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norvège

  • Des femmes “mortes” utilisées comme utérus vivants ?

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Des femmes “mortes” utilisées comme utérus vivants ?

    C’est idée avancée par un professeur agrégé de philosophie à l’université d’Oslo, en Norvège, pour palier au problème du manque de mères porteuses, publiée dans le Theoretical Medecine and Bioethics.

    Les femmes en état de mort cérébrale seraient utilisées comme mères porteuses après y avoir consenti au préalable, comme dans le cas d’un don d’organes. Il s’agirait alors de placer des embryons dans l’utérus de ces femmes jusqu’à la naissance.

    Dans son article, le Dr Smajdor a déclaré qu’il était «surprenant» qu’aucun pays n’autorise les femmes à faire don de leur corps à des fins de maternité de substitution après la mort cérébrale. Toute femme souhaitant éviter les «risques et les contraintes» d’une grossesse devrait avoir accès à cette forme de maternité de substitution.

    L’article a quand même déclenché un tollé sur les réseaux sociaux. Certains ont déclaré que c’était la «chose la plus dégoûtante et la plus tordue» qu’ils aient jamais lue.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le gouvernement norvégien finance des recherches pour savoir si la peinture blanche est raciste

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    lesobservateurs

    14 janvier 2023 - Le projet de recherche, intitulé « Comment la Norvège a rendu le monde plus blanc (NorWhite) », organisé par l’université de Bergen, décrit la « blancheur » comme « l’une des principales préoccupations sociétales et politiques actuelles ».

    Le Conseil de la recherche de Norvège consacre plus de 1,2 million de dollars américains à un projet visant à découvrir comment le pays a contribué à la diffusion de la « blancheur » dans le monde, par le biais du colonialisme et de la peinture.

    « Au sein et au-delà du monde universitaire, des actions de révolte et de regret cherchent à faire face à notre passé racial. Dans les travaux fondamentaux des études sur la blancheur dans l’histoire de l’art et de l’architecture, la blancheur est comprise comme des structures culturelles et visuelles de privilège », ouvre le projet, principalement dirigé par le professeur associé Ingrid Halland. Son site web se targue d’avoir obtenu une subvention de 12 millions de couronnes de la part du gouvernement.

    Selon la page web du projet, l’objectif est d’aborder « un champ de bataille distinctement différent pour la politique de la blancheur dans l’art et l’architecture ».

    Les chercheurs poursuivent en affirmant que la blancheur présente deux aspects : le racisme systémique et sa « matérialisation » dans la société en tant qu’esthétique.

    « Deux prémisses fondamentales sous-tendent le projet : La blancheur n’est pas seulement une condition culturelle et sociétale liée à la couleur de la peau, aux privilèges et à l’exclusion systématique, mais elle se matérialise partout autour de nous. Deuxièmement, on ne peut comprendre cette matérialisation sans comprendre les conditions sociétales, technologiques et esthétiques de la couleur elle-même », peut-on lire dans le projet.

    « Bien que la Norvège ne soit pas une puissance coloniale conventionnelle, ce projet montrera comment le pays a joué un rôle de premier plan au niveau mondial dans l’établissement du blanc comme couleur supérieure », poursuit le mémoire, sans expliquer ce que pourrait être une « puissance coloniale non conventionnelle ».

    Le projet financé par l’État décrit ensuite comment les chimistes norvégiens ont révolutionné la peinture blanche en 1916, en développant une forme ayant une couverture et une opacité bien meilleures que celles utilisées auparavant. Ainsi, de nombreux bâtiments remarquables du pays ont été peints en blanc brillant.

    Mais les réalisations des scientifiques de la nation ne sont pas nécessairement positives pour Halland et les autres chercheurs.

    « En associant des méthodes historiques, critiques, esthétiques et artistiques à l’engagement et à la sensibilisation du public, NorWhite révèle une histoire complexe et difficile sur la façon dont une innovation norvégienne locale a eu des conséquences planétaires », poursuivent-ils.

    Ils poursuivent en énonçant un objectif clair : découvrir comment la Norvège « a rendu le monde plus blanc ».

    « L’objectif global de NorWhite est d’étudier de manière critique et visuelle les conditions culturelles et esthétiques préalables d’une partie complexe et inexplorée de l’histoire de la technologie et de l’innovation norvégiennes qui a – comme le prétend ce projet – rendu le monde plus blanc. »

    Le projet est notamment parrainé par Titania AS et Kronos Titan, les deux entreprises à qui l’on doit la production et la popularisation de ce blanc brillant qu’est le titane.

    Lire aussi : Une chaîne publique australienne demande : « Les échecs sont-ils racistes ? »

    source: https://www.anguillesousroche.com/culture-societe/le-gouvernement-norvegien-finance-des-recherches-pour-savoir-si-la-peinture-blanche-est-raciste/

  • Norvège : Le gouvernement interdit le vaccin d’AstraZeneca, affirmant qu’il est plus susceptible de vous tuer que le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2021

    leblogalupus

    Le seul moyen de combattre un virus mortel est d’utiliser un vaccin encore plus mortel.

    Non, permettez-moi de me corriger – le covid est moins dangereux en fait.

