vue et n’a pas reconnu les faits lors de son audition. Les faits d’agression sexuelle ont été finalement requalifiés en chantage sexuel. L’homme est soupçonné d’avoir soulevé la jupe d’une jeune fille née en 2004, le 29 janvier dernier. Cet homme aurait aussi proféré de manière répétée des propos dégradants, accompagnés de gestes, à une femme d’une quarantaine d’années travaillant dans le quartier. Les faits se seraient déroulés entre le premier janvier et le 17 février. Enfin, l’homme aurait menacé de violences une personne habitant le quartier. Il a donc été présenté à un magistrat, hier dans l’après-midi. Il a été libéré…

    […]

    La Depeche via fdesouche

  • Le réalisateur Christophe Ruggia (initiateur de l’ «Appel de Calais»), accusé d’«attouchements» et de «harcèlement sexuel» sur une actrice alors qu’elle était mineure

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019

    Par  le 03/11/2019

    L’actrice Adèle Haenel accuse le réalisateur Christophe Ruggia d’«attouchements» et de «harcèlement sexuel»

    La comédienne avait entre 12 et 15 ans à l’époque des faits, révèle Mediapart. Le cinéaste conteste «catégoriquement» les faits.

     

    «Je ne bougeais pas, il m’en voulait de ne pas consentir.» Dans un article publié par Mediapart (article abonnés), dimanche 3 novembre, l’actrice Adèle Haenel accuse le réalisateur Christophe Ruggia d’«attouchements» et de «harcèlement sexuel». A l’époque des faits, elle avait entre 12 et 15 ans.

    «Je suis vraiment en colère, a déclaré à Mediapart la comédienne de 30 ans déjà récompensée par deux césars. Je veux raconter un abus malheureusement banal, et dénoncer le système de silence et de complicité qui, derrière, rend cela possible.» Pour cette enquête, qui a duré sept mois, Mediapart affirme avoir contacté une trentaine de personnes, confortant le témoignage d’Adèle Haenel.

    Le cinéaste «réfute catégoriquement» les accusations

    Adèle Haenel a fait ses débuts au cinéma en 2002 dans le film Les Diables de Christophe Ruggia. «Les rapports qu’entretenait Christophe avec Adèle n’étaient pas normaux. On avait l’impression que c’était sa fiancée, a déclaré à Mediapart Laëtitia, la régisseuse générale du film. On n’avait quasiment pas le droit de l’approcher ou de parler avec elle, parce qu’il voulait qu’elle reste dans son rôle en permanence. Lui seul avait le droit d’être vraiment en contact avec elle. On était très mal à l’aise dans l’équipe.»

    Christophe Ruggia, qui se présente comme le «découvreur» du «grand talent» d’Adèle Haenel a refusé de répondre aux questions de Mediapart. Mais il a fait savoir par la voix de ses avocats qu’il «réfut[ait] catégoriquement avoir exercé un harcèlement quelconque ou toute espèce d’attouchement sur cette jeune fille alors mineure».

    France TV Info via fdesouche

  • Une masseuse d’un hôtel de la Côte d’Azur accuse à son tour Patrick Bruel d’harcèlement sexuel

    Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2019

    Par  le 23/09/2019

     

    Patrick Bruel est visé par une enquête préliminaire pour « exhibition sexuelle » et « harcèlement sexuel » après des accusations d’une employée d’un hôtel en Corse. Le chanteur conteste mais selon Le Parisien, de nouvelles accusations d’harcèlement sexuel vise l’artiste. Une ancienne masseuse d’un hôtel de Cannes a écrit une lettre au parquet d’Ajaccio. Elle évoque des propos et un comportement déplacé.

    Les faits se seraient produits en septembre 2008 alors que Patrick Bruel séjournait dans un hôtel de Cannes. La nouvelle accusatrice, qui réside aujourd’hui dans La Loire, était masseuse au sein de cet établissement de luxe.

    Selon son récit, transmis par courrier au parquet d’Ajaccio, elle raconte que le chanteur aurait refusé d’enfiler un sous-vêtement jetable au cours d’une séance au spa. Complètement nu, il aurait – toujours selon son témoignage – demandé une caresse sexuelle « avec les mains » à la jeune femme.

    Toujours d’après Le Parisien, la masseuse n’aurait pas cédé malgré l’insistance et les intimidations du chanteur qui aurait sous-entendu qu’il pouvait influer sur sa carrière grâce à son amitié avec le patron de l’hôtel.

    La jeune femme n’a pas porté plainte à l’époque des faits par crainte de perdre son emploi. Selon Le Parisien, elle a été auditionnée par les gendarmes depuis l’envoi de son courrier. Elle se dit profondément choquée par l’attitude du chanteur qui, selon elle, a porté « atteinte à sa dignité ».