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gendarme

  • « Je n’ai pas su garder mon calme. Je me suis senti frustré. » : Samy Zhioua, un Lyonnais de 32 ans avec une quinzaine de mentions au casier, justifie les menaces de mort qu’il a proférées à un gendarme lors d’un contrôle routier

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    Lors du contrôle routier, la situation va se tendre lorsque les gendarmes lui passent les menottes pour le ramener dans les locaux de la brigade. « Je me suis senti très frustré ». C’est ainsi que Samy Zhioua, un Lyonnais de 32 ans, justifie les menaces de mort qu’il a proférées à un gendarme lors d’un contrôle routier.

    […]

     

    Des menaces de mort à un gendarme

    Lors du contrôle routier, la situation va se tendre lorsque les gendarmes lui passent les menottes pour le ramener dans les locaux de la brigade d’Heyrieux. « Je n’ai pas su garder mon calme », reconnaît-il. À l’un des gendarmes, il a déclaré : « Je vais te prendre ton calibre et te tirer une balle dans la tête ». Des insultes lui sont également reprochées. « C’était contre moi-même », précise le prévenu, au casier chargé d’une quinzaine de mentions.

    Il a écopé d’une peine de sept mois d’emprisonnement. Qu’il a commencé à purger dès ce lundi 17 octobre dans une cellule de la prison de Saint-Quentin-Fallavier.

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Seyssinet (38) : les gendarmes tuent un braqueur dans une station-service, l’assaillant avait tiré en direction de la caissière

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2022

    Aux alentours de 17h, un homme a tenté de braquer une station-service Total à Seyssinet, près de Grenoble. Très vite sur place, les gendarmes ont abattu le braqueur.

    (…) C’est dans la commune de Seyssinet-Pariset que les faits ont eu lieu. Il était environ 17 heures lorsqu’un homme armé est arrivé à la station-essence Total, de l’avenue de la République. 

    Alors dans la station-essence, à proximité du Drac, l’individu a tiré en direction de la caissière. Très vite, les gendarmes sont arrivés su les lieux. 

    Selon une information du Dauphiné, confirmée par le procureur de Grenoble, l’homme a été touché par un tir de gendarme. Le braqueur n’a pas survécu à cette blessure. 

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1530274539124432896

    La rédaction d’Actu Grenoble a volontairement coupé la vidéo dans laquelle on peut voir l’homme suspecté d’un braquage être tué par un gendarme. 

    Actu.fr via fdesouche

  • La ridicule campagne féministe du Ministère de l’Intérieur

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2022

    En français, c’est « gendarmette ».
    En revanche c’est bien d’admettre et de proclamer implicitement, comme le fait le ministère, que le métier de gendarme est un métier d’homme et que les femmes qui souhaitent l’embrasser ont des problèmes.
    La prochaine fois, ils oseront peut-être écrire : « vous êtes lesbienne genre camionneur, devenez gendarme ».

     

    Source : contre-info

  • Almería (Espagne) : un Marocain de 27 ans condamné à 23 ans de prison pour avoir violé, tabassé et tenté d’assassiner une gendarme de la Guardia Civil, après s’être introduit chez elle en pleine nuit

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2022

    Espagne – L’Audience provinciale d’Almeria a condamné “H.B” à 23 ans et dix mois de prison. Ce Marocain de 27 ans a violé et tenté d’assassiner une agent de la Guardia Civil (Gendarmerie) après qu’il s’est introduit dans son appartement.

    L’accusé, alors âgé de 25 ans, s’est rendu vers 2 heures du matin au domicile de la victime, qu’il connaissait superficiellement pour l’avoir déjà harcelée l’après-midi, et “à l’aide d’un bloc de béton “, il a brisé une vitre pour ouvrir la porte de la maison, dans laquelle il est entrée.

    Après avoir brandi un couteau, l’homme s’est rendu dans la chambre où dormait la victime, qui s’est réveillée et qui, en le voyant, “s’est identifiée à haute voix comme une gendarme”. Le prévenu, dans l’intention de porter atteinte à son intégrité physique, s’est jeté sur elle et l’a menacée avec le couteau en utilisant des expressions telles que “tais-toi ou je te tue”.

    Il a menacé de la tuer si elle ne se taisait pas avant de la violer sur le lit, où il a continué à la frapper et lui a même serré le cou “jusqu’à ce qu’elle soit momentanément étouffée”.

    Lorsque l’accusé s’est levé du lit, la victime en a profité pour s’enfuir de la maison, sans y parvenir, car elle a été rattrapée par son agresseur, qui l’a attrapée par les cheveux et l’a conduite sur une plage voisine où il lui a montré un petit couteau et l’a menacée à nouveau avant de lui couvrir la bouche et le nez avec du sable “pour qu’elle ne respire plus”.

    (…) Cronica Balear via fdesouche

  • Jean-Vincent Placé tente d’embrasser une gendarme contre son gré, il est condamné à 5.000 euros d’amende pour « harcèlement sexuel »

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2021

    Les faits, qui remontent à 2016, ont été commis au préjudice d’une gendarme affectée à la sécurité du logement de fonction de celui qui était alors secrétaire d’Etat au sein du gouvernement Valls.

    […]

    Ce soir-là, après le dîner, Jean-Vincent Placé, alors sénateur écologiste de l’Essonne et secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification au sein du gouvernement de Manuel Valls, regagne son logement de fonction situé rue de Babylone, dans le 7arrondissement de Paris. Une gendarme affectée à la sécurité du bâtiment se trouve à l’entrée, le secrétaire d’Etat tente de l’embrasser contre son gré, puis l’invite à le suivre en ces termes : « Venez avec moi et vous verrez, ça va être sympa. » Suffisant pour caractériser le harcèlement sexuel tel que défini par l’article 222-33 du code pénal, qui punit « le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle ».

    […]

    Cette nouvelle condamnation ne figurera pas au casier judiciaire de l’intéressé, pas plus que les trois mois de prison avec sursis et les 1 000 euros d’amende qui lui avaient été infligés en septembre 2018 pour violences et outrages. A l’époque, Jean-Vincent Placé avait été reconnu coupable d’avoir, quelques mois plus tôt lors d’une soirée arrosée dans un bar du centre de Paris, importuné et poussé une cliente, puis insulté les policiers venus le cueillir à la sortie de l’établissement dont il avait été expulsé.

    Le Monde via fdesouche