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pollution

  • Ralentisseurs

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    Je pense en particulier aux ralentisseurs qui ralentissent les véhicules mais pas l’absurdité la plus totale.

    Nous sommes voisins de l’Allemagne et du Luxembourg. Chez eux, pas de ralentisseurs de ce genre : des contrôles existent et sont sanctionnés d’une amende de 20 euros (là non plus, ne comparons pas !).

    Il est bizarre que, dans les cités affublées de véhicules bruyants, créant de la pollution et des nuisances sonores, il n’y ait pas de ralentisseurs.

    La plupart de ces « ouvrages » génèrent de la pollution par les freinages et accélérations continuels.

    S’il faut donner du travail à des entreprises, que cela soit pour réparer les trous et dégradations sur les routes : il y a assez à faire !

     
  • La pollution de l’air tue encore 1200 enfants par an en Europe. Et l’avortement, combien ?

    Publié par Guy de Laferrière le 26 avril 2023

    Mort par pollution et mort par avortement
    La pollution de l’air tue 1200 enfants par an en Europe et l’avortement 970 300 enfants par an en Europe.

    Le Figaro et l’AFP de ce jour, 24 avril 2023, nous alertent de façon dramatique-  avec un titre accrocheur à faire peur à toutes les mamans de France et de Navarre – en écrivant « La pollution de l’air tue encore 1200 enfants par an en Europe ».

    Et d’en rajouter dans l’angoisse qui devrait tous nous saisir : « La pollution de l’air cause plus de 1200 décès prématurés par an chez les moins de 18 ans en Europe et augmente significativement le risque de maladie plus tard au cours de leur vie ».

    Selon un autre rapport publié par l’AEE en novembre, au moins 238.000 personnes – tous âges confondus – sont mortes prématurément en 2020 en Europe à cause de la pollution de l’air dans les pays membres de l’agence (Union européenne, Turquie, Norvège, Suisse, Islande et Liechtenstein).

    Nous comprenons que tous ces « morts européens prématurés » posent un cas de conscience à nos confrères du Figaro qui demandent « d’établir des limites plus contraignantes pour les principaux polluants de l’air ».

    Mais, nous permettent-ils d’évoquer, même de façon furtive, le bilan annuel des 223 300 petits innocents (1) qui n’ont même pas la chance d’être comptabilisés comme « décès prématurés » puisqu’ils ont été assassinés dans le ventre de leur maman avant de naître ?

    Et ce n’est que le chiffre « officiel » des avortements  pour la France ! Lorsque l’on comptabilise les chiffres « officiels » pour l’Europe, nous atteignons le nombre terrible de 970 300 bébés empêchés de naître chaque année.

    Comparés aux « 1 200 enfants morts par an en Europe à cause de la pollution de l’air », on peut tristement constater que la priorité de certains n’est pas proportionnellement ni directement  liée à la réalité des chiffres, mais à l’idéologie dominante. C’est ce qu’a très bien exprimé notre confrère Gilles Colroy dans son éditorial sobrement intitulé “Le permis de tuer“.

    Quant à ceux, les mêmes, qui prônent un recours massive à l’immigration pour pallier le manque de naissances en Europe, nous les renvoyons sèchement à leurs contradictions de masochistes consentants !

    Paul DEROGIS

    (1) Chiffres officiels des avortements « officiels » selon l’étude de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) publiée mardi 27 septembre 2022 : « en 2021, 223 300 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, soit un volume stable par rapport à 2020. »

     

    Source : medias-presse.info

  • Les sans-dent n’ont qu’à mourir de froid

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

    Les sans-dent n’ont qu’à mourir de froid

    La préfecture de l’Ain a placé le bassin ouest du département en vigilance rouge au sujet de la pollution aux particules fines qui touche actuellement le territoire. L’alerte est également placée au niveau 2 dans le bassin lémanique.

    Les mesures prises jeudi 9 février par la préfète de l’Ain, Cécile Bigot-Dekeyzer, ont ainsi été renforcées. Parmi elles, l’interdiction d’utiliser du bois ou ses dérivés comme chauffage individuel d’appoint ou d’agrément. La pratique de brûlage est totalement proscrite, ajoute-t-elle.

     

    Source : lesalonbeige.

  • Roms : le camp de Malepère à Toulouse laisse place à une inquiétante pollution

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

    roms
    Une partie des ordures laissés par les roms après leur départ du camp de Malepère. © roms-malepere-toulouse.yo.fr
    Les roms du camp de Malepère se sont enfuis, laissant derrière eux un terrain dans un état inquiétant, tant humainement qu’écologiquement. 

    Le calvaire n’est pas totalement fini pour les riverain de l’ancien camp de roms basé pendant un an à Malepère. Installé en juillet 2018, les quelques dizaines de clandestins se sont volatilisés dans le week-end du 15 au 16 juin 2019 sans que les forces de l’ordre n’aient à intervenir. La fin d’un long cauchemar pour les voisins qui pensaient cette histoire derrière eux. Mais les conséquences sont toujours visible un demi-mois après le départ des squatteurs. 

    Lire aussi : Le calvaire des voisins d’un camp de roms

    Pour le collectif des riverains, « le maire et le préfet continuent de ne rien faire pour nettoyer le terrain occupé illégalement depuis presque un an ». Les riverains vivent désormais entourés de rats et des « immondices des roms ». Matières fécales, verre, plastiques, matériels électroniques, fer, cumulus, piles et batterie… La liste est longue, les conséquences humaines et écologiques sont notables et l’inaction de la mairie contraste avec la campagne « Toulouse ville verte » menée par Jean-Luc Moudenc. 

    Allô Toulouse et Médecin du monde pointés du doigt

    Allô Toulouse, le numéro de téléphone municipal pour répondre à la détresse des habitants,a brillé depuis plus d’un an par son absence de réponses aux habitants du quartier Malepère. « À nous de nous débrouiller avec le propriétaire du terrain nous disent-ils », déplorent le collectif sur son site. Et Médecin du monde, l’ONG « humanitaire » qui a soutenu et protégé les squatteurs durant leur présence, répondent à leur tout que « ce n’est pas leur problème si nous vivons dans l’insalubrité à notre tour », rapporte les riverains. 

    Lire aussi : Le camp de roms du Ramier évacué, Malepère attendra

    Le collectif demande à Jean-Luc Moudenc de « nettoyer dans les meilleurs délais le terrain situé au 2 chemin de Malepère et ses abords ». Et pas qu’à moitié. « Il doit être totalement dépollué et nettoyé. Une dératisation doit être effectuée immédiatement dans tout le secteur », somment les habitants qui voient les rats les « coloniser »« Nous ne lâcherons rien », préviennent-ils.  

     

    Source : infos-toulouse