Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lot-et-garonne

  • De la viande surgelée du Brésil ou de la viande française ?

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2024

    Pas de pays sans paysans

    Les agriculteurs en colère s’organisent pour contrôler les marchandises transportées par les routiers. Leurs découvertes les font fulminer. Arrivent de partout des produits qui sont pourtant disponibles auprès des paysans français. Cette folie doit cesser.

    A Marmande, dans le Lot-et-Garonne, des agriculteurs ont trouvé de la viande surgelée du Brésil (datant de 2022) dans un camion. Sans parler du lait venu d’Espagne quand des paysans français sont contraints de déverser une partie de leur lait dans les égouts.

     
     
  • Lot-et-Garonne : condamné en 2018 pour avoir poignardé un agriculteur aux cris de “Allah Akbar”, le fiché S Kamal Belbakkal (qui a depuis été libéré) à nouveau condamné pour avoir agressé son voisin (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    25/07/2022

    L’agresseur n’est pas un inconnu de la justice puisqu’il avait déjà été condamné pour avoir poignardé un agriculteur à Laroque-Timbaut, en juin 2017

    Dans le prétoire du tribunal correctionnel d’Agen, le mis en cause n’est pas un prévenu comme les autres. Il suffit d’énoncer son patronyme, Kamal Belbakkal, pour que les mémoires judiciaires revivent le procès de ce quadragénaire, mis face à un agriculteur de Laroque-Timbaut, poignardé au motif qu’il laissait échapper des résidus de paille sur la route en contrebas.

    Une affaire ayant été le théâtre de joutes entre avocats, celui de la partie civile ayant tenté, en vain, que le dossier soit traité par le parquet antiterroriste, son client affirmant que Kamal Belbakkal, fiché S, avait crié « Allah Akbar » au moment de l’agression. Entre-temps, le quadragénaire a épaissi son casier judiciaire avec des affaires de violences sur ses codétenus.

    Ce lundi 25 juillet, Kamal Belbakkal était jugé en comparution immédiate pour violences avec arme, en état de récidive. Deux jours auparavant, il fait remarquer au voisin de son frère – ce dernier l’héberge à Villeneuve-sur-Lot – de cesser de klaxonner à tout va, pour éviter de réveiller son parent qui travaille de nuit. Le différend s’envenime, les insultes fusent et un, voire plusieurs coups de balai, sont portés à la tête du voisin.

    Bilan : une plaie de 10 centimètres sur le crâne, suturée de treize points. « Il avait la main sur mon œil, j’ai ramassé le balai par terre, j’ai levé le bras, je n’ai pas vu où je tapais », relate Kamal Belbakkal, s’appuyant sur des regrets et la thèse de la légitime défense.

    (…) Sud Ouest

    (Merci à René)


    23/11/2018

    Kamal Belbakkal est jugé ce vendredi par le tribunal correctionnel d’Agen pour violences volontaires avec arme . Selon sa victime, un agriculteur de Laroque-Timbaut, l’Agenais de 42 ans, l’aurait poignardé le 18 juin 2017, en criant « Allah Akbar » , ce que ce dernier conteste.

    Fiché S au moment des faits, le quadragénaire n’avait pas l’autorisation de quitter son appartement au moment des faits. Relaxé en appel pour diffusion d’images à caractère terroriste , puis condamné en juin à huit mois de prison ferme dans le cadre du non-respect de son assignation à résidence, Kamal Belbakkal avait de nouveau eu affaire à la justice en août après avoir jeté un verre au visage de son codétenu. Écopant de 10 mois ferme, il a fait appel de la décision.

    L’expertise psychiatrique de Kamal Belbakkal a aussi été abordée : elle note une intelligence vive et adaptive, un certain degré de narcissisme , aucune empathie pour les victimes qu’il présente comme des agresseurs. A l’issue de l’audience, le procureur a réclamé cinq ans de prison à l’encontre de Kamal Belbakkal et l’interdiction de paraître en Lot-et-Garonne pendant cinq ans. Me Mascaras plaide, quant à elle, la relaxe de son client.

    Ce vendredi après-midi, Kamal Belbakkal, a finalement été condamné à 3 ans et demi de prison, peine assortie de l’interdiction de porter une arme pour une durée de 5 ans. En revanche, l’interdiction de territoire n’a pas été retenue.

    Sud Ouest

  • Lot-et-Garonne : la gendarme Mélanie Lemée, 25 ans, tuée par un individu « défavorablement connu » (MàJ : 18 secondes dans le 20H de TF1)

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2020

    06/07/2020

    Vidéo :

     

    05/07/2020

    Lot-et-Garonne : la gendarme Mélanie Lemée décède après avoir été percutée par un automobiliste

    […]

    un conducteur, ayant déjà fait deux refus d’obtempérer plus tôt dans la soirée, tente à nouveau de se soustraire en faisant un écart et percute alors violemment la gendarme Mélanie Lemée, qui se trouve sur le bas-côté de la chaussée.

    Gravement blessée, la militaire est rapidement prise en charge sur place par les secours. En dépit des soins prodigués, elle décède des suites de ses blessures.

    […]

    Le conducteur, défavorablement connu des services, a immédiatement été interpellé par les gendarmes.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Gendinfo

  • Lot-et-Garonne (47) : 84 entreprises s’engagent, « pour basculer du Gaulois né en France au migrant handicapé »

    Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2019

    Par  le 21/12/2019

    […] « Le Lot-et-Garonne, une chance ». Voici comment pourrait s’appeler la déclinaison locale de l’initiative « La France, une chance ». En juillet 2018, des entreprises ont pris des engagements volontaires et concrets en matière d’emploi. L’objectif est que 10.000 entreprises s’engagent sur tous les territoires. « L’idée, c’est que, localement, nous créons des clubs départementaux d’entreprises qui s’engagent sur différents points » résume Béatrice Lagarde, préfet du Lot-et-Garonne.

    Avec cette initiative, les entreprises s’engagent à inclure des populations parfois défavorisées comme les migrants. Pour autant le risque de voir des quotas émerger n’inquiète pas Béatrice Lagarde. « Ce phénomène serait un mauvais indicateur et un bon indicateur. Si c’est ainsi, ça pourrait être discriminatoire. Mais, on pourrait aussi se dire que c’est formidable. En caricaturant cela signifierait que les employeurs ont basculé du Gaulois né en France, au migrant handicapé sous main de justice. Mais la marge est tellement importante aujourd’hui. » Pour 2020, les entreprises participantes à l’initiative se sont donné des objectifs. Certains pourraient être largement dépassés. […]

    La Dépêche via fdesouche