    Via Sputnik News :

    En attendant la décision finale sur le vaccin controversé, la Norvège a décidé de distribuer son stock d’AstraZeneca aux autres pays nordiques qui veulent effectivement l’utiliser malgré les risques associés.

    Les Norvégiens courent un plus grand risque de mourir en se faisant inoculer le vaccin d’AstraZeneca contre le COVID-19, a conclu l’Institut national de la santé publique (FHI) dans son analyse, recommandant le vaccin, précédemment lié à de graves complications sous forme de coagulation sanguine rare et d’hémorragie en cas de faible taux de plaquettes.

    S’abstenir de se faire vacciner pourrait éventuellement éviter jusqu’à 10 décès liés aux effets secondaires, a déclaré le FHI, selon le journal Verdens Gang.

    Jusqu’à présent, la Norvège a connu cinq cas d’incidents graves signalés peu après la vaccination, dont trois décès. Le FHI a calculé que le taux de mortalité lié au vaccin d’AstraZeneca était de 2,3 personnes pour 100 000 vaccinés.

    Le FHI a souligné que le fait de continuer à vacciner exposerait en revanche les jeunes femmes à un “risque déraisonnable”, compte tenu des niveaux actuels d’infection relativement élevés en Norvège.

    En outre, l’institut est opposé à l’offre du vaccin sur une base volontaire, qui a été proposée en Norvège et dans d’autres pays scandinaves.

    “Nous pensons qu’une telle alternative peut paraître contraire à l’éthique et avec un risque élevé que ceux qui font un tel choix n’aient pas pleinement compris le risque auquel ils s’exposent”, a déclaré l’institut.

    Le FHI estime également que recommander l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca pourrait entraîner une baisse de confiance de la population dans les programmes de vaccination en général.

    “Cela pourrait conduire à une baisse du taux de vaccination et du taux de vaccination à long terme, et à ce que les patients des groupes à risque disent également non aux vaccins.”

    Une récente enquête menée par le FHI en collaboration avec Mindshare et Norstat, a indiqué que 76 % des personnes interrogées étaient sceptiques à l’égard d’au moins un des vaccins, même si 82 % d’entre elles étaient initialement positives à l’idée de se faire vacciner. Parmi les vaccins, AstraZeneca a obtenu le niveau de scepticisme le plus élevé (99 %), devant Moderna (9 %) et Pfizer (8 %).

    On dirait que Twitter et Facebook doivent embaucher plus de censeurs norvégiens !

    Comment tuer un virus mortel sans vaccin mortel ?

    Cependant, le gouvernement estime qu’il est trop tôt pour arrêter complètement le vaccin, et lance à la place un nouveau groupe d’experts pour enquêter plus en profondeur sur AstraZeneca et Johnson & Johnson, qui ont suscité des inquiétudes similaires.

    Dans l’attente d’une décision finale, la Norvège a toutefois décidé de distribuer son stock d’AstraZeneca aux autres pays nordiques qui souhaitent réellement l’utiliser.

    Sur le stock norvégien, la Suède en empruntera 200 000, tandis que 16 000 iront à l’Islande.

    Du sabotage ?

    Ou de l’aide humanitaire ?

    Peut-être, c’est le deux.

    Peut-être, je veux dire, c’est “les deux”.

    Source : Aube Digitale

    https://www.aubedigitale.com/norvege-le-gouvernement-interdit-le-vaccin-dastrazeneca-affirmant-quil-est-plus-susceptible-de-vous-tuer-que-le-covid/

  • La Norvège alerte après la constatation de 23 décès possiblement liés au vaccin Pfizer

    Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2021

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    La Norvège vient d’émettre le 15 janvier une alerte après la constatation de 23 décès possiblement liés au vaccin Pfizer, chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

    « pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents »

    L’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

     

    Source : lesalonbeige

  • Norvège, prison pour qui n’est pas philo-trans

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2020

    Si en France, on embastille les écrivains qui ont le malheur de déplaire à la pensée unique, en Norvège ceux sont les amoureux de la loi naturelle qui risquent la prison.

    Depuis 1981, le Code pénal norvégien interdit les « discours de haine » contre les homosexuels. Sont inclus dans ces « discours de haine » les simple propos défendant la loi naturelle.

    Désormais, cette interdiction est également étendue aux discours s’opposant aux transsexuels. Évidemment, le système juridique norvégien prévoyait déjà des sanctions pour ceux qui offensent des tiers, mais si le tiers est un homosexuel ou un transsexuel, la protection est renforcée.

    Amendes et un an de prison si l’opinion jugée offensante est faite dans un cadre privé, trois ans s’il est fait coram populo tels qu’une homélie, un discours public, une conférence, un article de journal ou un essai.

    Bref, une répression criminelle de la liberté d’expression très similaire à celle prévue par de nombreuses lois censurant le politiquement, historiquement, sexuellement incorrects en Europe, telle la loi Avia en France.

    Les menottes sont maintenant également mises sur la bouche. Mais le masque que les divers gouvernements obligent leur peuple à porter ne serait-il pas que les prémisses de ces interdictions de paroles ? La muselière mentale à laquelle il faut s’habituer…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info