Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2025
Le drame avec Justin Polat, c’est qu’après avoir tué une gamine en la poignardant à 57 reprises, la justice sera incapable - quand bien même elle le voudrait… - d’apporter la réponse pénale nécessaire à ce crime.
Il sortira de taule avant d’avoir mon âge (33 ans) alors qu’il mérite la mort.
Premier problème : l’ordonnance pénale des mineurs du 2 février 1945, d’inspiration communiste.
Le criminel est perçu comme une victime et sa peine encourue est Ipso facto divisée par deux au seul motif qu’il n’est pas majeur.
S’il est impossible de se prémunir de ce genre de crimes, nous ne sommes pas condamnés à appliquer une justice de dégénérés.
Il faut juger les mineurs et les majeurs à la même enseigne, supprimer l’ordonnance des mineurs de 1945 - en réformant complétement le Code de la justice pénale des mineurs (CJPM), entré en vigueur le 30 septembre 2020 - et rétablir la peine capitale.
Cette position claire est juridiquement structurable : elle nécessiterait une refonte constitutionnelle, une rupture avec les engagements internationaux, et un retour assumé à une justice pénale fondée sur la sanction et la proportionnalité du châtiment au crime.
C’est le projet du Parti de la France.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France